Enjambement

aux canadiens français. Ce poème a une allure moderne où l’on retrouve seize fois le titre dans le texte comportant cent huit lignes. Dès la deuxième ligne, on peut voir un enjambement : « il est si beau de vous entendre/parler de Paradise Lost », on coupe la phrase en deux. On peut voir plusieurs autres enjambement : « nous sommes un peuple inculte et bègue/mais ne sommes pas sourds au génie d’une langue »; « nous sommes un peuple peu brillant/mais fort capable d’apprécier/toute l’importance

de tablier blanc en Africains « vêtus d’un pagne ». - L’emploi du mot « échine » pour désigner la partie supérieure des tramways, celle qui porte les « feux », métamorphose ceux-ci en bêtes presque mythiques qui semblent surgir de la nuit. Enjambement de la strophe 3 (v. 13-14)  accélération du rythme, se rapporte au caractère trépidant de la vie parisienne. Reflets des sentiments du poète dans son milieu parisien : Expression du sentiment de douleur du poète : termes appartenant au lexique

m’enivre ardemment des senteurs confondues », « la gourde où je hume (respire) à longs traits le vin du souvenir ». Le parfum devient une sensation tactile, intense. Les enjambements sont fréquemment utilisés pour mimer l’envol de l’imagination, l’agrandissement de l’espace, la multiplication des sensations : les enjambements les plus significatifs sont ceux qui débouchent sur un second vers énumératif, ce qui accentue encore l’impression de rythme en expansion. Dans les quatre exemples qui suivent

Weber/funèbre) - allitération en [r] à l’allemande - cadence majeure du décasyllable : alternance ryhtmique 4/6 (“Il est un air/pour qui je donnerais” et 1/3/3/3 “ Or /chaque fois/ que je viens/ à l’entendre”)  l’irrégularité, renforcée par de nombreux enjambements, confine à la fugacité, phénomène d’écoulement du poème // mélodie // rivière “qui coule entre des fleurs" Comme le poète qui “vient à l’entendre” (verbe venir = retour, certaine passivité) à plusieurs reprises (“chaque fois” indique la récurrence)

mener l’histoire sur un rythme vif. Cette f able est composé d’octosyllabe et d’alexandrin, il y a donc une alternance. Diérèse au vers 1. Ces vers donnent parfois une impression de prose, grâce aux enjambements et aux rejets ça permet d’enlever la régularité et la monotonie. = enjambement, ils mettent en valeur une idée en début de vers. (vers 3-4 , 8-9 , 26-27). Par exemple vers 27, la cruauté de la reine qui à tuer l’enfant et l’épouse du cerf. Ligne 31 et 40= rejet, c’est un renvoi

Ce ci rejoint l’image du pont qui s’opposeà l’eau quibouge.II Le renouvellement du lyrisme et des clichés poétiques:un poème musical et incantatoireA.Le refrain et les répétitions: une forme-sens fondée sur la circularité et lesrépétitions•Les enjambements jouent un rôle important dans le poème car ils rompent avec la tradition et brouille les pistes (processus chère au coeur des cubiste). Par exemple lesV1 et 2 en forme un ou les vers 1, 2 et 3 en forme un autre ce qui donne des verspolysémiques

alternance des rimes féminines et masculines respectées DE LA CRISE à la FOLIE Quatrains I, II, III et IV développent 1 seule phrase ponctuée de 3 subordonnées avec 3 "Quand" et aboutit à son paroxysme dans la proposition principale + les enjambements donnent une impression de mouvement lent et enchaîné et marquent la continuité de l’angoisse + sonorités dominantes nasales en "an", sifflantes en "s", l'assonance en "i" souvent à la rime -> le climat est douloureux - La montée de la crise

sujet vulgaire. Non seulement il compare sa simple querelle de bassecour à la guerre de Troie, transformant de modestes coqs en héros légendaires. Il utilise aussi des procédés littéraires nobles tels qu'un alexandrin du vers 1 prolongé par un enjambement en octosyllabe. Ce procédé, soit la juxtaposition de vers de différentes longueurs, est appelé hétérométrie et provoque une accélération du rythme afin de maintenir l'attention du lecteur. L'utilisation de l'hétérométrie est très présente dans la

sur mon cœur;que je les vois brûler à travers ton sourire » Les 4 quintils sont hétérométriques et les rimes sont toujours croisées.De plus , on peut constater qu'il y a des contres-rejets à chaque debut de strophe, sauf la dernière, et de grands enjambements . On peut interpreter ceci par un grand manque habituel et repétitif de la femme qui se termine à la dernière strophe , elle abandonne. Ce manque peut être illustré par une depression presque maladive qui pourrait laisser place à une mort imminente

traverser ; puis ; ralentit ; longtemps ; rester ; lentement ; à l'arrivée » -De la nature : « campagne ; paysage ; oignon ; relief ; bruyère ; vigne ; eucalyptus » Allitérations : -En « r », « s » Verbes : à l'infinitif, Phrases : Non terminées : enjambement, phrases rallongées, Ponctuation : rare ponctuation, (prose intervient à la fin et au milieu(à l'hémistiche), qui fait un rythme particulier) Figures de style : -« La campagne accroupie » = personnification, convoi ralentit, accroupie → référence