Emouvoir Le Lecteur

réels ou imaginaires, et n’obéissant à aucune règle fixe. Ceci peut donc laisser penser à une sorte de liberté exercée par l’auteur dans la construction de la fin de son histoire : soit une fin calculée, préméditée depuis le début, ou devinée par le lecteur ; soit une fin inattendue, surprenante, fortuite. Cette liberté peut amener à s’interroger sur ce qui peut caractériser une bonne histoire : une bonne histoire est-elle forcement celle qui a une fin inattendue ? Certes, on peut penser parfois

nous examinerons quels effets sont produits sur le lecteur. Dans la fiction l'auteur cherche à prendre le lecteur par les sentiments en lui racontant une histoire fictif, par exemple dans son œuvre réquisitoire intitulé Le denier jour d'un condamné qui a une forme de monologue intérieur d'un homme condamné à mort. Victor Hugo cherche à émouvoir son lecteur en utilisant le registre pathétique qui renforce la stratégie argumentative car le lecteur est ému par la souffrance du condamné même si il

le comique afin de représenter le monde dans sa totalité, à la fois grotesque et sublime. L’effet dramatique vise à émouvoir le spectateur, en faisant appel à sa sensibilité. C’est le cas dans la scène proposé, tiré de Lorenzaccio , pièce publiée en 1834. Par le biais d’un échange pathétique entre deux personnages, l’auteur arrive à sensibiliser les lecteurs en mettant en scène Philippe, un homme ravagé et anéanti par un terrible incident. Il serait alors intéressant de se

époque (guerre) très présentes. Ces deux romans sont donc très liés, ils montrent la cruauté du monde qui n’accepte pas d’autres religions, hormis la catholique. Et en donnant la narration à de jeunes enfants, naïfs, les auteurs voulaient émouvoir encore plus les lecteurs sur cette injustice des religions. Dans ce troisième paragraphe, nous allons voir comment j’ai réagi en lisant ce livre, et ce qu’il m’a apporté. Pour commencer je dirai évidemment que ce livre est rempli d’émotions et cela m’a beaucoup

personnages principaux du livre. Pour ce qui est de la focalisation externe, nous pouvons décrire cela en disant que le narrateur est neutre, qu’il y a un manque de marque de subjectivité et que l’écriture nous donne un effet de distanciation avec les lecteurs. Comme décrit plus tôt, l'entièreté du livre sera décrite avec une précision inexplicable. Le narrateur décrit ce qu’il voit, entend, sent et va se permettre d’expliquer de ses propres mots ce que peuvent ressentir les personnages faisant partie

faire oublier au lecteur que ses personnages sont fictifs ? Vous fonderez votre réflexion sur les textes du corpus, sur ceux que vous avez étudiés en classe et sur vos lectures personnelles. En partant des textes du corpus, vous vous demanderez si la tâche du romancier, quand il crée des personnages, ne consiste qu’à imiter le réel. Vous vous appuierez aussi sur vos lectures personnelles et les œuvres étudiées en classe. Pensez-vous qu’un roman doit ouvrir les yeux du lecteur sur la vie ou

». En effet, le spectateur/lecteur sait que Cyrano parle à la place de Christian tandis que Roxane ne le sait pas. Il va donc interpréter les paroles de Cyrano en tenant compte de cette situation particulière. Christian entend aussi les mots de Cyrano et on peut imaginer ses réactions et ses sentiments – sans doute de la jalousie – car malgré son beau visage, il est incapable de s’exprimer d’une façon précieuse et galante propre à séduire Roxane. Le spectateur/lecteur est à même d’interpréter les

femme avec le lecteur, c'est un moyen de pouvoir effacer le souffrance de tourner la page . On a ensuite Apollinaire dans «alcools» exprime ces peine, ses douleurs avec certaines femmes qui l'on quittée c'est le cas de «signe» dans lequel Apollinaire est dégouté par l'amour et d'ailleurs dès la première strophe on le sens «je déteste les fleurs,je regrette chacun des baisers...) Ensuite souvent en écrivant des poèmes qui parle de souffrance les poètes parviennent à émouvoir le lecteur, qui se reconnaît

appauvrit la pièce puisque nous avons vu que grâce à elle Musset peut mettre en valeur le message qu’il souhaite transmettre à ses lecteurs et à ses spectateurs et que la dimension dramatique, très présente dans la séquence, touche d’avantage le lecteur qui est alors amené à une réflexion complexe sur son époque, mais aussi le spectateur qui se laisse alors émouvoir et surprendre par la mise en scène choisis par le metteur en scène qui se joue de cette qualité pour l’amplifier. Nous pouvons après

Dans la préface des Contemplations, Victor Hugo décrit son recueil comme un miroir tendu vers les lecteurs. En quoi cette image rend-elle compte de votre lecture des quatre premiers livres du recueil ?Introduction :Le miroir est un objet constitué d'une surface polie qui sert à réfléchir la lumière, à refléter l'image des personnes et des choses. Une notion que les grands classiques de la littérature arrivent à faire. Plus un écrit littéraire est relativement proche autant de la réalité que de l’imaginaire