Esprit critique

l’âme (ou esprit) se présente comme une entité pensante, simple, unique et libre. De l’autre, le corps se présente comme l’architecture d’un homme, réglé mécaniquement, visible et responsable des fonctions vitales. Autant ces deux substances sont indépendantes l’une de l’autre, autant c’est leur union, en un être, qui marque l’unicité humaine. Pour Descartes, le dualisme naît d’abord par son introspection du doute. En doutant, il réalise qu’il ne peut contester l’existence de son esprit, mais que

soi-même nécessite du discernement, un esprit critique. Conclusion : Au début, les jeunes n’ont aucune expérience de la vie. Par réflexe, ils vont imiter, prendre comme modèle les personnes qui en ont ou qui ont réussi dans leur vie. Par la suite, ils vont essayer de se forger leurs propres opinions sur la vie. Pour cela, ils sont obligés, comme leurs ainés, de l’expérimenter, de faire des expériences, afin d’avoir un jugement, un avis personnel, un esprit critique.

Introduction : Le XVIII ème siècle est marqué par l’apparition de l’esprit des lumières, c’est un esprit nouveau, caractérisé par une pensée libre, libérée de ts les préjugés et de toutes les croyances. On interroge, on examine, on observe, mais surtout on refuse les ‘à priori’. Deux de ces nouveaux esprits, Diderot et D’Alembert, décident de créer un ouvrage qui rassemblerait toutes les connaissances du monde, L’ Encyclopédie. A l’origine, l’Encycopédie devait ê une simple traduction de la Cyclopaedia

représentatif du siècle des Lumières. Tout au long de sa vie, il se remarque par ses ouvrages engagés en faveur de la tolérance, ses réflexions sur les institutions et ses critiques de la société contemporaine. Son conte philosophique «Memnon ou la sagesse humaine» est l’une de ces œuvres. En dix paragraphes, l’écrivain parvient à critiquer la recherche de tout idéal de perfection, projet sot et vain selon lui, mais également la société dans laquelle il évolue, tout en amusant le lecteur. Partagé entre

Les catalogues des auteurs et des artistes, les chapitres consacrés aux arts, illustrent le degré de civilisation de ce " beau siècle " où la raison humaine s'est " perfectionnée ", où il s'est fait une révolution générale " dans nos arts, dans nos esprits, dans nos mœurs, comme dans notre gouvernement ". A travers ce livre donc, Voltaire s'exprime concernant l'art, et autres sujets qui composent l'Encyclopédie. 3) «Dans la mise en œuvre de cette encyclopédie universelle, se présentent quatre

croyant toujours avoir raison ; toute remise en question leur semble inutile. Ne sachant pas rire d’eux-mêmes, ils se plaisent tout de même à se moquer d’autrui. Or, il n’y a rien de plus exaspérant que des plaisantins susceptibles : ils adorent critiquer les autres mais, ne connaissant pas l’autodérision seront vexés à la moindre raillerie. Par contre, quand notre identité est mieux construite et notre personnalité bien définie, nous pouvons prendre de la distance par rapport à nous-mêmes. Il est

le raid n'ayant qu'à faire quelques mètres pour se mettre en place, il s'écoule quelques secondes avant l'apparition du premier esprit déchaîné ce qui permet d'achever les derniers adds de la phase 1. Chaque fois qu'un joueur est ciblé par l'invocation d'esprit il doit se rapprocher du centre pour faciliter la reprise par les tanks. Le raid concentre son dps sur les esprits, en dehors de 2 à 3 dps à distance, éventuellement aidés par les familiers (qui ne prennent pas l'aoe de givre) qui s'occupent

La critique sociale et politique au XVII et XVIIIème siècle  Au XVIIème siècle : La satire : existe depuis l’Antiquité ( satura en latin signifie pot-pourri : ce nom évoque la grande liberté de forme, mode ton et de sujet de la satire ). Sa visée est de se moquer d’un individu, d’une institution ou tout simplement d’un défaut humain. Elle est très proche de la caricature et souvent empreinte d’un comique corrosif. Les grands auteurs du XVIIème s’inspirent des Grecs Esope et Aristophane, ainsi que

cartésiens et médicaux. ● Champ lexical médical : « sang », « os », « corps », « parties molles » ● Champ lexical philosophique : « causes », « principes », « raison »,… ● Explication mécanique inspiré de Descartes : terminologie cartésiennes « esprits animaux » II – Un message persuasif… a) … qui suscite la compassion. ● Évocation des enfants monstres, considérés comme des victimes ● Modalisateurs : « funeste accident » (l.6), « ces pauvres enfants » (l.79), « leur malheur » (l.42)

pays ne sont pas anodines. Elles constituent un voyage initiatique où Candide, plein de bon sens, évolue, lentement, vers la maturité et la réflexion. Il développe ainsi son esprit critique, et s’extrait peu à peu de l’influence de son précepteur Pangloss, dont il adoptait au départ les thèses optimistes, sans aucun esprit critique : « quoiqu’en dît maître Pangloss, je me suis souvent aperçu que tout allait mal en Westphalie ». Lors de la rencontre avec le nègre de Surinam, Candide propose alors une