Enron Conflit Entre Dirigeant Et Actionnaire

pour les entreprises en question, ces banques les ont même encourageaient en toute connaissance de cause. A) Le cas Enron C’est l’entreprise qui permet de mieux comprendre les enjeux de certaines sociétés dans l’économie bulle. L’histoire de l’entreprise Enron est exposé au chapitre 10 dont le prélude de l’auteur donne l’impact du désastre : « la compagnie énergétique Enron est devenue le symbole de tous les vices des folles années 1990 : entreprises cupides, fraudes comptables, trafic d’influence

Introduction Les débats sur les rémunérations excessives des dirigeants, le cumul des fonctions de président du conseil d’administration et de directeur général, l’exercice des droits de vote aux assemblées générales ou encore la responsabilité des membres du conseil d’administration ont permis de promouvoir certains aspects de la gouvernance d’entreprise. Mais qu’est-ce que la gouvernance d’entreprise et quel est son objectif ? Différentes définitions permettent d’apporter des premiers éléments

I. Introduction II. Définition de la théorie d’agence III. Les fondateurs de la théorie IV. Les conflits d’intérêts V. Les normes VI. Les implications VII. Les coûts d’agence VIII. Les conséquences dans les pratiques managériales IX. Les limites de la théorie d’agence X. Conclusion XI. Bibliographie INTRODUCTION Comprendre les relations entre les hommes dans l’entreprise passe souvent par une analyse théorique dont certains ne perçoivent pas l’intérêt

les détenteurs de capitaux de l'entreprise (actionnaires), ils apportent des fonds financiers nécessaire au développement de l'organisation, ils peuvent participer a la direction de l'entreprise, ils ont un pouvoir de contrôle et touchent des dividendes. => la direction, ce sont les personnes qui sont en charge de la gestion courante des affaires de l'entreprise mais aussi du développement de la stratégie validée par les actionnaires. Les dirigeants sont payés par un revenu mais ils peuvent avoir

* Les réunions publiques ou individuelles, le « slideshow » * Le Roadshow * L’Assemblée Générale * La gestion de la relation actionnaires 3) Le marketing direct, intégrant l’édition * Le rapport annuel : 80% du budget comm en général * La lettre aux actionnaires / la newsletter : par voie papier ou mail * Le guide des actionnaires 4) La communication médiatique * La publicité financière (notion de pull et puch) * Les sites internet * La communication

monde au début des années 2000. Exemple : Enron, Worldcom… Loi sur la sécurité financière (LSF) : adopté le 17/07/2003 en France afin de renforcer les dispositions légales en matière de gouvernance d’entreprise. Elle repose principalement sur : * Une responsabilité accrue des dirigeants. * Un renforcement du contrôle interne (outils mis en place pour améliorer perf et minimiser les risques d’erreurs, fraudes). * Une réduction des sources de conflit d’intérêt. Les normes Bäle II (nouvels

Arabe des Chefs d'Entreprises (IACE), de la Tunisie Pourquoi étudier la gouvernance d’entreprise ? J’ai identifié quatre points à développer : • Les bonnes perspectives sur la croissance économique et le danger des pratiques obscures, • La corrélation entre la gouvernance d’entreprise et le niveau de démocratie dans un pays, • La gouvernance d'entreprise peut également conduire à la prospérité et à l’équité économiques, La gouvernance d'entreprise entraîne la réussite des entreprises. Pourquoi les entreprises

récentes. Outre l’aspect non normatif de ces rapports, la législation de par son évolution a permit d’aboutir à un cadre permettant de régir certains mécanismes de gouvernance. C’est ainsi qu’à la suite du scandale d’Enron, la loi Sarbannes-Oxley est entrée en vigueur aux Etats-Unis d’Amérique. Concernant la France, celle-ci a parallèlement mis en place une législation similaire comme la NRE en 2001. Preuve que les états ont pris conscience des dangers liés aux mutations économiques, de la gravité des

La théorie de la gouvernance d’entreprise : Gérard CHARREAUX propose la définition suivante de la gouvernance d’entreprise  » qui recouvre l’ensemble des mécanismes qui ont pour effet de délimiter les pouvoirs et d’influencer les décisions des dirigeants, autrement dit qui gouvernent leur conduite et définissent leur espace discrétionnaire « (1). Les réflexions à ce sujet ont été engagées par la fameuse contribution de BERLE et MEANS(2). Rejoignant l’idée déjà exposée auparavant par Adam SMITH

gouvernance de l’entreprise suscite des débats et des controverses en raison de la multiplication des scandales financiers (Enron-Andersen, Worldcom, Ahold, Parmalat, Batam, etc.). La gouvernance traditionnelle destinée à servir la création de valeur actionnariale présente des limites. Elle se fonde sur la théorie de l’agence, et privilégie la relation actionnaires/dirigeants. La maximisation de la valeur actionnariale à court terme se fait souvent sur un plan pratique au détriment du potentiel humain