Espace-temps

différentes espaces de ponctuation 01 avant le signe pas d’espace signe après le signe espace sécable virgule, virgule un point. C’est tout deux points : c’est bien point virgule ; je interrogation ? Le point exclamation ! Le point (parenthèse ouvrante… …parenthèse fermante) point de suspension… guillement “anglais ouvrant guillement anglais” fermant guillement « français ouvrant guillement français » fermant l’apostrophe trait d’union-libre pas d’espace espace sécable espace (fine)

graphiques (§ _ { &) et des caractères invisibles (espace, tabulation, retour ligne, saut,…). Les principales règles typographiques Les signes simples (signes bas) Virgule , Point . Point de suspension … Les signes doubles (signes hauts) Point-virgule ; Deux-points : Point d'exclamation ! Point d'interrogation ? l'espace se trouve après le signe. espace avant, une espace après Parenthèses Crochets Accolades Guillemets () [] {} " " ' ' et « » espaces à l'extérieur, mais pas à l'intérieur. Apostrophe

le phénomène festif à l’échelle urbaine de diverses manières et selon différents critères. Selon une approche géographique, Di méo mobilise la notion de fête considérant qu’elle est « la quintessence de toutes les formes festives. Elle trace un espace-temps aussi bref qu’intense..., elle défini un territoire-événement séquentiel capable de s’inscrire durablement dans les représentations sociales » (Di Méo, 2001 : 11). Le festif en tant que technique publicitaire, est défini comme événement marketing

spectateur,des indications relatives au cadre spatiotempo­rel de l'action. En ce sens, l'ouverture de Rhi­nocéros reste en partie classique, si on la com­pare à d'autres pièces du théâtre des années 1950-1960, quiancrent volontiers l'action dans un temps et un lieu indéterminés. a) Le cadre spatial Dès la première phrase de la didascalie initiale, le lieu est posé Une place dans une petite ville deprovince ». Série d'éléments visuels ensuite proposée avec une extrême précision : épicerie l.8 ,

* Pluriel des verbes, des déterminants et des pronoms : « leurs yeux ; leurs lèvres » (V3), « nous » (V12), ils (V15). Ce « ils » final souligne-t-il l’union ? B. Dans un décor propice aux rencontres amoureuses. Les marqueurs de lieu et de temps précis « parc » (V1) « la nuit » (V16) : mise en place d’un cadre spatio-temporel qui ancre le récit de la rencontre dans un décor. Le poème se présente comme un compte rendu, le récit d’une rencontre qui peut paraître clandestine. * Les trois

| |2.1. Repérer les dimensions affectives, sociales et culturelles des temps clés du quotidien | |- Savoir repérer les enjeux de la relation spécifique à un espace temps du quotidien (toilette, repas, coucher.) en fonction de | |l'histoire de la personne, de son âge et de son origine socioculturelle

politique publique. 2- Pour une méthodologie de l’intervention ü Les éléments de cette méthodologie Des lieux « d’évocation et d’accueil » : des lieux d’écoute, sans rendez-vous, sans délai, qui ne cherche pas une solution à tout prix, un « espace-temps » qui permet d’abaisser la tension émotionnelle…. - Un accueil « sans conditions » - Un éloge du provisoire : différencier l’urgence du problème plus profond et ne pas lui donner la même priorité. ü Différencier urgence et insertion en créant

dimension fantastique, et symbolique de l'extrait leur disparition est fantastique et fait partie intégrante du rite auquel se prête la reine pour guider le roi mourant l'incantation de la reine est hors de tout espace-temps pas de mention de lieu, de temps elle détruit elle-même le temps « il n'y a plus de jour, plus de nuit » le roi marche dans le Vide, aveugle et perd progressivement prise sur lui-même et le réel 2. Marguerite est donc un guide, un passeur vers l'autre monde, via un chemin de

« épicerie, clocher, terrasse de café. » On a de nombreux repères spatio-temporel « au fond, devant, entre, sur la droite. » L’espace scénique appartient à un univers banal, familier. Ce cadre rendra plus saisissant le passage du rhinocéros. C’est un espace ouvert «  on aperçoit au dessus de la maison de l’épicier, le clocher d’une église. » On note la présence mystérieuse d’un arbre poussiéreux qui vient perturber l’ensemble. Cette didascalie initiale fournie des indications temporelles. « pas loin

(2) il ressort qu'Albert Einstein était un enfant rêveur et solitaire. Il n'aimait pas jouer avec les autres enfants (3). Au collège il fut perçu par ses professeurs comme un élève moyen; il était lent, n'émettait aucun jugement rapide et prenait le temps de réfléchir. Également il acquit un certain nombre de connaissances en travaillant seul. Il était curieux, avide de comprendre et obstiné dans la recherche des réponses aux questions posées. Une anecdote significative ; vers l'âge de quatre ou cinq