Enjambement

Présence du champ lexical du combat : ceci donne le profil du loup Utilisation du mot « mâtin » : le mot est plus impressionnant que Dogue, ce qui montre l’évolution du jugement du loup à propos du gabarit du chien. Il s’affine. Présence d’un enjambement Les pieds des vers changent lorsqu’il y a un passage à une autre péripétie. Présence du champ lexical de la parole, qui est une antithèse aux véritables intentions (faire la guerre). De plus, les intentions sont au passé, et les résolutions du

fugitive", "nuit éternelle". On observe la métaphore du temps du temps "l’océan des âges" (21, 35-36) assimilé à l’eau -> métaphore filée du temps qui coule. Les allitérations en [l], des vers 14 et 38 par exemple, miment ainsi le bruit de l’eau. Les enjambements nombreux notamment en fin de strophe semblent précipiter le poème et rendent ainsi sensible pour le lecteur le temps qui passe trop vite. On remarque également les expressions "heure fugitive", "rapides délices" ou la phrase "le temps m’échappe

demande de ne pas faire. Un autre élément humoristique : elle exagère à propos de la taille de l’oeuf via la comparaison « mon mari vient de pondre un œuf gros comme quatre » vers 21, avec comme comparant « comme ». Puis au vers 22, nous avons un enjambement qui se poursuit au vers 23 « Au nom de dieu gardez vous bien// d’aller publier ce mystère » qui renvoie du suspens D’autre part la commère va aussi divulguer le secret. La commère rassure la femme du pondeur en lui disant « Vous moquez-vous ? »

du poème, je cite : « Je veux lui jouer de finesse » et « Je ne veux pas perdre ainsi ma jeunesse ». La réapparition du JE exprime une prise en main, le narrateur se réveille et est libre. Il passe de la faiblesse à la force. Nous remarquons un enjambement au vers quatre se prolongeant sur le vers cinq, je cite : « Rien ne sait du vieil art qu’apprend Vénus ». On remarque que Clément Marot invoque Vénus, la déesse de l’amour. Le « vieil art » et le « vieillard » est une rime riche. Ce vieil art renvoie

au vertige de ses propres années perdues. Il s’agit plus certainement de la jeunesse de l’écriture, de sa poésie d’avant qu’il éloigne par des points de suspension et un enjambement. La rupture est nette. Aussitôt et de façon brutale, il impose la vieillesse par la métaphore des portes grinçantes qui se ferment. Cet enjambement, qui notons-le nous indique une poésie en vers libres, accentue la soudaineté si bien qu’on a presque l’impression d’entendre les portes claquer. La vieillesse ferme la vision

« vi-o-lente » ð mise en valeur du mot, accentuation - absence de rimes ð ce sont parfois des assonances (mêmes sons qui reviennent)   3)      Mouvement du poème   -          Fluidité due à la présence d’un refrain, à  l’absence de ponctuation, aux enjambements et à l’image de l’eau qui coule tout le long du poème -          Musicalité du poème : fait penser à une chanson -          Strophes non traditionnelles : elles sont particulièrement courtes                Analyse de la 1ère strophe :         décasyllabe

début du texte le récit est long à l’occasion des 4 premiers vers, les décasyllabes ici présentes traduise d’autant plus cette lenteur au début du récit. Puis on assiste à une accélération du Vers 5 au Vers 9 (il y a des verbes d’actions, des Enjambements et à nouveau des octosyllabes) Ainsi plus les vers sont court plus le texte est rapide. Au vers 9 jusqu’au vers 32 on retrouve de nouveau un ralentissement c’est la longue tirade du chien. Du vers 33 au vers 42 c’est l’accélération du rythme

de revoir un jour son village natal -> pathétique voir même tragique. L'expression "reverrai-je" est répétée dans la strophe : lamento (chant de lamentation) + enjambement (continuité) = longue lamentation. Régularité dans le rythme du poème -> mélancolie -> tristesse rampante Le découpage des alexandrins est un peu brouillé, enjambement brouille le découpage = déstabilisation du personnage. Sonorités en [s] et [z] -> allitération "Hélas" "saison" "maison" -> souffrance [i] -> "petit" "village" "cheminée"

effets soit d'étirement, soit de rupture, soit de mise en valeur. On constate par exemple des enjambements : - V. 3-4 : "la belle / prisonnière" - V. 17-18 : "qu'elle / Vive", qui permettent la mise en valeur du mot en position de rejet - V. 45-46 : "celle / Qu'aucun des deux…" Mise en valeur des mots en contre-rejet : - V. 33-34 : "Lequel / A le plus triste…" - V. 51-52 : "se mêle / la terre…" Enjambement qui illustre bien la continuité entre la vie et la mort. On observera que c'est souvent

donc souvenir = papillon. Enivrant : parfum. Le parfum est tellement enivrant que l'homme a un malaise : les yeux se ferment, le vertige saisit l'âme. Vertige : sensation de tomber. Souvenir : ivresse. Vertige : importance, aspiration vers le bas, enjambement au vers 15. Le vertige saisit l'âme : personnification du vertige. Voilà, souvenir, enivrant, voltige,… : allitération en « v » qui annonce le mot « vertige ».   Vertige : milieu du poème, axe de symétrie : montée jusqu'ici, puis vertige et aspiration