Eschine

Dans l'Apologie de Socrate (Πλάτωνος Ἀπολογία Σωκράτους, sous-titrée Genre éthique), Platon rapporte les plaidoyers de Socrate lors de son procès en 399 avant J.-C. à Athènes qui déboucha sur sa condamnation à mort. Cette défense se déroule en trois parties, ayant toutes un lien direct avec la mort. Socrate se défend devant les juges, mais aussi devant toute la cité d’Athènes (composant le Tribunal de la Cité). Il répond aux trois chefs d'accusation déposés contre lui : corruption de la jeunesse

(Première diapo) CRITON écrit par Platon entre -390 et -385 (deuxième diapo) Qui est Criton ? Il est : né en -469 (en même temps que Socrate) ; philosophe, disciple et ami d'enfance de Socrate ; très riche et influent dans Athène ; (troisième diapo) Contexte Quelques semaines auparavant, Socrate avait été accusé de : Corruption de la jeunesse ; non-reconnaissance des dieux traditionels ; d'introduire de nouvelle divinité dans la cité ; Il a finalement été condamné à la peine

d'Eschine et de Ctésiphon Ctesiphon, jeune homme, fils de Déméa, frère d'Eschine. Micion, vieillard, frère de Déméa, père adoptif d'Eschine. Eschine, jeune homme, fils de Déméa, adopté par son oncle Micion. Storax, esclave de Micion (personnage muet). Parmeno & Syrus et Dromon, esclaves d'Eschine et de Micion. Callidia, esclave enlevée par Eschine (personnage muet). Sostrate, mère de Pamphile. Geta, esclave de Sostrate. Pamphile, fille de Sostrate, maîtresse d'Eschine (personnage muet)

perversité il n’est pas de chez nous. Commentaire texte 1 : Démosthène, un individu suspect... Introduction. Le texte que nous allons traduire puis étudier est un extrait d'un discours, prononcé par Eschine contre Démosthène et tiré du recueil Contre Ctésiphon de 171-176. Eschine était opposé à Démosthène à propos de la conduite à tenir face à l'arrivée d'Alexandre : se battre ou se rendre. Nous verrons tout d'abord que ce texte est une histoire de famille, puis nous nous intéresserons

Platon. Dans son œuvre complète, La Constitution des Athéniens, Aristote retrace la vie politique d’Athènes et explique la façon dont on désignait les magistrats. Le second auteur, Eschine (390-322), un contemporain d’Aristote est orateur athénien. Dans son discours Contre Ctésiphon, divisé en plusieurs articles, Eschine attaque Ctésiphon et indirectement Démosthène, son grand rival. HISTOIRE DE LA CONSTITUTION D'ATHÈNES d’Aristote. Énumérant les différentes modifications qu'a subies la constitution

Chéronée ; Démosthène continue de plaider pour une résistance contre Philippe. En 337, Ctésiphon propose que la cité vote une couronne d’or à Démosthène pour ses mérites ; Eschine s’y oppose dans son Contre Ctésiphon ; Démosthène écrit lui-même le discours de Ctésiphon : Sur la Couronne est sans doute son chef d’œuvre. Eschine, vaincu, doit s’exiler. En 324, il doit à son tour s’exiler, suite à une accusation d’escroquerie ; rappelé en 323, il prononce à nouveau des discours anti-macédoniens.

discours nommés Les Philippiques). Dès cette époque, Démosthène devient une figure exemplaire du patriotisme athénien et de l’intransigeance démocrate. Après la victoire de Philippe à Chéronée en 338, il est accusé de trahison, notamment par son rival Eschine, et condamné à mort. Il se réfugie dans l’île de Calaurie où il s’empoisonne. D’après les sources anciennes, une statue aurait été érigée 42 ans après la mort de Démosthène, soit vers 280 avant JC, à la demande de son neveu Demochares. L’œuvre

Socrate, Ménon, Théétète, Le Banquet, Sophiste, Lachès, Gorgias, Protagoras, Hippias mineur, La République, Criton Xénophon, Apologie de Socrate (en grec ancien Ἀπολογία Σωκράτους) En ligne [1] Xénophon, Mémorables (Ἀπομνημονευμάτων). En ligne [2]. Eschine de Sphettos, fragment 11 Aristote, Métaphysique, I, 6 et XIII, 4 Aristote, Éthique à Nicomaque, VI, 3. [3] Aristoxène de Tarente est le premier à avoir écrit Vie de Socrate, dont il reste quelques fragments. Il y eut bon nombre de biographies de Socrate

Socrate, fondateur de la tradition philosophique occidentale, n'a laissé aucun écrit 4 - Eschine, orateur athénien 5 - Xénophon - ou Antisthène , fondateur de l'école cynique 6 - Alcibiade, stratège - ou Alexandre le Grand 7 - personnage saluant l'arrivée d'un ami [Gorgias de Léontine, maître de rhétorique, sophiste] dont la tête seule et une main levée apparaissent derrière la figure n° 9 8 - personnage (Eschine ?) semblant accueillir un nouvel arrivant ; ce serait Critias d'Athènes, homme politique

des contemporains ou des successeurs des professeurs de rhétorique. En l’absence de preuves textuelles, les spécialistes ont souligné l'influence de l'école de Rhodes sur la base des idées développées dans le traité1. Le texte cite Démosthènes et Eschine et, à travers les références à Homère, Pythagore, Isocrate, Socrate ou Théophraste, témoigne d’une connaissance de la littérature grecque qui resterait assez lacunaire. L’auteur se réfère en revanche fréquemment à l’histoire récente, notamment à la guerre