Équivalence ricardienne

comparatifs), l'impact du machinisme sur le travail des ouvriers 58 et y aborde notamment la problématique des finances publiques relative à l'efficacité de l'impôt et de l'emprunt public59. Quant à l'impôt, on peut retenir deux grandes idées de la pensée ricardienne : Premièrement, l'impôt ne peut contrarier durablement le développement, comme il ne peut empêcher ni la production d'échangeables ni l'échange international. On retrouve ici une 55 56 Ibid. p.20. Ibid. 57 P. Bezbakh & S. Gherardi (2000),"Dictionnaire

à un accord de partenariat avec les fournisseurs qui réduit le risque d’opportunisme. • Les conditions sous-tendant le théorème de Coase n’étant pas satisfaites, la création de valeur n’est pas indépendante de la réparti11 La rente (ou rente ricardienne ou rente d’efficacité) pour un apporteur de ressour- ces est égale au supplément de rémunération perçu par rapport à la rémunération minimale nécessaire à l’établissement de la transaction ; elle s’apprécie par rapport à l’entrée dans la coopération

contraction effective du volume d’activité de certains secteurs. La forte mobilité supposée des facteurs permet alors de négliger les coûts d’ajustement. La définition de la nation n’est qu’instrumentale : "bloc" de techniques de production chez les ricardiens, "bloc" de facteurs de production chez les néoclassiques. Par raccourci, les frontières économiques sont supposées correspondre aux frontières politiques. Comme ce n’est pas toujours le cas, l’"économie internationale", comme champ disciplinaire

multiplicateur. Critique sur anticipation. Les monétaristes et les classiques font des hypothèses sur la rationalité des anticipations des agents. NC font hypothèses des anticipations rationnelles. Barro : théorème de Ricardo-Barro / équivalence ricardienne. → en cas de déficit public, les agents anticipent systématiquement des hausses d'impôts futures. Donc, les deux modes de financements (impôt et emprunt) de la relance sont équivalent. Dans les deux cas, les agents épargnent davantage

en faisant en sorte que chacun puisse connaître la stratégie de réponse des autres joueurs - ce qui dans la vie réelle est rarement le cas-. Illustre le fait que des joueurs peuvent avoir intérêt à coopérer ou à partager l'information. équivalence ricardienne (effet d') Ricardo , reformulé par Barro intuition initialement développée par Ricardo selon laquelle la propension à consommer des ménages n'est pas statique, mais incorpore une composante dynamique qui est fonction des évolutions de

de la réduction des transferts des générations futures aux générations actuelles tiennent au fait que l’hypothèse de l’équivalence ricardienne n’est pas vérifiée en cas de désolidarisation des générations et à la diminution future des taxes ayant un effet de distorsion rendue possible par la diminution des transferts intergénérationnels. Par « équivalence ricardienne », on entend la notion selon laquelle la relation dette-impôt forfaitaire pourrait n’avoir aucune pertinence. Dans le présent cadre

d’administrer, d’utiliser les ressources naturelles, totalement à l’opposé de l’art d’acquérir et de posséder. Y est incluse l’idée d’un rapport de réciprocité : Aristote ne sépare pas l’économique du social, établissant l’échange comme un « retour sur équivalence » ; on comprend donc qu’il condamne la chrématistique, qui substitue l’objet à la relation sociale puis l’argent à l’objet. De fait, l'échange, basé sur la monnaie, est toujours envisagé chez Aristote comme permettant de renforcer le lien social :

perdants de la mondialisation donc que le jeu de la mondialisation peut être à somme nulle. Pour comprendre l'existence d’inégalités dans la théorie des avantages comparatifs, il faut lui faire une critique majeure : alors que cette théorie pose une équivalence entre les différentes spécialisations, l’histoire montre que toutes les spécialisations ne sont pas gagnantes à long terme. Peut-on véritablement parler d’avantage comparatif quand certains pays sont cantonnés à la production de biens sans effet

d’utiliser les ressources naturelles, ce qui s'oppose totalement à l’art d’acquérir et de posséder. Aristote inclut dans cette vision l’idée d’un rapport de réciprocité : l'économique ne peut être séparé du social: l’échange est comme un « retour sur équivalence » ; C'est un motif supplémentaire de condamnation de la chrématistique, qui substitue l’objet à la relation sociale et finalement l’argent à l’objet. Chez Aristote, de fait, l'échange, même basé sur la monnaie, est toujours envisagé comme permettant

consolider ? La réglementation actuelle française Méthodologie et problèmes de la consolidation L’intégration globale des filiales contrôlées de manière exclusive Les manipulations des résultats des groupes Vers la fin des « ENRONS » ? La mise en équivalence des sociétés sur lesquelles s’exerce une influence notable Modèles de bilans consolidés 611 612 613 614 619 623 628 629 631 634 636 641 Section Section Section Section Section Section Section Section 8 Conclusion : vers un orgasme du