Enjambement

brûlait, , implorait, j’adorais, faisais, offrais = le temps passé, valeur durative*l’évite partout*se fait passer pour 1 marâtre ; métaphore théâtrale : j’affectai( jouer un rôle)*fait exiler H*fait bouger les choses, essaie d’agir, visible par enjambement v 295/ 296 = accentue rapidité de ses actesÉchoue à chaque fois : *chiasme d’un incurable amour remèdes impuissants. 2 adjectifs avec préfixes négatifs : in/ im. Place du mot en vain en début de vers. *Simultanéité entre imploration de Vénus et

de lecture : Vers 4 : attention au rythme : 4 + 2 // 1 + 5 Vers 5 : diérèse avec « occasion » à prononcer o-cca-si-on (4 syllabes) Vers 12 : rythme 1 + 5 Noter les enjambements dans le premier quatrain : problème => comment accorder le rythme et la syntaxe ? (contre-rejet et rejet) [le sens s’accorde avec ces enjambements puisqu’il s’agit du discours et du cours d’eau qui coulent touts deux de vers en vers – N.B. : on pourrait faire remarquer que le discours langoureux du narrateur est pris

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mare si riapriva alla navigazione. Nel verso c’è parallelismo tra i diversi elementi: pronome relativo / sostantivo in accusativo / aggettivo composto // pronome relativo / sostantivo in accusativo / aggettivo composto. Tra il v. 3 e il v.4 c’è un enjambement. v.4 CONCELEBRAS = parallelo a concipitur del v.5. E’ in rejet con il v. 3. Deriva dall’aggettivo celeber, che significa “frequentato”. TE = inizia il du schtil, lo “stile del tu”, tipico degli inni. Il pronome e l’aggettivo possessivo di seconda

fois dans la littérature apparait l adolescence Nous sommes dans le contexte romantique : mac pherson L adolescence se promène seul dans la nature c est le vague des pations (1810) musset decrit son enfance romantique Enjambement : la syntaxe dépasse la métrique Enjambement avec reject enjembemet contre rejet Leitmotiv : lenfant qui revient Le theme de l arbre solitaire c est le theme de topos (les topoil) c est un lieu commun Quand on compare les reprises la vision evolue avec l auto personnage

6/6 v1 coupe accentuée par les temps différents et les chiffres "deux" "une"/ v 10 à l'hémistiche choc des deux termes "vainqueur" "vaincu" / v 14 thème du regard "ses yeux" "Il voyait" = obsession - enjambements : dans l'apostrophe à Eros + v 9 solennité renforcée - longueur des phrases phrase 5 v 10 à 14 / phrase 6 v 14 à 18 - les hyperboles "la guerre allumée" "pleura sa gloire et ses amours" 2- l'ironie sur les personnages

fugitive", "nuit éternelle". On observe la métaphore du temps du temps "l’océan des âges" (21, 35-36) assimilé à l’eau -> métaphore filée du temps qui coule. Lesallitérations en [l], des vers 14 et 38 par exemple, miment ainsi le bruit de l’eau. Les enjambements nombreux notamment en fin de strophe semblent précipiter le poème et rendent ainsi sensible pour le lecteur le temps qui passe trop vite. On remarque également les expressions "heure fugitive", "rapides délices" ou la phrase "le temps m’échappe

passé• Adj mélioratifs au superlatif• Isotopie lumière et fructification, images de la maternité // A30 : fertilité• v1-2 : allitération en [l] : temps de l’harmonie• « dessous » : image d’un roi stellaire, comme un astre ; rayonnement• plusieurs enjambements/rejets : continuité, harmonie, comme si tout « coulait »→ temps de l’abondance et du rayonnement = âge d’or, studium et imperiumQ2 = le temps contrasté du règne d’Henri II• Renversement : « mais »• Encomion : « tel fruit », « beau part » : insistance

soleil. Autre exemple, si l’on prête attention, dans la phrase « le soleil […] luit », on peut remarquer la position du verbe « luire » en début de vers alors qu’il appartient à la phrase située dans le vers précédent. C’est ce qu’on appelle un enjambement ou un rejet qui, en brisant le rythme du vers, insiste sur la luminosité du soleil, On peut trouver une autre métaphore tel que L8 « ou la lumière pleut » cette métaphore associe la lumière à la pluie, ce qui a pour but d’insisté sur l’abondance

c'en est fait, Néron est amoureux. (…) Mes yeux sans se fermer ont attendu le jour » Remarque de lecture Diérèse, vers 385/386 → Cu/ri/eux. Liaison, vers 387 → Arriver en ces lieux. vers 394 → saisi d'un long étonnement. Enjambement, vers 389/390. Césure à l'hémistiche, vers 396. Situation de la scène : C'est un extrait qui se situe au début de la tragédie, qui suit l'acte d'exposition. Pendant tous l'acte 1, Néron est le centre de toutes les conversations. Racine