Esthétique Des Fables De La Fontaine

améliorer la langue française, les auteurs de la pléiade vont aussi s’inspiré de Pétrarque leur prédécesseur italien. Ronsard ou Du Bellay vont même jusqu’à faire une imitation des thèmes amoureux pétrarquistes ou bien même jean de la fontaine qui pour écrire ses fables s inspire de texte d’Horace ou même de Phèdre. Tous les poètes du XIXème siècle se sont inspirés de leur prédécesseur romantique. Mais il y a plusieurs façon de s’inspirer des poèmes précédents, elle peut aussi prendre la forme de

de la littérature classique. •La modération, la courtoisie et la mesure doivent guider ce qu’on appelle l’« honnête homme ».Notion dont je vous parlerai ensuite. •Le bien doit triompher du mal : attitude moralisatrice comme dans les Fables de La Fontaine. Souligner la gloire du Roi. •Louis XIV veut remettre un peu d'ordre et laisser sa trace dans l'histoire : •L'art classique est un art officiel, chargé de donner à la France et au roi l'éclat, le prestige et la noblesse dans toute

Nous verrons tout d’abord que le recueil circule à travers les genres et les formes, qu’il révèle aussi une grande liberté morale et philosophique pour évoquer enfin la libération sur le plan esthétique et artistique dont il témoigne. I- Liberté de circulation à travers les genres et les formes Recueil issu d'une démarche doublement originale et inédite, Les Mains libres se meut très librement dans les genres et les formes auxquelles il emprunte. 1. Double originalité de la démarche du recueil

CORRIGE TEXTE A. Jean de La Fontaine, « Les obsèques de la Lionne », Fables, VIII, 14, 1678. TEXTE B. Emile Zola, Germinal, IV, 1, 1885. TEXTE C. Alfred Jarry, Ubu roi, acte III, scène 2, 1896. ÉCRITURE I. Après avoir lu les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante. Question (4 points) Dans ces trois textes, que veulent dénoncer les auteurs ? Quel registre essentiel chacun de ces textes mobilise-t-il au service de cette visée ? NB. Rappel 2de : les registres

vision du monde du texte, la seul chose de permanente est le mouvement, lui-même. Le texte déploie une vision du moi qui est solidaire de la vision du monde, fugacité, Montaigne peut se penser, à partir d’une catégorie qui est-elle du baroque, esthétique fondait sur l’irrégularité, baroque, il y’a d’un côté d’impermanence, « le changement », et de l’autre la permanence divine. Circé Jean rousset « Circé et le pan » (le monde le moi …) Associe à une vision de l’écriture, réflexion aussi sur le

du commun. Le poète utilise le texte pour célébrer une personne. Cela peut être une femme pour gagner ses faveurs, ou bien un personnage puissant pour obtenir sa protection. Présente depuis l’antiquité grecque, on la retrouve dans certaines fables de La Fontaine, mais surtout dans Les Châtiments de Victor Hugo, recueil engagé contre la dictature de Napoléon III ou les oeuvres des poètes résistants comme Aragon ou Eluard pendant la Seconde Guerre Mondiale. On la trouve surtout au MoyenÂge et dans l’Antiquité

Contrairement à une idée répandue, Boileau ne fut pas à proprement parler le chef de file et le censeur du classicisme : nettement plus jeune que Corneille, Molière ou La Fontaine et contemporain de Racine, il publia son Art poétique un an après la mort de l'auteur du Misanthrope, six ans après la publication du premier recueil des Fables, et à un moment où Racine avait déjà écrit la majorité de ses pièces. L'Art poétique ne fut donc pas, pour les contemporains, un ouvrage normatif, puisqu'il n'a pu influencer

simple fiction, de véritables informations historiques. Le lecteur découvrira ainsi d’autres cultures, d’autres modes de vie. De la même manière les Fables de La Fontaine permettent d’apporter des préceptes aux lecteurs, généralement au travers de morales. Ainsi, dans la fable de La Fontaine intitulée « Les Deux Coqs » appartenant au recueil Fables, le fabuliste cherche à apprendre à son lecteur la valeur de l’humilité en lui présentant l’idéal de l’ »honnête homme ». Enfin, la

utiliser le registre polémique ou le registre satirique. Pour Pablo Neruda, poète chilien exilé en raison du régime totalitaire de son pays, « la poésie est une insurrection ». Présente depuis l’antiquité grecque, on la retrouve dans certaines fables de La Fontaine, mais surtout dans Les Châtiments de Victor Hugo, recueil engagé contre la dictature de Napoléon III ou les oeuvres des poètes résistants comme Aragon ou Eluard pendant la Seconde Guerre Mondiale. Elle sert à célébrer des exploits. Elle met

élaborée après les années 1850 et très élargie, les critères s’affaiblissent, se brouillent, parfois s’évanouissent ; cependant, la notion bourgeoise et didactique du classique, et même la fiction de ses quatre mousquetaires, racine, Molière, la fontaine et Boileau, amalgame fabuleux et société secrète imaginaire, pèse d’un poids immense dans la transmission de la tradition et des idées reçues. Bien entendu, la critique du XX siècle s’emploie pour détruire cette illusion, mais le mal était fait et