Esthetique Baudelairienne

on admire point les origiaux », ds Pensées (1670).  Sous-entend q tableau ne ns apporte rien de + q l’original, juste techniq & savoir-faire.  Alr q objectif art = apporter 1 nvelle vis° choses (= qqch de +). Alr q selon Hegel (φ 18ème s.) ds Esthétique = si art devait reproduire ce q est déjà visible ds nature : ps grd intérêt.  Prenant l’ex de toiles q, p./ leur fidélité à la nature, ont réussi à tromper oiseaux ou singes, il en conclut ironiquemt « Belle ambition que de tromper des singes »

fin à ce vouloir-vivre, source de tant de douleurs, et à son absurdité : la voie du plaisir esthétique (c’est-à-dire de la « consolation par l’art ») est une première réponse, mais insatisfaisante : « elle ne l’affranchit pas définitivement de la vie, elle ne l’en délivre que pour quelques instants bien courts ». Cette voie « n’est pas encore la voie qui mène hors de la vie. ». La voie du plaisir esthétique doit donc être dépassée, en s’engageant dans la voie morale, voie de la sainteté et de la « résignation »

verrais bien le porter ou pas. Il ne s’agit pas ici d’une contemplation, puisqu’elle est polluée par l’intérêt. Contempler signifie percevoir l’objet pour lui-même, en laissant de côté son rapport avec moi. (voir texte de Panofsky sur la perception esthétique). Kant va prendre un exemple. Celui d’un édifice, un palais : Palais Albertina à Königsberg, où enseigna Kant. Kant examine dans un premier temps (l.13 à 28) les réponses que l’on peut entendre communément lorsque l’on pose la question

vue d’une approche du problème.) Une oeuvre d'art est un objet spécifique qui, avant même de posséder une quelconque valeur esthétique (la "beauté") se définit comme symbolique et expressif, très différent en ce sens de l'objet naturel ou de l'objet technique. La beauté, que l’on attribue notamment aux œuvres (mais pas exclusivement) fait l'objet d'un jugement dit « esthétique » qui semble - a priori - demeurer personnel, surtout si on le compare au jugement « éthique » (portant sur le bien) ou au

d'art » toute création artistique volontaire et qui a comme finalité le beau. Elle peut prendre comme forme la peinture, la sculpture, la musique, la littérature. La notion de « beauté » est une valeur à laquelle renvoie le jugement esthétique. Ce jugement esthétique peut-il être possible ? Comment peut-on exprimer ce jugement sur une œuvre d'art alors qu'il n'y a pas de règles établissant ce jugement ? Est-ce une obligation de représenter « la beauté » ? L'homme se représente sa production

source de réussite. En effet, elle apporte assurance et de ce fait, une socialisation et une tendance à la prise d’initiative plus importante. De plus les méthodes pour corriger la nature sont nombreuses : entre programme d’amincissement, chirurgie esthétique, émission de changement de style vestimentaire (comme « Nouveau Look pour une nouvelle vie » diffusé sur M6 et qui à chaque émission, met en scène un coach et une personne à remettre en confiance grâce à la mise à jour de sa garde-robe) etc… Quant

Mythes Sujet : La chirurgie esthétique * Nous avons choisi ce sujet sur la chirurgie esthétique car de nos jours la chirurgie est un sujet d’actualité dont il est intéressant de connaître l’envers du décor. Problématique : Pourquoi la chirurgie esthétique est actuellement en pleine expansion ? Lors de ce TPE nous avons choisi de rassembler deux matières scolaires qui sont : * Les SES pour obtenir un point de vu économique et social sur la chirurgie esthétique dans notre société. *

expansion planétaire exponentielle) et en même temps à son dépassement par la civilisation du tout-écran qui mêle tout. Un tel phénomène incite à donner des repères et à ne pas appliquer la notion occidentale d'"art" à l'ensemble de ce qui a une visée esthétique sur tous les continents, ce qui pourrait passer pour un néo-colonialisme 6. Pour ce faire, il importe de rétablir la chronologie et la géographie des productions dans une histoire générale de la production humaine 7.

curieux de valeurs « para spirituelles », cad à dire révéler l’individu déguisé, s’attaquer au conformisme, aux conduites de masse. Théodore Adorno défend la « résistance de l’art » : « à l’époque de l’industrie culturelle planifiée, la naïveté esthétique à changé de fonction. Ce qui jadis conférait aux œuvres d’art au sommet de leur classicité leur plus grand prestige, la noble simplicité, est devenue moyen de capturer le client, un loisir pour PDG fatigué, un simple produit pour l’industrie culturelle

de la première exposition de la Société des artistes indépendants de New York. Cette oeuvre choqua parce qu’elle n’était qu’un objet de la vie courante et remettait en question les limites de l’art en les repoussant au plus loin. Le seul critère esthétique ne suffisait plus à définir ce qui est de l’art ou ne l’est pas et si la morale est bonne (pisser est alors «anoblit» en tant que «fontaine»). Par la suite, beaucoup d’artistes suivirent cette voie dans l’art, en essayant soit de scandaliser, soit