Énergie potentielle électrostatique

d’innovation technique.  Qu’il s’agisse de produits manufacturés ou d’ouvrages, toute réalisation technique se doit d’intégrer les contraintes techniques, économiques et environnementales. Cela implique la prise en compte du triptyque « Matière 1 – Énergie – Information » dans une démarche d’éco conception 2 incluant une réflexion sur les grandes questions de société : - l’utilisation de la matière pour créer ou modifier les structures physiques d’un produit ; - l’utilisation de l’énergie disponible

Les résistances peuvent être associées soit en série soit en parallèle Série R1 R2 R = R1 + R2 R1 Parallèle R= R2 Fig. I-4 : association de résistances R1 R2 R1 + R2 I.5 La masse Quand on parle de tension, il s'agit d'une différence de potentiel entre deux points d'un circuit. Ainsi, dans la figure ci-dessous, on a : V1 = VA - VB V2 = VB – VC V3 = VC - VD U = VA - VD En électronique, on a l'habitude de considérer un point du circuit comme référence de tension (tension zéro) qu'on appèle

messages cellulaires spécifiques. Ces réactions sont d'autant plus efficaces que la réactivité des nanoparticules est élevée, elles peuvent donc jouer le rôle d'enzymes mais en étant plus rapides voire plus efficaces. Cependant, elles présentent un potentiel de toxicité qui varie selon les matériaux utilisés. Les différentes propriétés de surface influencent l'activité de ces particules en milieu biologique. Ainsi les nanoparticules inhalées établissent plusieurs interactions en milieu biologique au

supernovae de grand redshift, que l’expansion de l’univers est en train de s’accélérer. Dans le cadre de la théorie gravitationnelle standard, cela implique que ÉC LE O LY PO 3 CH TE IQU N E 4 le contenu en énergie de l’univers est dominé par une énergie effective du vide ou, de façon équivalente, par une constante cosmologique. Comme il s’agit d’une nouvelle forme d’énergie qui n’est pas associée à une particule élémentaire, cette découverte, si elle se confirme, serait sur le même

agrosystème, moins le rendement énergétique global (rapport entre énergie produite et énergie consommée) est intéressant. • La production animale nécessitant une importante production végétale, son bilan global de matière et d’énergie est encore plus défavorable pour l’environnement. • Ainsi, consommer de la viande ou un produit végétal n’a pas le même impact écologique. Par exemple, la production d’un kilo de viande : – utilise la même énergie et la même surface de terre que la production de 160 kg de

Gr 26B+27 Gr 19+20A 43 37 40 31 28 34 44 38 41 32 29 35 45 39 42 33 30 36 TD3BC (1ère partie) Histologie TD2CO Synthèse de molécules organiques 25 19 22 16 10 13 26 20 23 17 11 14 27 21 24 18 12 15 TD2U3A / M. GOUNOT Electrostatique 7 1 4 8 2 5 9 3 6 TRAVAUX DIRIGES DE LA P.A.E.S.1 : 1er SEMESTRE 2010-2011 DATES Horaires UE1-ATOMES Biomolécules, Génomes 6 TD (sur 5 jours) Mme PERRIN-SCHMITT F. Méd. / BATIMENT 3 1 TD (sur 15 jours) Mme SAMAMA Brigitte Méd. / BATIMENT

l'objectif visé et l'endroit où se trouve la raffinerie, selon aussi la nature des bruts traités (par exemple brut BTS ou HTS, brut naphténique ou aromatique) la structure de la raffinerie à construire est différente ; selon également les besoins potentiels locaux la raffinerie peut être très simple ou très complexe. Souvent en Europe, aux États Unis et généralement dans des régions où les besoins en carburants sont élevés, la structure des raffineries est complexe. Par contre dans les pays en développement

Elargissement des raies spectrales du à l'agitation thermique des atomes. D'où une mesure directe de la vitesse d'agitation thermique moyenne des atomes, donc de leur énergie cinétique moyenne : 1 m V2 2 où est la masse de ces atomes. On obtient alors la valeur de la température absolue T 21 de ce gaz. Elle est égale à cette énergie, par définition, à un coefficient près . Grâce à la spectroscopie il devint ainsi possible de mesurer la température superficielle d'étoiles situées à des dizaines ou

l’exactitude des résultats fournis par un appareil de mesure. I.3  Les grandeurs électriques et leurs unités Les principales grandeurs électriques q’un électrotechnicien est amené à mesurer sont les suivants : -          La tension ou différence de potentiel (ddp) entre deux points, -          L’intensité d’un courant dans une branche, -          La résistance d’un récepteur, -          La capacité d’un condensateur, -          La puissance dissipée dans un circuit, -          La fréquence et la

risques toxicologiques liés à la consommation des additifs. Le critère de la DJA repose sur des conventions : dose sans effet, facteur de sécurité. La bonne utilisation de ce critère rend une meilleure connaissance de la consommation réelle ou potentielle de l'additif. Il faut pour cela disposer de résultats d’études, d’analyses, d'enquêtes, pour évaluer non seulement les consommations moyennes ainsi que celles de certains groupes de consommateurs particulièrement exposés ou fragiles (diabétique