Ernest Renan

désir des absentes." Épicure (342-270 av. J.-C.) « Le désir est le grand ressort providentiel de l'activité ; tout désir est une illusion, mais les choses sont ainsi disposées qu'on ne voit l'inanité du désir qu'après qu'il est assouvi. » de Ernest Renan [+] les stoiciens, les désirs dépendent de nous. Nous pouvons donc et les connaitre, et les maitriser. La sagesse s'acquiert donc, chez les stoiciens, par une neutralisation du désir, par une connaissance de ceux cci comme étant ce qui nous

Une œuvre n’a de valeur que dans son encadrement et l’encadrement de toute œuvre c’est son époque » ERNEST RENAUX 98-« Le temps use les œuvres littéraires, les chefs-d’œuvre même, quoiqu’on dise »  HENRI DE MONTHERLANT 99-« Il ne faut pas espérer les chefs-d’œuvre «  de la société dont ils furent les plus belles décoratives »  SAINTE BEUVE 100-« La véritable admiration est l’historique »ERNEST RENAN 101-« Les œuvres du passé sont bonnes pour le passé, elles ne sont pas bonnes pour nous » ANTONIN ARTAUD

aussi été mise en avant en ex-Yougoslavie : conflit de race ? Conception qui conduit à des comportements extrémistes et donc dangereuse pour la démocratie. b) La thèse subjective (ou française) de la nation. Notamment défendue par Erneste Renan, discours à la Sorbonne 1882, « une nation est une âme, un principe spirituel ». Pour les partisans de cette thèse, la nation c’est la réunion d’éléments objectifs et subjectifs. Ces éléments subjectifs sont rattachés à l’idée de volontarisme

doivent avoir l’envie de servir la France. Ce qui fait la population, en plus de l’attribution de la nationalité, c’est l’envie d’appartenir à une communauté. Ce qui va nous donner cette envie, c’est une histoire commune, un héritage commun. Ernest Renan va dire en 1882 dans une conférence appelé Qu’est-ce qu’une nation ? « Une nation est une âme, un principe spirituel de choses qui à vrai dire n’en font qu’une, constitue cette âme, ce principe spirituel, l’une est dans le passé, l’autre dans le

connaître, comme chez Spinoza, ou pour Leibniz : « La liaison des causes avec les effets, loin de causer une fatalité insupportable, fournirait plutôt un moyen de la lever. » (Théodicée, 55) 2) Contre la croyance au destin, on objectera, comme Ernest Renan (Œuvres, I, p. 163), que « La marche de l’humanité … est la résultante immédiate de la liberté qui est dans l’homme et de la fatalité qui est dans la nature. » Aucun progrès de la civilisation n’aurait été envisageable sans la liberté des hommes

« «pouvoir vivre collective », ici la nation relèverait d'un principe spirituel, et serait composé de personnes formant une communauté, partageant des valeurs et un projet commun, et ayant exprimé le désir de vivre ensemble pour fonder une société. (Ernest Renan) Cette vision peut être critiquée car elle est susceptible de postuler gratuitement l'existence de nations, ce qui n'est pas concevable juridiquement. C'est pourquoi, certains auteurs retiennent une conception hybride de la nation, en prenant

1830 et 1857 : La science est la religion de l’avenir et permet de percer les mystères de la nature, les mécanismes de l’univers et les secrets de la création. ⇨ Foi absolue en la science qui conduit l’humanité au bonheur o Egalement : Ernest Renan : l’avenir de la science, 1848 o Marcellin Berthelot, Science et philosophie, 1886 ( La science est sure d’elle-même, d’où diffusion de ses ppes et valeurs ➢ Le déterminisme se propage : chaque évènement est déterminé par un principe

langue une religion et une histoire commune. Cet élément ne suffise pas à écarter la nation. Elément subjective communauté d’intérêt sans écarter les éléments objectifs. Approche volontariste ce qui fait la nation c’est de vouloir vivre ensemble Ernest RENAN. En aucune façon seule déterminant processus complexe pour fonder une nation. Nation un groupement d’homme dont l’union la solidarité repose sur des biens matériel et spirituel et se conçoit comme diffèrent des individus qui composent les autres

allemande «  discours de la nation allemande » (1908). C'est une communauté objective définie par la langue, le sang, ou la race, l'appartenance national ne peut être perdu ou gagné. Conception ethnique de la nation La conception française par Ernest Renan, philosophe et historien français, à la conférence de la Sorbonne en 1882, « l'existence d'une nation est un plébiscite de tout les jours », le fait d'appartenance, c'est la volonté d'appartenance, la volonté est la seule chose importante, il

entièrement centré sur l’accomplissement des mitswot, des préceptes religieux. On aurait pu croire qu’après avoir écrit ces épais traités talmudiques2, Israël se coupait du reste de l’univers, s’encapsulait en quelque sorte, comme, d’ailleurs, Ernest Renan le lui reprochera entre 1884 et 1892 dans les cinq volumes de son Histoire d’Israël. Il est vrai que Renan3 n’en était pas à une erreur près puisqu’il écrira en substance que le Talmud est un méchant livre, le livre du mauvais juif… Et pourtant