Epargne Productive

l’amplitude dépend de la propension marginale à consommer. * l’investissement induit par ailleurs un effet de capacité, il permet d’augmenter la quantité de capital, c’est-à-dire la capacité productive. L’effet les capacités de l’investissement dépendent du coefficient technique qui indique la capacité productive d’une unité de capital La croissance est équilibrée lorsque l’effet de demande et l’effet de capacité sont équivalent, c’est-à-dire lorsque la demande évolue en harmonie avec les capacités

humain par des machines (= capital fixe) L'entreprise qui veut produire a moindre coût aura tendance tendance a substituer du capital au travail si le salaire augmente plus rapidement que le prix du capital. Elle choisit alors une une combinaison productive plus capitalistique (c a d utilise une propention plus grande du capital par rapport au travail => cout moins cher) b/ Les effets pervers d'une augmentation des salaires * Augmentation des salaires = baisse de profit pour les entreprises

matérielle de la richesse alors qu'avant on assistait à une conception monétaire de la richesse, désormais on est dans un secteur réel. Cette richesse matérielle est conçue par la nature (c'est un don). Pour eux l'agriculture est donc la seule activité productive et cette agriculture performante entraide une nation puissante puisqu'elle est riche et peuplée. L'agriculture est la seule activité qui va utiliser le bien et donc va dégager un surplus. ex: 2 grains de blé en terre = 5 grains de blé à la fin

pour leur permettre d’entreprendre leur activité de production, c'est à dire d’investir, de payer des salaires aux ménages qui a leur tour vont dépenser ces revenus pour consommer des biens de consommation et pour le reste, ils les déposeront en épargne auprès des banques. La monnaie part des banques vers les entreprises puis des entreprises vers les ménages (circuit de la monnaie). Toute l’analyse systémique est une analyse macroéconomique du circuit. L’idée du circuit monétaire a pris vie a la

L'entrepreneur choisit la combinaison productive : pour choisir une combinaison productive, le chef d'entreprise prendra en compte au moins deux éléments pour décider de la combinaison productive retenue : le coût relatif du capital et du travail (si le travail est relativement bon marché, l'entrepreneur aura intérêt à utiliser relativement beaucoup de travail s'il a le choix, ou à produire des produits nécessitant beaucoup de travail) et l'efficacité productive de la combinaison retenue,

marché ? - Il est un indicateur de rareté - le prix est un signal sur la situation de marché -le prix a une fonction d'information, d'orientation, d'incitation, de sanction -Ils font des précisions et ont le choix entre 3 décisions : Consommer/ épargner/ investir - Les agents économiques procèdent à une analyse coût/avantage/ risque pour déterminer la conduite optimale à adopter. ------------------------------------------------- Coûts à supporter avantages de la décision prise décision=

collectifs, nécessaires à l’activité de l’entreprise ; – la Sécurité sociale, qui rembourse certains actes, par exemple, aux salariés les soins médicaux nécessaires. _ L’entreprise elle-même conserve une fraction de la valeur ajoutée qui constitue son épargne. Celle –ci comprend les bénéfices mis en réserve et la dotation aux amortissements qui sert à financer le renouvellement du matériel. Ainsi, les revenus naissent de la production des entreprises. [pic] B. La répartition de la valeur

frein au développement de leurs activités économiques. C'est-à-dire : "faible revenu" --> "faible épargne" --> "faible investissement". Faible revenu --> injection de crédit --> investissement --> + de revenu --> + d'épargne --> + d'investissement --> + de revenu. Avant 1975, on utilisait un système de "tortine" en Afrique : groupement de personnes qui vont collecter entre eux de petits épargnes, chacun en bénéficie à son tour. Banques classiques "formelles" - mais phénomène d'exclusion.

avec e= p/v. e représente pourcentage de plus-value appropriée par le capitaliste ou prise au prolétaire et g=c/v (combinaison productive). g renvoie à l'intensité capitalistique de la combinaison productive. Marx présente alors que la concurrence entre capitalistes conduit à l'achat de machines toujours plus récentes qui intègrent le progrès technique et son plus productives car elles permettent de produire plus de marchandises dans un même temps de travail. La loi d'accumulation qui consiste à investir

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