Esprit critique

Suite à la mort du roi soleil, le nouveau roi Louis XV étant trop jeune, succède une période de régence tenue par Philippe d'Orléans de 1715 à 1723. L'ancien règne s'étant caractérisé par sa rigidité, la régence va être marquée par une libération des esprits et l'aristocratie endiguée par le feu souverain va retrouver un peu de pouvoir grâce notamment à la création des synodies et au droit de remontrance acquis par le parlement. A la mort du régent dilettante, Louis XV vient au pouvoir assisté par le

Michel Onfray dans son dernier essai, Le Crépuscule d’une idole (Grasset 2010). Son projet semble séduisant : en finir avec un Freud héroïque, ou bon papa à la barbe fleurie, afin de réexaminer son parcours avec sérieux. Mais, très vite, l’entreprise critique se transforme en stand de tir : Sigmund Freud a inventé la psychanalyse pour supporter sa propre névrose ; le complexe d’œdipe ne concerne que le petit garçon qu’il fut obsédé par la nudité de sa mère ; ses relations avec ses filles étaient tout

politiques favorables à un esprit de contestation du régime monarchique dès Louis XIV. Politique extérieure de Louis XIV → guerre sans aucun apport. Périodes de famine à cause des circonstances climatiques. Contestation du pouvoir monarchique Louis XV a été sacré après la Régence. Surnommé le bien-aimé bien accueilli mais il a suivi la même politique que son aïeul (pas plus fructueuse !) Ensuite Louis XVI dont l’indécision a été redoutable pour le prestige du pouvoir. Esprit des Lumières = contestation

retrouver par exemple une phrase très significative de ce mouvement dans les Pensées de Pascal : « Le coeur a ses raisons, que la raison ne connaît point.  » qui démontre parfaitement cette ligne de pensée, c’est-à-dire que l’être l’humain est fait d’un esprit, d’une raison mais parfois c’est son cœur qu’il doit suivre. La raison ne satisfait pas à ses propres exigences car elle ne parvient pas à rendre compte de tous les phénomènes et de toutes les expériences humaines. Ce qu'on connaît par le «cœur» ou

fait plutôt, tente, à partir des connaissances biologiques contemporaines, de dégager une méthodologie pouvant servir de cadre à une science de l`action. La problématique suscitant entre ces deux grands esprits – ceci provoque par la suite d`une critique conceptuelle – est le fait même que la critique Sartrienne s`appuyant sur le principe de liberté, celle-ci renvoie donc au sujet humain ainsi qu`à la responsabilité de l`individu. D`un autre coté, celle de Henry Laborit s’appuyant sur le principe du

choses le poussent). Selon Aristote nous sommes des automobiles grâce à cette capacité. Qu’est ce qui est nécessaire pour que l’on perçoive un autre être comme doté d’un esprit ? Imaginons que nous rencontrons une boule de guimauve bleue qui semble se braquer vers nous, que nous faut-il pour comprendre qu’il peut s’agir d’un esprit extraterrestre ? Pour les capacités représentationnelles, niveau le plus frustre et élémentaire, il nous faut la sensation. Reprenons l’exemple de la guimauve : on le

liberté de critique la société dans des récits anthropomorphiques. Quelque siècle après, la littérature fut objet de censure par des régimes autoritaires. La première chose que tous les régimes dictatoriaux tentent de faire, qu'importe leur orientation, est d'imposer une censure. Ils tentent de contrôler ce qui est la vie même de la littérature, parce qu'ils voient dans la vie littéraire les graines de dangers contre le pouvoir car la littérature c’est la libération de l’esprit critique. Plusieurs

constamment : " L'esprit est une sorte de théâtre, où des perceptions diverses font successivement leur entrée, passent, repassent, s'esquivent et se mêlent en une variété infinie de positions et de situations " (op.cit., p 344). Il n'y a pas dans notre esprit d'identité. II – En quoi le moi est-il une fiction? La croyance en l'identité est le fruit de l'imagination et de l'esprit qui ont naturellement tendance, que ce soit pour les choses extérieures ou les perceptions intérieures, à associer les

maintenant examiné l'autre source de connaissance qui semble plus solide. Il vas soumettre a la critique les connaissances rationnelles. Décartes semble avoir, au début, considère les maths. Dans les méditation métaphysique il vas pousser encore plus loin pour trouver une certitude encore plus grande. Pour douter des math le doute naturel ne suffit plus. Il faut faire violence a la nature même de notre esprit. Pour cela il vas construire une fiction philosophique. Supposons qu'il existe un être malfaisant

dans le règne des données immédiates de la conscience. Quand il s'agit des expériences conseillées ou construites par la raison, l'ordre est une vérité, et le désordre une erreur. L'ordre abstrait est donc un ordre prouvé qui ne tombe pas sous les critiques bergsoniennes de l'ordre trouvé. Nous nous proposons, dans ce livre, de montrer ce destin grandiose de la pensée scientifique abstraite. Pour cela, nous devrons prouver que pensée abstraite n'est pas synonyme de mauvaise conscience scientifique