Empirisme Innéisme

Economie des organisations Notion pluridisciplinaire Sens d’organisation : -selon l’économiste, Claude Menard, on appellera alors organisation une unité économique de coordination ayant des frontières identifiables et fonctionnant de façon relativement continue en vue d’atteindre un objectif ou un ensemble d’objectifs partagés par les membres participants, objectifs commun, conflits d’organisation comme la démission, les grèves. Il y a une coordination formelle, coordination caractérisée par

faire l’expérience, c’est ce qu’on ne peut pas connaitre : l’existence de Dieu, par exemple. Vocabulaire : * A priori : avant l’expérience * A posteriori : après l’expérience (= empirisme) * Epistémologie : étude des méthodes de connaissances qui sont appliquées dans les sciences * Empirisme : (= A posteriori) courant philosophique qui dit que la connaissance vient de l’expérience * Induction : c’est tirer des lois générales à partir des lois particulières * Dogmatisme :

6° Congrès international francophone sur la PME - Octobre 2002 - HEC - Montréal Du champ de l’entrepreneuriat à l’étude du processus entrepreneurial : quelques idées et pistes de recherche1 Alain FAYOLLE Maître de Conférences INPG-ESISAR CERAG, EPI2 Résumé L’étude des processus est aujourd’hui au cœur de nombreux travaux dans le domaine de l’entrepreneuriat. L’objectif de notre contribution est d’avancer quelques idées et suggestions destinées à esquisser des pistes de recherche s’inscrivant

Le texte présenté traite de l’idée de liberté, Sartre y oppose deux concepts, l’un populaire et empirique, l’autre technique et philosophique. Nous verrons donc les arguments exposés par le philosophe destinés à faire valoir pourquoi le concept philosophique est le seul qu’il considère, en procédant à la comparaison des deux selon sa pensée. La première partie traitera du concept empirique et populaire de liberté, de sa signification pour le sens commun et de la provenance de cette signification

« Les mots, dans leur signification première ou immédiate, ne tiennent lieu de rien d’autre que des idées dans l’esprit de celui qui s’en sert, quels que soient l’imperfection et le manque de soin avec lesquels ces idées sont tirées des choses qu’elles sont supposées représenter. Quand un homme parle à un autre, c’est pour être compris, et la finalité de son discours est que ces sons, en tant que marques, fassent connaître ses idées à son auditeur. Ainsi, ce dont les mots sont les marques, ce sont

Mesure de la teneur de l'information des métiers de Banque Page 1 sur 37 Page 1 LE JOURNAL DES FINANCES VOL. XLVI, NO. 1 mars 1991 Mesure de la teneur de l'information de Banque de métiers JOEL Hasbrouck * RÉSUMÉ Cet article suggère que les interactions entre les métiers de la sécurité et les révisions devis être modélisé comme un système de vecteur autorégressif. Dans ce cadre, une opération de effet l'information peut être mesurée de façon significative l'impact des prix ultime de

Origine des sciences de l’homme : Psychologie et philosophie Syllabus : Distance critique : il ne faut rien prendre pour acquis en psychologie. C’est en passant par les origines de la psychologie que l’on va apprendre à distinguer objectivement les distances critiques. L’âge classique (17ème et 18ème siècle) : On y trouve une science de l’esprit humain. Les philosophes consacrent un champ disciplinaire à l’homme. Au 19ème siècle : On a socialement conféré de la valeur à la psychologie à

« La Structure des révolutions scientifiques » est un essai rédigé par le philosophe et historien des sciences, Thomas Samuel Kuhn (1922 - 1996). Paru en 1962, cet ouvrage est considéré comme son œuvre majeure. Il y modélise notamment la science comme phénomène sociétal et mobilise l’histoire des sciences afin d’expliquer la dynamique des sciences non plus d’un point de vue uniquement cognitif, mais en tenant compte de facteurs sociaux inhérent aux communautés scientifiques. Il y développe la thèse

Sujet : la nature obéit-elle a des lois ? Introduction : " L'homme ne domine t-il la nature qu'en lui obéissant? " Lorsqu'on parle de la nature, on veut parler du monde dans son ensemble, mais abstraction faite de ce que l’homme y a mis et des transformations qu’il y a faites. Elle comprend donc tout l’univers, l’ensemble des phénomènes naturels tels que les vents, les marées, la course des astres, elle comprend donc aussi outre la matière, les plantes et les êtres vivants, dont l’homme en

Article sur le livre de Jean Marie Schaeffer, La fin de l’exception humaine. (Gallimard, 2007) Jean-Marie Schaeffer a fait paraître, en 2007, un livre très profondément révolutionnaire, intitulé La fin de l’exception humaine [1]. Grossièrement résumée, la thèse de Schaeffer pourrait être ainsi énoncée : il n’est plus possible aujourd’hui de maintenir l’idée qu’il existe une spécificité non naturelle de l’homme. En d’autres termes, Schaeffer défend une position naturaliste, mais nuancée d’un refus