Espace Imaginaire

complexes). Ces résultats permettent d'énoncer la proposition suivante : PROPOSITION : Soit a réel ou complexe. Alors : i) les solutions de l'équation différentielle y' = ay sont de la forme y = λe–ax, où λ est un scalaire quelconque. Elles forment un espace vectoriel de dimension 1 dont une base est la fonction e–ax. ii) Si l'on fixe une condition y(x0) = y0, alors cette solution est unique. iii) En particulier, si y s'annule en un point, y est identiquement nulle. b) Caractérisation de l'exponentielle

Depuis le XIXe siècle, le rôle du metteur en scène n'a cessé de prendre de l'importance au point qu'on en oublie parfois aujourd'hui l'auteur. La représentation théâtrale incarne donc le texte en le faisant vivre dans un espace concret et réel, la scène. De même, la forme de cet espace scénique, qui évolue avec le temps, conditionne la représentation, et donc le sens même de la pièce. Les choix et les interprétations du metteur en scène peuvent infléchir le sens de la pièce, voire le changer totalement

métaphores corporelles de l’espace urbain 1 2 3 4 5 6 7 La ville est le lieu où l’homme habite, travaille, a des loisirs, se met en rapport avec ses semblables et communique avec d’autres personnes. L’espace urbain est, par conséquent, un espace affectif, ou anthropologique –  d’après la terminologie de Marc Augé –, chargé de significations. La littérature et l’art témoignent de l’importance de la ville, qui devient cadre et même personnage principal de l’action dans de nombreuses œuvres

expression de la forme : q = q0 + q 1 i + q 2 j + q3 k avec q 0 partie réelle, q 1 i + q 2 j + q 3 k partie imaginaire, q 0 , q 1 , q 2 , q 3 nombres réels, i, j, k grandeurs vérifiant les relations suivantes : i2 = j2 = k2 = – 1 i·j = – j · i = k  j·k = – k·j = i  k·i = – i·k = j  (2) (1) Structurellement, on considère donc l’ensemble des quaternions, définis par la relation (1), comme un espace vectoriel réel de dimensions 4, dont une base est fournie par (1, i, j, k ). On constate alors que la correspondance

intervieweur et interviewé) Note méthodologique : durant ce parcours, cet échange, que l’on peut comprendre comme un « entretien » au sens large du terme, a lieu dans le cadre d’une courte improvisation pour la phase d’éveil et de la mise en voix (et en espace) d’un texte de théâtre pour la tâche d’intégration finale. Ressources : Dumortier, Jean-Louis (dir.), Lectures pour toi, troisième année, Labor, Bruxelles, 1994 Fiches de jeu de la Ligue d’impro Des apprentissages (cf. programme de français

entiers, nombres rationnels 1.4 Arithmétique dans Z 1.5 Polynômes et fractions rationnelles 1.6 Généralités sur les applications 1.7 Applications linéaires – Espaces vectoriels 1.8 Matrices – Déterminants – Systèmes linéaires 1.9 Espaces vectoriels euclidiens 1.10 Réduction des endomorphismes 1 1 2 5 7 8 11 12 17 22 26 2. Analyse 2.1 Espaces vectoriels normés 2.2 Nombres réels 2.3 Nombres complexes 2.4 Suites 2.5 Fonctions réelles de la variable réelle 2.6 Dérivation 2.7 Intégration 2.8 Équations

rempli par les images des corps que l’on voit apparaitre devant nous, et les corps eux-mêmes se meuvent dans l’espace à la vitesse lumière. La scène est également occupée par une échelle, de grosses ampoules éteintes, de plantes, ce qui donne un espace que l’on pourrait qualifier de « surchargé ». En arrière scène, une barre lumineuse est posée au sol, ce qui donne la sensation d’un éclairage assez froid. Les gestes des acteurs sont transposés en direct sur les écrans et tantôt une voix off, tantôt

L’INTEGRATION Gijs M. Tuynman 20 septembre 2007 1 ´ ´ THEORIE DE L’INTEGRATION 2 `res Table des matie 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. 11. 12. 13. 14. 15. 16. 17. 18. 19. 20. 21. 22. 23. 24. 25. Tribus La droite achev´ee Applications mesurables Espaces produits Subdivisions et fonctions ´etag´ees Mesures L’int´egrale de fonctions positives Le th´eor`eme de convergence montone de Beppo-Levi L’int´egrale de fonctions r´eelles ou complexes Le th´eor`eme de convergence domin´ee de Lebesgue Unicit´e

grossièrement sous la forme d'une trame ou d'un filet étalé. Il s'agit de l'espace dit de Minkowski, du mathématicien du même nom. Il comporte quatre dimensions : trois dimensions pour l'espace et une pour le temps. Par extension, on appelle continuum espace-temps, la toile de fond sur laquelle se dessine en quelque sorte la vie de l'univers. Et la notre; en traçant notre destinée depuis notre passé vers notre futur. Mais cette vision très mathématique n'existe qu'à partir d'équations d'hypothèses et

temps que temporalisée et historicisée, la géographie intime du narrateur repose sur une opposition, romantique, entre Paris, la ville, capitale du temps vécu par une « génération perdue », et le Valois, espace-temps de l’enfance, mais aussi de l’Histoire, quasi sacralisée par la médiation d’un imaginaire historique et artistique. La capitale est associée, dans le 1er chapitre de la nouvelle, à un temps historique et collectif dévalué ainsi qu’à une expérience douloureuse d’amour impossible pour une