Émile Loubet

PARTIE 3 : THEME D’ETUDE  LA REVISION DES COMPTES : p 10-13 CONCLUSION : p 14 ANNEXES : p 15 INTRODUCTION J’ai effectué mon stage dans le cabinet d’expertise comptable SECCA EXPERTISE se situant Route Nationale 7 à Villeneuve Loubet. Ce stage s’est déroulé du 7 mai 2012 au 22 juin 2012. Le cabinet m’a fait aborder différents cas d’entreprises tant dans le domaine comptable que social. REMERCIEMENTS Je tient tout d’abord à remercier Monsieur Couturier Gilles de

Nous trouvons deux documents. Tout d’abord, il s’agit d’une photographie de la commune de Villeneuve-Loubet, qui se situe dans les Alpes-Maritimes, dans le Sud Est de la France. C’est une photo prise en vue aérienne qui montre la valorisation du littoral (document 1). Le second document est un texte du Rapport du ministère de l’Ecologie et du Développement durable présentant la loi « littoral » et les mesures à prendre pour l’aménagement, la mise en valeur et la protection des littoraux. Cette loi

"Dreyfusards" et "antidreyfusards" quand le chef des renseignements, le commandant Picquart, demandera la révision du procès en 1898. La condamnation du capitaine Dreyfus deviendra alors "l'Affaire"Dreyfus. | 1898 | 13 janvier  Emile Zola : "J'accuse !"  L'écrivain Emile Zola publie dans le journal "L'Aurore" une lettre ouverte au président de la République Félix Faure. Le titre lui est soufflé par Georges Clémenceau, alors éditorialiste dujournal : "J'accuse". La lettre dénonce l'antisémitisme et

l’Etat de droit sur la raison d’Etat (III). I/ UNE ERREUR JUDICIAIRE REPOSANT SUR UNE VIOLATION DES DROITS DE LA DEFENSE « J’accuse enfin le premier conseil de guerre d’avoir violé le droit, en condamnant un accusé sur une pièce restée secrète… », Emile Zola, L’Aurore, le 13 janvier 1898. A/ Les débuts de l’affaire En 1894, une lettre (connue sous le nom de « bordereau ») d’une personne se présentant comme un officier de renseignement français et annonçant l’envoi de documents secrets est retrouvée

est protégé par l'État-major, pour le disculper il est présenté le 10 janvier 1898 devant le Conseil de guerre qui l'acquitte le lendemain et Picquart est arrêté. II- DREYFUSARDS ET ANTI-DREYFUSARDS L'article d'Émile Zola Le 25 novembre, Émile Zola, entre-temps convaincu de l'innocence de Dreyfus, publie un premier article dans Le Figaro, qui ne tardera pas à se désengager de ce qui est désormais "L'Affaire", puis le 13 janvier 1898, il publie en première page de L'Aurore, un article intitulé

Conseil Jules Méline déclare à la Chambre des députés qu’ « il n’existe pas d’Affaire Dreyfus ». 1898 10-11 janvier : Acquittement d’Esterhazy par un conseil de guerre après une enquête du Général de Pellieux grâce à des faux d’Henry 13 janvier : Emile Zola s’engage pour défendre Dreyfus. Il publie dans le journal « L’Aurore » un article incendiaire « J’accuse ! Lettre ouverte à Monsieur Félix Faure, Président de la République » dans laquelle il accuse les coupables et les complices de l’Affaire

termine par la célèbre phrase "La vérité est en marche, et rien ne l'arrêtera." 1897: Picquart confie à son ami l'avocat Leblois ses suspicions sur Esterhazy. Leblois en informe Emile Zola. 1898: 10-11 janvier: Procès d'Esterhazy. Le Conseil de guerre vote l'acquittement. 13 janvier: Publication de l’article de Emile Zola "J'Accuse ...! " Scheurer-Kestner est battu au Sénat dans l'élection pour le poste de vice-président. 14 janvier: Publication dans L'Aurore d'une protestation d’intellectuels:

affaire clandestine et une discrimination envers les juifs. La victime de cette polémique est le capitaine Alfred Dreyfus née en 1859, d'origine alsacienne et juive. Ce scandale a bouleversé la France pendant 12 années de 1894 à 1906. Suite à celà Emile Zola écrit un article < J'accuse...> qui a créé une suite de crises politiques et sociales. L'exacerbation en 1899, révele la séparation de la France dans la III ème République, et divise donc le peuple français en deux camps opposés, les dreyfusards

Dreyfus. Parmi ces derniers, des hommes de lettres et de sciences, comme Émile Zola, Octave Mirbeau, ou Anatole France, qualifiés d'intellectuels, ainsi que de nombreux protestants tel Raoul Allier. Les dreyfusards reprochent à la justice militaire d’avoir commis une erreur judiciaire et d’avoir dissimulé la vérité. Les dreyfusards formèrent en parallèle la Ligue française pour la défense des droits de l'Homme et du citoyen. Émile Zola, dreyfusard, publie un premier article dans « Le Figaro », puis

les preuves accablantes de sa culpabilité, il est acquitté. L’affaire soulève les passions et éclate au grand jour après que l’écrivain Émile Zola a publié dans le journal l’Aurore une lettre ouverte au Président de la République, le fameux J’accuse. Des journalistes comme Georges Clemenceau, des écrivains comme Charles Péguy, Anatole France et surtout Émile Zola prennent la défense de Dreyfus. D’autres mènent une campagne extrêmement violente contre Dreyfus qui, compte tenu du contexte antisémite