Est Il Juste De Désobéir Aux Lois

Dissertation de Philosophie Sujet : Pour être libre, faut-il désobéir ? Une manifestation est une preuve que la liberté existe, à travers le droit d’expression, d’opinion et de pensée. Mais une manifestation peut dépasser la limite de l’obéissance. Il existe bien d’autres exemples, c’est pour cela que nous allons nous demander si la désobéissance est un accès direct à la liberté. Quel sens faut-il donner à la désobéissance ? S’imposer grâce à la désobéissance peut mener jusqu’à la liberté 

de la rébellion, Bolivar, est sur le point d’être capturé mais il réussit à s’enfuir grâce à un message que lui fait transmettre un lieutenant espagnol appelé Montserrat. Ce dernier avait en effet décidé de désobéir à son supérieur au péril de sa vie pour défendre ce qui lui paraissait juste. Bien entendu, on connaît la fin de l’histoire : C’est grâce à cet acte de désobéissance que la Bolivie existe aujourd’hui. Cette situation ressemble un peu à celle de la Syrie il y a quelques mois

Thoreau, légitimant le droit désobéir à la loi si celle ci paraît injuste. Ce concept de « désobéissance civile » nous amène donc à nous questionner sur la loi, mais aussi sur ses limites. Ainsi, on pourrait se demander si passer au-delà des lois au nom de nos principes est réellement légitime, et si comme le défend Thoreau notre moralité se doit-être placé au dessus d’une autorité commune. Cette désobéissance pourrait être justifié par les failles des lois, notamment le fait qu’elles ne

sujet Peut-on désobéir à une loi injuste ? -Peut-on signifie « serait ’il possible de » c’est généralement un mot précédent une phrase de forme interrogative. Peut-on veut donc dire « somme nous dans la possibilité ». -désobéir signifie de refuser d'obéir à un règlement, à une règle. Désobéir est le fait de ne pas faire une action ou une recommandation d’une personne, d’une loi ou de la justice. Le verbe « Obéir » signifie « ce soumettre à », mais au contraire le verbe désobéir signifie « ne pas

l’outil à utiliser dans la tâche de comprendre le monde.     PLAN DU CRITON  Introduction • Développement: • Première partie: la proposition de Criton  Deuxième partie: la reformulation du problème par Socrate  Troisième partie: le discours des Lois • Conclusion Les personnages • Socrate (71 ans) • Criton, son vieil ami     Lieu de la scène • En prison • Socrate, condamné à mort, attend son exécution (boire la ciguë) • Attente: à cause d’une fête (religieuse) commémorant la libération d’Athènes

Droit et justice comprennent les règles qui régissent les rapports humains en société. Ils se disent « jus » ce qui est droit ou juste. II) COMMENT RESTER JUSTE QUAND ON A A EXERCER LE DROIT ? Un jugement n’est pas forcément justice. Le droit rend le moins d’injustice possible. « Puisqu’ on n’a pas fait que la justice fut forte, on a fait que la force fut juste » PASCAL. Qu’est ce qui permettrait à la justice d’être forte ? Serait- ce le droit ? Peut-on se demander qu’est ce qu’une justice

l'homme injuste est supérieur à l'homme juste. D'une part, Thrasymaque affirme que la justice, c'est l'intérêt du plus fort. Celui-ci définit le plus fort comme étant en fait le gouvernement, car peu importe le régime politique en place, > . Or, l'intérêt devient alors ces lois instaurées par le gouvernement. Une fois ces lois établies, le peuple se voit contraint de les suivre. Dans le cas contraire, il est puni pour l'injustice qu'il a commise, puisque désobéir est injuste. Cette définition est encore

loi. Celle-ci est condition de la liberté. Elle donne les mêmes limites à tous, mais aussi les mêmes droits à tous, on ira alors que la loi est juste. Mais faut-il toujours obéir à la loi ? A quelles conditions peut-on considérer qu’une loi est juste ? Nous allons découvrir à quel point, il est difficile de définir se qu’est une bonne loi, une loi juste. 1- Qu’appelons nous le droit ? Le droit : Ensemble de règles à respecter dans une société qui rend possible un ordre ( et tous les échanges

devenus libres puisque enfermés dans des prisons. Un grand nombre se justifiait du fait qu’ils ne faisaient qu’obéir aux ordres d’un supérieur alors qu’ils ne regrettaient pas leur geste. Pour un adolescent turbulent assez particulier, celui-ci désobéis à ses parents et pense alors être libre, n’obéissant qu’à « lui-même », à « son ego » alors que c’est tout le contraire car il doit à la place se laisser influencer par de mauvaises fréquentations sans en être parfois véritablement conscient. Mais

dans la mesure où ce refus est délibéré et jugé par chacun de façon différente. Pour Sophocle et Thoreau, ce droit devrait être juste et accessible à tous les hommes pour qui les lois, auxquelles ils sont soumis, ne sont pas légitimes. Pour ces deux hommes, il est fondamentale que chacun soit un homme avant d’être un sujet, et si l’injustice les atteints, ils puissent désobéir à la loi qui leur a été imposés surtout dans la mesure où celle-ci a été proclamée, non pas par un être suprême mais par autrui