Emouvoir Le Lecteur

des “ gouttes d’or ” (vers 6), du “ feu vert et doré ” (vers 11), il entraîne le lecteur dans l’expérience sensorielle qu’il a connue, lui offre ainsi une image renouvelée de la bicyclette désormais métamorphosée en oiseau (vers 9), puis en planète (vers 21). L’objet quotidien est donc devenu presque surnaturel, et le poète a ainsi rempli la mission que lui confère Cocteau. Ponge, lui, appelle l’attention du lecteur sur l’un des objets les plus familiers, le pain, mais use d’effets de grossissement

composantes sont décrites : il est question de « roche », de « front de taille », de « veine », de « schiste » et de « couche », et de « blocs de houille ». • Visuellement, le lecteur peut s’imaginer la position des mineurs : la « lampe […] près de sa tête », Maheu, coincé, doit « tordre le cou », « renverser la nuque ». Le lecteur a l’impression de voir un documentaire sur la mine. 2. La précision scientifique • Soucieux de précision, Zola fait allusion aux phénomènes scientifiques inhérents à la

constituée par cinq éléments dont la présence et l’ordre sont obligatoires : 1) L’accroche 2) La citation du sujet 3) L’analyse du sujet 4) La problématique 5) L’annonce du plan 1) L’accroche: elle a pour fonction d’une part d’accrocher l’attention du lecteur, d’autre part d’accrocher le sujet en permettant de l’amener. Elle donne lieu à une phrase de transition qui permet d’introduire le sujet, c’est-à-dire de le citer. L’accroche est traditionnellement constituée par une citation. 2) Citation du sujet

Araminte a un caractère assez cruel et autoritaire, comme le montre la première ligne elle fait figure d’autoritaire, « vous n’allez pas à la table ! A quoi rêvez-vous ? »l1 son jeu peut plaire au lecteur, qui apprécie sa façon de jouer la comédie et de se jouer du naïf Dorante mais celui-ci peut aussi émouvoir. Mais sous ce caractère ce cache une manouvre, c’est de conduire Dorante à l’aveu. Car l’amour silencieux qu’éprouve Dorante envers elle et son respect se marquent par une souffrance de plus en

l'emploi du présent dans la deuxième partie du texte. Le présent permet de rapprocher le lecteur de la pensée de l'auteur et de rendre vivante sa réflexion. → Cette description de l'enfant monstrueux s’appuie donc sur des procédés réalistes pour rendre le texte plus vivant et émouvoir ainsi le lecteur. Une argumentation efficace la mise en scène de l'enfant ménage un effet de surprise : le lecteur le découvre en voyant tout d'abord ses pieds puis ensuite ses cris. Argument de

généralités sur le texte que n’importe quel lecteur, même peu averti, pourrait constater. Le hors-sujet : Soit le domaine de connaissance sur lequel porte la question a été mal identifié. Par exemple, à la question : «Quel est le genre du texte ?», un candidat répondrait : «Il s’agit d’un texte sur la rencontre de deux personnages» ( réponse à «Quel est le sujet du texte ?») ou «Le poème est pathétique. Le locuteur cherche à émouvoir le lecteur» (réponse à «Quelle est la tonalité du texte

Fable, Apologue (récit+morale) Registres présents : registre pathétique, didactique, ironique Forme : discours directe Construction du texte : Parties ? description, narration, argumentation Thèmes ? misère, pauvreté But recherché par l’auteur ? Lecteur en tire une leçons Intertextualité : Autres textes //La mort et le malheureux Traduction de Esope « je chante les héros dont Esope est le père » Autres textes # Œuvres en lien Problématiques possibles : Comment La Fontaine transmet-il la morale

tendre envers l’action misérable du héros. Celle-ci deviendra aux yeux du lecteur un acte héroïque mais qui sera pourtant puni et entraînera la pitié et la tristesse du lecteur. Ce déroulement est parfaitement illustré dans Antigone, où elle veut sauver l’honneur de son frère afin de lui faire des obsèques. Sauf que ce rituel lui est interdit mais Antigone passera au dessus de la loi pour la mémoire de son frère. Le lecteur à une vision héroïque de ce sacrifice et donc, la pitié et la peine seront

mots, de caractère, de situation. Sa fonction peut-être ludique mais aussi critique. Le registre Satirique : Le registre satirique utilise les procédés du registre comique mais il différé par sa visée. Il ne s’agit pas uniquement de faire rire le lecteur pour son plaisir, il s’agit aussi d’utiliser le rire pour dénoncer les travers d’une époque, d’une institution, d’un groupe social ou politique. La parodie : La parodie consiste à imiter une œuvre, une forme textuelle, une forme d’expression pour

prévenir le lecteur, de lui dire qu’il doit lui aussi s’attendre à être surpris > L’auteur ne veut pas que le lecteur reste passif, il veut qu’il soit attentif, qu’il anticipe. - l’auteur a introduit des discourt indirect libre « que signifie cette initial ? »… C’est pour donner un air dramatique a la scène : Face à cette découverte, Bernard fait de petit monologue dramatique - « une faveur rose les attachait » donne l’impression d’une littérature romanesque, à l’eau de rose pour émouvoir le lecteur