Équivalence ricardienne

. . . . . . . . . 2.2.3 Les réallocations de portefeuille en équilibre général . . . L’ économie vue sous l’ angle des stocks . . . . . . . . . . . . . . . Au-delà du théorème de Modigliani-Miller . . . . . . . . . . . . . 2.4.1 L’ absence d’ équivalence en cas de faillite d’ une entreprise 2.4.2 Le cas d’ une faillite coûteuse . . . . . . . . . . . . . . . . 2.4.3 Les avantages …scaux de la dette . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 Le rôle des banques dans l’ économie

politique budgétaire, l’hélicoptère monnaie exercerait cet effet positif sans aggraver l’endettement public. -si l’hélicoptère monnaie sert à financer l’augmentation des dépenses publiques, cela permettrait d’éviter le risque d’équivalence Ricardienne. Equivalence ricardienne (théorie ) : situation dans laquelle les agents économiques privés augmentent leur taux d’épargne au moment où l’Etat pratique une relance budgétaire. Les ménages anticipent l’augmentation future des impôts qui sera nécessaire au remboursement

l’assainissement des finances publiques va devenir la nouvelle orthodoxie. Donc, la crédibilité obtenue d’abord dans le domaine monétaire est désormais recherchée dans le domaine public. SECTION I : Le débat emprunt- impôt : le principe de l’équivalence Ricardienne Un déficit public peut être lancé par l’emprunt ou alors par l’augmentation de l’impôt. Il existe un débat sur la charge réelle supportée par les générations qui résulte de ces 2 modes de financement. On peut dire que le financement par l’impôt

politique budgétaire, l’hélicoptère monnaie exercerait cet effet positif sans aggraver l’endettement public. -si l’hélicoptère monnaie sert à financer l’augmentation des dépenses publiques, cela permettrait d’éviter le risque d’équivalence Ricardienne. Equivalence ricardienne (théorie ) : situation dans laquelle les agents économiques privés augmentent leur taux d’épargne au moment où l’Etat pratique une relance budgétaire. Les ménages anticipent l’augmentation future des impôts qui sera nécessaire au remboursement

Les théories fondées sur les différences internationales de coûts Il est possible, en dépit de leurs originalités et de leurs particularités, de regrouper sous cette rubrique la théorie ricardienne et celle connue sous l’abréviation d’HOS (pour Heckscher-Ohlin-Samuelson). 44 La théorie ricardienne Le modèle de David Ricardo n’est pas le premier historiquement mais c’est l’un des plus célèbres. Il repose sur un principe explicatif dit des « avantages comparatifs » qui demeure une référence

simplificatrices. Les théories fondées sur les différences internationales de coûts Il est possible, en dépit de leurs originalités et de leurs particularités, de regrouper sous cette rubrique la théorie ricardienne et celle connue sous l’abréviation d’HOS (pour Heckscher-Ohlin-Samuelson). 44 La théorie ricardienne Le modèle de David Ricardo n’est pas le premier historiquement mais c’est l’un des plus célèbres. Il repose sur un principe explicatif dit des « avantages comparatifs » qui demeure une référence

économiques critiquant ou justifiant le déficit budgétaire et la dette publique. 1. Critique de l’endettement et critique de la critique : 1. le théorème de l’équivalence ricardienne : L’argument classique sert de référence à la critique de l’endettement. Ce théorème est le fondement théorique=> « équivalence Ricardo-Barro » Robert Barro (1974) est un représentant de la Nouvelle Economie Classique (NEC) qui sont de fervent opposant à la théorie keynésienne. Ricardo avait expliqué

l’assainissement des finances publiques va devenir la nouvelle orthodoxie. Donc, la crédibilité obtenue d’abord dans le domaine monétaire est désormais recherchée dans le domaine public. Section I : Le débat emprunt- impôt : le principe de l’équivalence Ricardienne Un déficit public peut être lancé par l’emprunt ou alors par l’augmentation de l’impôt. Il existe un débat sur la charge réelle supportée par les générations qui résulte de ces 2 modes de financement. On peut dire que le financement par l’impôt

pas, il faut avoir la bonne explication. Nous vivons dans un monde des anticipations rationnelles (néo-néo-classiques) : les explications données aujourd’hui sont meilleures, or elles ne sont pas fondées empiriquement. Ex : l’équivalence Ricardienne, et les marchés financiers. Le postulat des prédictions : les agents ne font pas d’erreurs en moyenne. Il y’a une dualité entre l’empirie et l’explication. C’est l’empirie qui a conduit à la théorie (et pas le contraire). 3 catégories : l’existant

entreprises et l’État. Les entreprises produisent et offrent les biens. Elles demandent du travail. Les ménages produisent les travailleurs et offrent leur travail. Ils demandent des biens. L’État (Banque Centrale) produit et offre la monnaie pour son équivalence générale. La présence de l’État dans le modèle permet aussi de discuter l'opportunité de l'impôt et de sa redistribution. Ménages et entreprises demandent la monnaie pour réaliser leurs transactions marchandes. Le troc peut exister dans la société