Enjambement

fin- atténue fait de dire poison mortelv 27 - toutes tes veines · courir - CCL + voc anatomie- vb act° + personnificat° poison- liqueur dans les veines, desc réel- représente la rapidité v 28 - (27-28)· humeur [...] léthargique· pouls- enjambement- chp lexical de l’anatomie- voc anatomie- l’action de s'arrête pas - amène le froid, amène la mort- desc réaliste, représente la viev 29 - ne pas· mouvement naturel· mais - négation- opposition avec “ne pas”- conjonction de coordination- mort-

écrire deux fois le même mot, ne pas faire d’enjambement et les quatrains doivent être isométriques. Dans ce poème, Rimbaud enfrain les règles puisqu’il utilise un enjambement entre le vers un et le vers deux, il répète “chaste robe” aux vers 2 et aux vers 8. Mais aussi dans le poème “Le dormeur du val” dans lequel Rimbaud refait un enjambement entre le vers 9 et le vers 10. c) L’inspiration de Rimbaud est proche du Romantisme puisqu’il utilise le registre lyrique, comme dans “Ma Boème”,“Rêvé pour l’hiver”ou

→ « heureux ». Le bonheur est renforcé par la lumière du soleil. La lumière est intense « feux », « éblouissent » et permanente « monotone » → joie. Le 1er quatrain met en place une image du bonheur. Les sonorités douces, les rimes riches, les enjambements (v.3 et v.4) et les alexandrins montrent et sont là pour la lenteur du poème. Ensuite si on passe au 2ème quatrain, on remarque qu’il y a un point virgule qui le sépare du 1er quatrin, sa montre qu’ il n’y a pas de rupture et il y a une continuité

beaux yeux au sourire indécis. Le vers 6 est remarquable par le retour lancinant de diphtongues sourdes : «font» - «fond» - «pleurs» - «coeurs», «ensorcelés». Le vers 7, par sa coupe irrégulière, lance un long membre de phrase qui se casse sur un enjambement. La troisième strophe est un tableau de paysages qui pourraient être ceux qu’on retrouve dans ‘’L’invitation au voyage’’ (poème lui aussi inspiré par Marie Daubrun) : ceux des Pays-Bas, qui connaissent de «brumeuses saisons», sont imprégnés de

fugitive", "nuit éternelle". On observe la métaphore du temps du temps "l’océan des âges" (21, 35-36) assimilé à l’eau -> métaphore filée du temps qui coule. Les allitérations en [l], des vers 14 et 38 par exemple, miment ainsi le bruit de l’eau. Les enjambements nombreux notamment en fin de strophe semblent précipiter le poème et rendent ainsi sensible pour le lecteur le temps qui passe trop vite. On remarque également les expressions "heure fugitive", "rapides délices" ou la phrase "le temps m’échappe

(ou suivies) : A A B B  - croisées : A B A B - embrassées : A B B A ● Les vers sont parfois regroupés en strophe. Une strophe de quatre vers est un quatrain. ● Si une phrase se poursuit d’un vers sur l’autre, il s’agit d’un enjambement. (Exemple : Tous ces jours passeront ; ils passeront en foule Sur la face des mers, sur la face des monts...) Les Figures de Style : Exprimer des ressemblances : ● Comparaison : « comme, ainsi que, de même que, pareil

effets soit d'étirement, soit de rupture, soit de mise en valeur. On constate par exemple des enjambements : - V. 3-4 : "la belle / prisonnière" - V. 17-18 : "qu'elle / Vive", qui permettent la mise en valeur du mot en position de rejet - V. 45-46 : "celle / Qu'aucun des deux…" Mise en valeur des mots en contre-rejet : - V. 33-34 : "Lequel / A le plus triste…" - V. 51-52 : "se mêle / la terre…" Enjambement qui illustre bien la continuité entre la vie et la mort. On observera que c'est souvent

restée présente et cela représente la lumière ancienne dans le temps d'aujourd'hui. III- Un poème rythmé Dans ce poème nous pouvons voir l'importance du rythme grâce à des procédés littéraires subtile. · Nous pouvons voir de nombreux enjambements, exemple avec les vers 3 et 4 : « mais de veiller comme un berger et d'appeler tout ce qui risque de ce perdre s'il s'endort » ou encore avec les vers 9 et 10 : je vous appelle, qui brillez dans l'herbe obscure comme autrefois dans le jardin, voix

de revoir un jour son village natal -> pathétique voir même tragique. L'expression "reverrai-je" est répétée dans la strophe : lamento (chant de lamentation) + enjambement (continuité) = longue lamentation. Régularité dans le rythme du poème -> mélancolie -> tristesse rampante  Le découpage des alexandrins est un peu brouillé, enjambement brouille le découpage = déstabilisation du personnage.  Sonorités en [s] et [z] -> allitération "Hélas" "saison" "maison" -> souffrance  [i] -> "petit" "village"

biographiques) / l’homme animal chouette 4 + jaguar 8 (homme de l’Afrique) position du narrateur : «regard en contre plongée Et l’angoisse au fond des rues à gratte-ciel levant des yeux de chouette 2-3 enjambement regard contrebalancé par plongée 10 tous les oiseaux de l’air /Tombant soudain = enjambement Témoignage personnel : bribes et fragments phrases nominales + présent + vers libres d’inégales longueurs =>impressions personnelles comme dans un journal intime. Partage de l’expérience/ pronoms je