Ensemble

remarquable: sans entrer dans le détail mathématique, il est loisible de représenter les deux ensembles: I et J, simultanément sur les plans factoriels, de telle sorte que la position d'un point de l'ensemble I (resp. J) y est interprétable par rapport à l'ensemble de tous les points de l'ensemble J (resp. I). Pour cette raison, la plupart des logiciels éditent la représentation simultanée des deux ensembles dans les plans principaux demandés. 2 On retiendra impérativement que cette interprétation

1 sur 8 ENSEMBLES DE NOMBRES I. Définitions et notations Non exigible 1. Nombres entiers naturels Un nombre entier naturel est un nombre entier qui est positif. L'ensemble des nombres entiers naturels est noté ℕ. ℕ= {0 ;1;2 ;3 ;4...} . Exemples : 4 ∈ℕ -2 ∉ ℕ 2. Nombres entiers relatifs Un nombre entier relatif est un nombre entier qui est positif ou négatif. L'ensemble des nombres entiers relatifs est noté ℤ.  = {...−3 ;−2 ;−1; 0 ;1; 2 ; 3 ...} . Exemples : -2 ∈ ℤ 5∈ ℤ 0,33 ∉ ℤ 3. Nombres décimaux

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2 Logique et langage des ensembles 2.1 Propositions et op´rateurs logiques e 2.2 Quantificateurs . . . . . . . . . . . 2.3 Techniques de d´monstration . . . e 2.3.1 R´currence . . . . . . . . . e 2.3.2 Contrapos´e . . . . . . . . . e 2.3.3 D´monstration par l’absurde e 2.4 Langage des ensembles . . . . . . . 2.5 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . 3 Suites r´elles et complexes e 3.1 Limite d’une suite r´elle

valeurs observées les plus élevées et les plus faibles dans un ensemble de données. L'étendue, valeurs aberrantes comprises, est donc la dispersion réelle des données. Étendue = différence entre les valeurs observées les plus élevées et les plus faibles On ne tient pas compte de beaucoup de renseignements lorsqu'on calcule l'étendue, puisqu'on n'examine que les valeurs les plus élevées et les plus faibles. La valeur de l'étendue d'un ensemble de données est grandement influencée par la présence d'une

changement de prix et de revenu 1.1. Définition ! Définition : la contrainte budgétaire décrit les différents ensembles de biens que le consommateur a les moyens d’acheter. !Les contraintes de budget limitent les possibilités de consommation des individus. 1.1. Définition ! Définition : un panier de biens est un ensemble composé d’un ou de plusieurs produits. ! Les ensembles de biens accessibles dépendent de 2 facteurs : le revenu et le prix. 1.1. Définition Exemple ! Budget hebdomadaire

solutions technologiques ou sous ensemble du mécanisme destinés à les réaliser. Il existe plusieurs outils permettant trois types d’approches : − L’approche fonctionnelle : Elle permet d’identifier les besoins auxquels répond le système c’est à dire les fonctions de service qu’il réalise et la manière dont il répond à ses fonctions en les décomposant en plusieurs fonctions techniques. − L’approche structurelle ( matérielle ) : Elle permet d’identifier les différents sous ensemble du système et de les mettre

IDENTIFIER PARMI LES PRODUITS ET MARCHÉS DE L’ENTREPRISE DES ENSEMBLES HOMOGÈNES PERMETTANT DE CONSTRUIRE LA RÉFLEXION STRATÉGIQUE. CETTE PHASE EST ESSENTIELLE CAR DE LA DÉFINITION DE CES ENSEMBLES DÉPENDRONT L’identification des concurrents La prise en compte des attentes du marché Des choix stratégiques adaptés L’organisation structurelle de l’entreprise La qualité de la démarche stratégique dépendra d’une segmentation pertinente. Ces ensembles homogènes sont appelés DAS (Domaines d’activité stratégique)

toutes les valeurs à l'intérieur d'un ensemble de données afin d'obtenir la mesure de dispersion. La variance (symbolisée par S 2) et l'écart-type (la racine carré de la variance, symbolisée par S) sont les mesures de dispersion les plus couramment utilisées. Nous savons que la variance est une mesure du degré de dispersion d'un ensemble de données. On la calcule en prenant la moyenne de l'écart au carré de chaque nombre par rapport à la moyenne d'un ensemble de données. Pour les nombres 1, 2 et 3

f (−x), soit h(x) = f (x)+f (−x) 2 ; En calculant (2) − (4) on obtient 2g(x) = f (x) − f (−x), soit g(x) = Serge Dumont f (x)−f (−x) 2 Mathématiques 2015-2016 13 / 44 4 – Composition de fonctions 4.0 – Définition 9 Soient X, Y et Z, 3 ensembles quelconques. Soient 2 fonctions f : X → Y et g : Y → Z. On définit la composée de f par g, notée g ◦ f par : Pour tout x dans X, (g ◦ f )(x) = g(f (x)). (On applique f à x, puis g à f (x)). Exemple : f : x → x2 + 1 Df = IR ; g : x → cos(x) Df

l’Eupharte . L’antiquité connaissait déjà de gigantesques mégalopoles .Au VI eme sielce Babylone compte ferment ses 400 000 habitants : compte tenu de la croissance démographique intervenue entre temps , elle égale , en densité , nos plus gros ensembles urbains . Bâtie sur un plan rectangulaire , elle aligne les rues en échiquier comme Manhattan le fera 2500 ans plus tard, mais ses larges avenues de dix mètres et ses hautes constructions ont pour fonction de magnifier la puissance de son prince Nabuchodonosor