En Quoi Atala Romantique

courant). Le 19e s est a la foie un siècle romantique (surtout dans la poésie) et réaliste (surtout dans le roman). 1e mvt le romantisme. C’est un mvt esthétique et littéraire qui se développe des la fin du 18e (Rousseau et les rêveries du promeneur solitaire) l’adjectif « romantique » entre dans le dico de l’Académie FR en 1798. Le substantif « romantisme » on le trouve sous la plume du directeur de l’académie FR : Auger, pour critiquer la « secte romantique ». Mais c’est tout de même le romantisme

Analyse du « Lac » de Lamartine. En 1820, durant le premier Empire, cela fait une vingtaine d’année que, suivant le modèle allemand, Châteaubriand a instauré le romantisme en France, dans ses romans comme René ou Atala. Le romantisme est un mouvement lié au désarroi de la jeune génération née après 1789, qui promeut l’expression des sentiments personnels, l’épanchement, l’exaltation du moi, la nature, l’exotisme, la spiritualité, l’engagement et la recherche de la liberté. Toutefois, il fallait

le style et la manière. Cette réflexion de Paul Bénichou est formulée dans le cadre d’un essai consacré au romantisme et au transfert de compétences qui le caractérise – le poète romantique se trouve sommé, historiquement, de reprendre le sacerdoce religieux laissé vacant par la critique des Lumières. Le poète romantique ne trouve pas en la raison des philosophes un instrument suffisamment fiable pour dire l’homme dans sa totalité. Or le fait de définir la littérature par opposition à la philosophie

rectiligne dominera. La restauration donnera naissance à une peinture plus violente, en 1819 Géricault peindra « le radeau de la Méduse » qui est d’un style réaliste dramatique et d‘une violente cruauté. Delacroix sera un grand peintre du mouvement romantique qui domine à l’époque, il peint en 1823 « les massacres de Chio » qui représente le massacre des Grecs par les Turcs. Il y aura un fort attrait pour les sujets orientaux et notamment pour l’Afrique du Nord. 4) En 1789, 50% des hommes savent

de nombreuses mutations de la société de par des traités philosophiques sur l’esthétique, une redécouverte de la nature mais aussi de part une nouvelle conception de la peinture et notamment de la peinture d’histoire avec la montée du courant romantique. En cela on peut donc se demander comment ce tableau est-il à travers sa conception , son sujet et sa réception, représentatif du passage du XVIIIème siècle au XIXème siècle , à travers une présentation de l’œuvre amenant à la réflexion de la

entièrement hostile, se sentant seul, égaré, plein de désirs, mais n'ayant pas d'objet possible sur lequel les fixer. Sa quête est vertigineuse et ne trouve pas de fin. Comme les intellectuels de sa génération, qui préfigurent le mal-être de la jeunesse romantique, Chateaubriand, tout comme Constant ou Senancour donnèrent naissance à de jeunes héros dévorés par le vague des passions, un ennui et un dégoût maladifs de la vie à un âge où le coeur déborde des plus belles passions. Chateaubriand, dans une

si l’on n’est pas écrasé par la société il faut se révolter contre elle et la dominer soi-même, il y a les personnages écrasés et ceux qui se révoltent > la valeur romantique, ce qui envoie aux théories subversives de la fin du siècle. Rastignac qui veut contrôler la société, la renverser (personnage de Balzac). La musique romantique exprime la distinction entre l’oppressé et l’oppresseur, Rossini > Othello, la romance du Saule de Cecilia Bartoli. Julie de La femme de 30 ans chante cette chanson

lectures d'oeuvres dans sa jeunesse romantique pour imaginer ce qu'Emma peut imaginer (une lune de miel p 56-7, un enlèvement (chap 12 p 190-1, 3965-87 + 4012...) Et le premier titre à apparaître est Paul et Virginie, chap 6 p 51, un des deux seuls titres à rester dans le roman, avec Génie du Christianisme de Chateaubriand, la lecture obligatoire au couvent + Conférences qui rappelle qu'on n'est pas si loin de la révolution française... Pensons à Corinne, Atala, Les Souffrances du jeune Werther,

cause les conquêtes de la Révolution et de l’Empire. La bourgeoisie libérale, positiviste et matérialiste, forte des progrès scientifiques, préside à l’éclosion d’un monde nouveau. Le moderne s’oppose à l’ancien. En art, le classique s’oppose au romantique. La France s’ouvre aux influences européennes. Perdue entre les deux, la jeunesse est plongée dans « le mal siècle », fuyant le présent et la réalité en se réfugiant dans le passé, dans la religion, dans l’inconnu. Elle hisse l’imagination au rang

qui suscite divers plaisirs chez le lecteur. Mais la fonction du roman se réduit-elle à satisfaire le goût de ce dernier ? Peut-il nous aider à mieux appréhender le réel afin de nous y faire réfléchir dessus ? En premier lieu, nous analyserons en quoi et pourquoi le roman est un "beau mensonge". Ensuite, nous remarquerons qu'il peut toutefois se vouloir réaliste et chercher à dépeindre une vérité. Enfin, nous verrons que le romancier ne se limite pas à la description, il peut aller au delà et apporter