Équivalence ricardienne

redistributifs dans le cadre des ménages dynastiques (Section I). Ensuite avec le rôle central des prévisions rationnelles dans les comportements desdits ménages (Section II). Pour enfin aborder l’échec des politiques de relance par l’emprunt (équivalence ricardienne), lorsque l’Etat « joue contre le secteur privé » dans les pays riches (Section III-A), ou lorsque la stabilisation des déficits publics ignore les contraintes redistributives des ménages dynastiques dans les pays pauvres d’Afrique (Section

classes d’âge influent sur taux d’épargne selon pays. d) l’équivalence ricardienne • Les agents économiques intègrent dans leur comportement la nécessité pour l’état de rembourser sa dette publique à long terme. • Une baisse des impôts avec dépenses publiques inchangées alourdit la dette publique et elle n’est pas consommée par les individus, elle est au contraire épargné. • Pour Barro, il y a équivalence entre épargne que agents constituent et la baisse des impôts de sorte que

d’effectif selon les classes d’âge influent sur taux d’épargne selon pays. l’équivalence ricardienne Les agents économiques intègrent dans leur comportement la nécessité pour l’état de rembourser sa dette publique à long terme. Une baisse des impôts avec dépenses publiques inchangées alourdit la dette publique et elle n’est pas consommée par les individus, elle est au contraire épargné. Pour Barro, il y a équivalence entre épargne que agents constituent et la baisse des impôts de sorte que leur conso

travail commandée) et de David Ricardo ( valeur travail incorporée). -l'analyse de la valeur de Smith est centrée autour de l'échange : c'est à partir de l'échange qu'il analyse la valeur, la travail créateur de pouvoir d'achat. -l'analyse ricardienne est plutôt centrée sur la p°, le travail créateur de valeur 1)De la propension naturelle à échanger à la division du travail SMITH Pour Smith (1723-1790), il existe des fondements philosophique à l'analyse de l'échange et de la D du

monétaire européenne 1. L’architecture monétaire européenne 2. La politique monétaire de la BCE 2.1 Objectifs 2.2 Les instruments 2.3 La stratégie de la BCE Partie 2 : La politique budgétaire - Equivalence ricardienne - Soutenabilité de la dette B.BERNIER ET Y.SIMON « Initiation à la macro » DUNOD MANKIN « Macro eco » DE BOECK UNIVERSITE 1999 DEVOLVY « Les pol eco européennes » SEUIL 2004 Partie1 : La politique monétaire Chapitre1

limites à la politique de régularisation de l’activité économique i Les effets d’éviction Définition : la substitution de la dépense publique à la dépense privée rend la politique budgétaire inefficace pour relancer l’activité économique (équivalence ricardienne). baisse de la consommation par anticipation de l’impôt futur G hausse des prix par pression stabilité de Y Surla demande Hausse des taux d’intérêt par baisse de iv. La contrainte extérieure Définition : la nécessité pour

agrégé la courbe de la D se déplace à la droite, mais la courbe d'O est très pointu. La demande privée est pénalisée ex-post en raison de la hausse des prix dû à la relance budgétaire. Cette politique ne fait qu'augmenter les prix. - L'équivalence ricardienne : Même si on retient l'hypo d'élasticité d'offre de biens, des ménages rationnels répondront à une baisse d'impôts ou un accroissement de la D public en restreignant leur consommation parce qu'il anticipent que le déficit d'aujourd'hui donnera lui

de convergence entre une conception plus radicale (dite post-keynésienne) de la croissance, illustrée entre autres par Joan Robinson et Nicholas Kaldor (cf. fiche 30), et un rejet du marginalisme au profit d’un retour aux principes de la théorie ricardienne, initié en 1960 par Piero Sraffa (cf. fiche 15). Une deuxième remise en cause vint de la théorie du déséquilibre qui, à la suite de Robert Clower (1965), s’efforça d’intégrer les idées de Walras et de Keynes en une théorie plus générale (cf. fiche

convergence entre une conception plus radicale (dite post-keynésienne) de la croissance, illustrée entre autres par Joan Robinson et Nicholas Kaldor (cf. fiche 30), et un rejet du marginalisme au profit d’un retour aux principes de la théorie ricardienne, initié en 1960 par Piero Sraffa (cf. fiche 15). Une deuxième remise en cause vint de la théorie du déséquilibre qui, à la suite de Robert Clower (1965), s’efforça d’intégrer les idées de Walras et de Keynes en une théorie plus générale (cf.

d’administrer, d’utiliser les ressources naturelles, totalement à l’opposé de l’art d’acquérir et de posséder. Y est incluse l’idée d’un rapport de réciprocité : Aristote ne sépare pas l’économique du social, établissant l’échange comme un « retour sur équivalence » ; on comprend donc qu’il condamne la chrématistique, qui substitue l’objet à la relation sociale puis l’argent à l’objet. De fait, l'échange, basé sur la monnaie, est toujours envisagé chez Aristote comme permettant de renforcer le lien social :