Esprit Philosophique 18eme Siècle

SOMMAIRE INTRODUCTION________________________________________________ ___________2 1- De la colonisation à l’indépendance 3 1.1 Les populations indigènes 3 1.2 La colonisation 6 1.3 Guerre d’indépendance 7 1.4 Le 19ème siècle, reconstruction d’une société mexicaine au lendemain de l’indépendance 9 2-Le positivisme de Comte 12 2.1Contexte de la montée du positivisme 12 2.2 Principes fondateurs de la pensée positiviste 14 2.2.1 La loi des trois états

constant manifesté par tous les monarques de France jusqu’au XVIIème siècle, avec l’aide de grands juristes et conseillés tels que Jean Baptiste Colbert ou François Michel Le Tellier. Outre ces grands hommes dévoués au Roi Louis XIV, on retrouve bien avant des théoriciens de la monarchie absolue qui dans leur ouvrages avaient pour but de consacrer les pouvoirs d’un Roi despote (dans le sens que l’on donne à ce mot au XVIIème siècle : en grec on dit despote quelqu’un qui peut dire d’une chose ‘cela

1558) qui postulera pour la 1ière fois la relation strictement proportionnelle entre le volume de la masse monétaire et le niveau des prix. En Europe, richesse d’un royaume = quantité de métal précieux. ( 1ières mesures protectionnistes (dès 16ème siècle) : interdiction exportation métaux précieux Mais échec de ces mesures ( Nouvelles mesures (par T. Gresham) = barrières aux M, restrictions aux X de matières 1ières , recherche des meilleurs artisans étrangers. Mesures identiques préconisées en Espagne

mathématicien, il a entre autre mis au point l’algèbre et la trigonométrie (merci…mec !) Il a écrit un ouvrage (physique) très détaillé : dioptrique. Descartes a participé à la dissection de cadavre et à mis au point la circulation sanguine. C’est un esprit scientifique. (hahahaha…) Cela explique sa recherche de méthode ‘’Discours de la méthode pour bien conduire sa raison et chercher la vérité dans les sciences. ’’ Pour lui il faut procéder par ‘’ordre’’ pour rendre la raison efficace. Erreurs= raison

apporté leur pierre à notre pensée maçonnique, ce sont les Gnostiques des 1ers et 2èmes siècles, les Esséniens, les penseurs des Gnoses chrétienne musulmane et juive, Averroès et Maimonide, les Figuristes... Le point commun à toutes ces démarches liées ou non - mais pourquoi non ? - est de donner à l'Homme une capacité de penser par lui même, étincelle divine pour les uns, tripartition corps âme et esprit pour d’autres, combat pour la raison face à la Loi. La question se pose tout d’abord est

dans le cadre d’une relation amoureuse ou idéaliser ses propres souvenirs dans le cas d’une romantique nostalgique. - Le premier danger de la passion est l’illusion, car l’objet qui est à l’origine de la passion est subjectif. Au sens plus philosophique, le problème est de savoir si c’est mon désir qui est source de la valeur (c’est à dire que le désir fait naître le désirable), ou est ce que c’est l’inverse (la beauté précède mon désir). Exemple : Est-ce que c’est parce que personne est belle

les secondes à celui des «　arts libéraux　» qui sont exercés par des hommes de condition libre et qui développent les facultés de l' esprit. -Agriculture, confection de vêtements, sculpture, peinture appartiennent aux arts mécaniques -Arithmétique, architecture, astronomie, géométrie, musique, grammaire et rhétorique appartiennent aux art libéraux. Au 18ème siècle, dans la langue française, apparaît le mot　«　technique　» dérivé d’un mot grec dont la racine a le sens de "fabrication réglée". Il

Qu’est ce que la sociologie ? 4 novembre 2006 Premier mot français formé avec un préfixe latin et un suffixe grec, le terme de sociologie a été inventé au 18éme siècle par Auguste Comte. Il avait dans son projet de réunir toutes les sciences ayant pour objet l’être humain (histoire et économie entre autres). Histoire de la sociologie Scission dans les courants de la sociologie : Holisme : Durkheim (Norbert Helias + E.Morin) : 1+1 = 3 Edgar Morin : (Edgar Nahoum). Sociologue et philosophe français

la conception du travail La notion de travail aujourd’hui est caractérisée par des critères d’ordre économique. Le travail est l’activité d’un homme déployé en vue d’un résultat utile. Cette vision était déjà dominante au début du 20ème siècle. «Le travail est l’emploi que l’homme fait de ses forces physique et morale pour la production de richesse et de service. Pour lui, sur le plan technique, le travail est un facteur de la richesse, un des facteurs de la production » ; Colson

des temps anciens, l’on parle plutôt d'effigie de l’humain ; ces créations sont souvent les auxiliaires d’un merveilleux d’origine religieuse. L’on a par exemple trouvé la trace de masques en bois, en Afrique, en Asie, qui personnifient alors les esprits des anciens et des dieux ; ce sont des créations qui se situent aux confluents de l’art et du mythe. On trouve également des créations qui sont à caractères ludiques ou utilitaires, comme des oiseaux artificiels, des automates créés pour le théâtre