Equilibre Monétaire Chez Les Classiques

La loi des débouchés a-t-elle été toujours et partout vérifiée ? L'œuvre principale de JB Say, le Traité d'économie politique (1803), constitue une représentation importante de l'école classique française. L'apport principal de Say est constitué par la loi des débouchés. Pour lui,  « l’offre crée sa propre demande », car dès que le producteur a terminé un produit, son premier souci est de le vendre pour sa valeur et de se défaire du revenu ainsi acquis, afin de se procurer d'autres produits de

monnaie peut être dû à une émission massive par l'État (l'illustration la plus marquante de ce facteur pourrait être la situation financière de l'Allemagne au début des années 1920). Le système de crédit est quant à lui un instrument de création monétaire moins direct que la "planche à billet". Dans ce cas, la création de monnaie est faite par les banques privées. Lorsque les banques prêtent de l'argent à un agent économique, ce dernier le dépense en achetant des biens et services à un autre agent

consacré à la production, il y aura des pertes, en d’autres mots l’offre ne crée pas sa propre demande ce qui contredit la théorie classique (Loi de Say). Pour Keynes ce qu’il faut à ce moment là c’est un investissement suffisant pour absorber l’excès de la production totale. Il y a donc un équilibre où toutes les capacités ne sont pas employées, c’est donc un équilibre de sous emploi. Quand l’incitation à investir n’est pas suffisamment forte et ne peut pas absorber toute la production non consommée

Quels sont les objectifs de la macroéconomie ? a) Croissance forte, plein-emploi, stabilité des prix et solde commercial équilibré ou excédentaire. b) Politique budgétaire, politique monétaire, politique de revenus et politique de commerce extérieur. c) Équilibre budgétaire, faible fiscalité, lutte contre le chômage et solde commercial équilibré ou excédentaire. d) Équilibre budgétaire, croissance forte, plein-emploi et stabilité des prix. Q.3. Dans l’équation de consommation ࡯ ൌ ࡯૙ ൅ ࢉࢅࢊ où

lorsque la crise est résorbée, que les obstacles au profit sont surmontés, les nouvelles théories « révolutionnaires » qui ont vaincu la forteresse de l‟hégémonie intellectuelle se transforment elles-mêmes en paradigmes figés, comme la théorie néo-classique. Les crises deviennent alors un sujet assez peu à la mode, sinon carrément considéré comme obsolète, le nouveau paradigme assurant qu‟une telle catastrophe est maintenant devenue impossible grâce à de nouvelles pratiques économiques ou à de nouvelles

d'épargne cache des discordes théoriques relatives aux déterminants de l'épargne, aux conséquences de l'épargne sur l'économie globale et même aux différentes façons de mesurer l'épargne. Sommaire   [masquer]  1 Les formes de l'épargne 1.1 L'épargne classique 1.2 L'épargne collective 1.3 L'épargne solidaire 1.4 L'épargne involontaire ou forcée 2 La collecte de l'Epargne 2.1 Sous forme d'épargne liquide 2.2 Sous forme de placements sur le marché financier 2.3 Sous forme d'épargne contractuelle

reste autant pour les autres (ex : l’éclairage public, l’air, un parc naturel…). Le concept d’externalité c’est quand l’action d’une personne a des conséquences sur la situation d’une autre personne sans qu’il y ai de moyens de compenser de manière monétaire les conséquences ( ex : un fumeur dérange un non fumeur, on le paye pour fumer, mais s’il y a 1000 personnes c’est impossible, il vaut mieux fumer dehors, ou encore l’ensemble des pollutions, une rivière….il faut alors une intervention de l’état

- On rémunère le travail par l’achat d’un bien pour s’éviter la pénibilité de le fabriquer soi-même ou face à l’incompétence que l’on a de le produire. Les deux accep7ons de la valeur travail chez Smith permePent de concevoir une société où les individus sont complémentaires les uns par rapport aux autres dans un cadre harmonieux puisque chacun en fonc7on de ses compétences, de sa « dextérité » va pouvoir trouver une place dans cePe société

des banques centrales…………………………………………………………………………page 14 1.1.1.2. Les modèles avec bulle rationnelle de BERNANKE et GERTLER……..page 17 1.2.2. Stabilité des prix………………………………………………………....page 21 1.1.2.1. Les instruments de la politique monétaire (instruments traditionnels)....page 22 1.1.2.2. Le canal du taux d’intérêt……………………………………………....page 23 1.1.2.3. L’action directe sur le crédit………………………………………….. .page 24 1.1.2.4. Le canal du prix des actifs………………………………………………page 25 1

e. Exemple 7 2. Place de l’économie parmi les sciences 7 a. L’économiste comme scientifique 7 b. Le rôle politique de l’économiste 8 3. Résumé d’histoire économique 9 4. Les grands courants de la pensée économique 9 a. Courant classique 9 b. Courant marxiste 10 c. Courant marginaliste 10 d. Courant keynésien 10 Chapitre 1 : Le producteur 13 1. La production et le producteur 13 2. Le producteur et ses contraintes internes 13 a. Fonctionnement de production 14