Émile Loubet

Dreyfus. L’affaire Dreyfus est à nouveau étudiée et jugée le 9 septembre 1899 à Rennes par un nouveau conseil de guerre. Dreyfus est alors de nouveau condamné : 10 ans de détention avec circonstances atténuantes. Il est gracié par le président Emile Loubet le 19 septembre 1899 et libéré le 21 septembre 1899 mais ce ne sera que le 12 juillet 1906 que Alfred Dreyfus sera acquitté et innocenté officiellement par un arrêt de la Cour de Cassation (« l'arrêt de réhabilitation du capitaine Dreyfus ») Le

Walsin-Esterházy. Alors que le cercle des dreyfusar ds s'élargit, deux événements quasi simultanés donn ent en janvier 1898 une dimension nationale à l'affaire : Esterházy est acquitté, sous les acclamations des c onservateurs et des nationalistes ; Émile Zola publie J'Accuse...! , plaidoyer dreyfusard qui entraîne le ralliement d e nombreux intellectuels. Un processus de scission en deux de la France est entamé, qui se prolonge jusqu’à la fi n du siècle. Des émeutes antisémites éclatent dans

contre 22. Bien que la Cour de cassation ait cassé l’arrêt condamnant Dreyfus, le Conseil de guerre condamne cette fois Dreyfus, le 7 août 1899, à dix ans avec les circonstances atténuantes. Le 19 septembre 1899, le Président de la République, Émile Loubet, le gracie. Une loi du 27 décembre 1900, à l’initiative du gouvernement Waldeck-Rousseau, amnistie les faits se rattachant à l’affaire Dreyfus notamment les délits de presse, de réunion et d’association. La Cour de cassation annule sans renvoi

procet du conseil de guerre a lieu à Rennes en 1899, en présence de Dreyfus ramené en France. Contre toute attente, Dreyfus est condamné une nouvelle fois, à dix ans de travaux forcés, avec, toutefois, circonstances atténuantes. Le président Emile Loubet accorde alors la grâce présidentielle au capitaine Dreyfus, Il est libéré en septembre 1899 , les français sont soulagés de voir la fin de l'affaire qui les a tant déchiré.En 1903 la troisième partie de l'affaire est relancé grâce au discour de

Emile Zola I/ L’Auteur ORIGINES : Né à Paris le 2 avril 1840 d’une mère française et d’un père italien, Emile Zola a vécu à Aix-en-Provence de 1843 à 1857. Zola entre comme boursier au collège Bourbon, fréquente les fils de la bourgeoisie et se lie d’amitié avec Paul Cézanne, le futur peintre. Il fit l’expérience de l’inégalité sociale. Emile Zola grandit dans un milieu littéraire et rencontre dès son plus jeune âge de futurs célèbres auteurs comme Hugo, Musset… Dix ans après la mort

belle époque à la limite de la guerre civile. Alfred Dreyfus est arrêté après avoir été accusé d’avoir transmis des infos confidentielles à l’Allemagne . Le vrai coupable était le commandant Esterhazy . La France fut divisée entre dreyfusards tel Emile Zola qui publie j’accuse le 13 janvier 1898 et antidreyfusards Dreyfus fut condamné et dégradé de manière précipitée, et sa situation ne deviendra une réelle « affaire » qu’après sa déportation en Guyane. Les antidreyfusards sont ceux qui s’opposent

général de Pellieux conclut son rapport en transférant Esterhazy en Conseil de guerre Mais rien. c'est la que intervient Emile zola avec J'accuse Emile Zola, écoeuré depuis plusieurs années par les campagnes nationalistes et antisémites, tôt convaincu de l'innocence de Dreyfus, s'engage dans la lutte par Sa Lettre ouverte au président de la République Félix faure. Emile zola tous au long de cette lettre accuse la décision de justice au nom de valeur universelles l'écrivain décide de s'exposer

Joseph Reinach et l'écrivain Bernard Lazare, entame une campagne pour la révision du procès. Jugé en conseil de guerre, Esterhazy est acquitté (janvier 1898). Quelques jours plus tard, l'affaire Dreyfus prend un tournant décisif : le 13 janvier 1898, Émile Zola publie en première page du quotidien L'Aurore une lettre adressée au président de la République, intitulée " J'accuse ", qui dénonce l'antisémitisme de l'armée et accuse l'état-major d'avoir condamné Dreyfus sans preuve. Dès lors, l'affaire d'espionnage

ESTERHAZY Emile Zola adresse une lettre ouverte au président de la république , publié sous le titre ''J'accuse...!''dans l'Aurore le journal de Clémenceau. Cet article apporte pour la première fois la réunion de toutes les données existantes. Elle permet de dévoiler l'erreur du système judiciaire au plus grand nombre des français elle condamne l'antisémitisme, l'esprit de corps de l'armée et la volonté d'officiers de ne point reconnaître leurs fautes. 23 février 1898 : Émile Zola est condamné

et publié, faisant par des preuves falsifiées (bordereaux), qui ont étaient découverte par Hubert Henry, et nous dit qu'elles sont authentifiées par le juge, ce qui va donner l’envie plusieurs personnalités de manifester leur mécontentement. Après Émile Zola, c'est au tour de Jaurès et Clemenceau (qui lui, au début de l'affaire Dreyfus n'est pas convaincu de sont innocence et publie des article assez dénigrants envers les juifs en les caricaturant, avec leur gros nez, leurs oreilles décolé...) de