Ernest Renan

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conception potentiellement dangereuse. - On n’a aussi la conception subjective de la nation : C’est une conception française -systématisée par un philosophe Ernest Renan. Selon lui, la nation c’est le résultat d’éléments passés et futurs. Pour lui les éléments objectifs ne doivent pas être rejetés en tant que tel mais ils ne sont pas déterminants. Pour Renan, la nation c’est avant tout une solidarité qui s’exprime entre les membres d’un même Etat et cette solidarité puisse ses origines, ses fondements dans

essentiellement comparatives (nous/eux, l’Occident/l’Orient), un comparatisme plutôt évaluatif que descriptif, même lorsque le premier terme de comparaison reste latent. Quantitativement, il concerne un nombre impressionnant de textes, de Dante à Gide, de Renan à Massignon, en passant par W. Scott, F. de Lesseps, Nerval, Hugo, Flaubert, Marx, T.E Lawrence, etc. Pour tous ces textes, l’Orient n’existe pas pour lui-même, mais uniquement comme objet d’étude, de description, d’analyse, de jugement, de fantasmes

Fichte, dans ses Discours à la nation allemande (1807-1808), insiste sur l’idée de peuple et l’importance de la langue. Une conception française : la nation se construit sur la base d’une volonté de vivre ensemble, fondée sur un passé partagé. Ernest Renan, dans sa célèbre conférence de 1882 intitulée "Qu’est-ce qu’une Nation ?", pose, quant à lui comme critères de l’appartenance nationale, « le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l’héritage qu’on a reçu indivis ». Selon

par la théorie darwinienne sur l’évolution des espèces. Le scientisme, dont Ernest Renan (1823-1892) est le porte-parole (L’avenir de la science, publié en 1889 mais rédigé en 1848), devient une nouvelle religion, basée sur la croyance que le progrès scientifique peut assurer le bonheur de l’humanité, qui supplante peu à peu le dogme chrétien. Dans sa Vie de Jésus, premier volume des Origines du Christianisme (1868), Renan dénie au Christ une nature divine. Le contexte historique, aussi bien que

d’exemplaire (6000). - La presse orléaniste : est plus influente grâce à deux organes de presse ; La Revue des Deux Mondes, Le Journal des Débats qui tirent chacun à 12 000 exemplaires. Elle fait appel à des grandes plumes comme Emile Littré ou Ernest Renan. Elle est pour la monarchie parlementaire ; a une place assez importante et est dans l’opposition au régime napoléonien. - La presse de gauche : ce sont les journaux les plus lus, ont toujours une grande publicité car sont toujours à la limite

constitue une entité culturelle et spirituelle et toutes les divergences entre ses enfants sont contingentes et fausses et cesseront avec l’éveil de la conscience arabe ») 3. Les positivistes français, surtout Auguste Comte et Ernest Renan a. Cela vient surtout de l’époque que les deux ont passée à la Sorbonne ii. Ce mélange cherche être implémenté de manière générale le plus vite possible pour mener à cette unification arabe

d'autres termes, la nation est une construction culturelle et historique dont l'Etat est partie prenante. Ernest Renan : « l'homme n'est esclave ni de sa race, ni de sa langue, ni de sa religion, ni du cours des fleuves, ni de la direction des chaines de montagne. Une grande agrégation d'hommes, saine d'esprit et chaude de cœur, créé une conscience morale qui s'appelle une nation ». Ernest Renan critique la vision primordialiste de la nation qui serait qu'une langue commune, ce que l'on appelait une

| |Jean Cocteau | |"Ce qu'on dit de soi est toujours poésie." | |Ernest Renan | 2. « L’age d’or » de la poésie Le 16eme siècle est notamment l'époque du règne de François 1er qui donne son impulsion à l'époque appelée la

Libre arbitre permet de faire des choix mais la conscience du sujet ne résulte-t-elle pas de sa place dans la société ? De son milieu social, de son éducation ? « L'essentiel dans l'éducation, ce n'est pas la doctrine enseignée, c'est l'éveil. »- Ernest Renan Marx dit que « l’existence sociale détermine la conscience. » Personne aisée et miséreuse : argent qui influe sur l’individu en question. Rapport différent à l’argent, le miséreux aura conscience de la valeur des choses, chose dont les personnes