Etablissement Non Contentieux De La Filiation Paternelle

de l’encyclopédie Dalloz de Droit Civil) • “Il est fait mention de l’existence de l’acte de notoriété en marge de l’acte de décès.” Art. 730-1 du Code Civil (Loi n°2007-1787 du 20/12/2007). TABLEAU GÉNÉALOGIQUE : DEGRÉS DE PARENTÉ LIGNE PATERNELLE moitié fente LIGNE MATERNELLE moitié ARRIÈRE GRAND-PÈRE 3e degré ARRIÈRE GRAND-MÈRE 3e degré ASCENDANTS ORDINAIRES ASCENDANTS PRIVILÉGIÉS ONCLES TANTES 3e degré PÈRE 1e degré MÈRE 1e degré COUSINS 5e degré COLLATÉRAUX ORDINAIRES

par voie de disposition générale et réglementaire sur les causes qui leur sont soumises. Article 6 On ne peut déroger, par des conventions particulières, aux lois qui intéressent l'ordre public et les bonnes moeurs. Article 6-1 Le mariage et la filiation adoptive emportent les mêmes effets, droits et obligations reconnus par les lois, à l'exclusion de ceux prévus au titre VII du livre Ier du présent code, que les époux ou les parents soient de sexe différent ou de même sexe. Dernière modification

au début du XIXe siècle. Théorie idéaliste : le droit naturel ne doit plus chercher ses sources dans la nature, mais dans la raison même de l’homme, au moyen de la raison pure. Droit naturel : supérieur au droit positif, ensemble de principes non écrits, immuables, universels, supérieurs à la volonté des hommes, et qui dans leur esprit devrait être une référence. La rédaction du code civil débute en premier par Aristote qui avance qu’il existe un droit naturel composé de règles universelles

des hommes en société. La famille apparaît comme un mode d’organisation en société, c’est donc à l’origine un phénomène social qui est pris en compte directement par le droit. En partant de ce constat, on peut donc affirmer que la famille constitue non seulement une réalité sociale qui est connue de chacun de nous mais aussi et surtout une réalité juridique. I – La famille, une réalité sociale La famille est incontestablement un phénomène naturel et constant dans toutes les sociétés et ce, quelque

faite pour demander la pension. → L'hypothèse de la pluralité de débiteurs, il y a plusieurs débiteurs possibles. C'est le cas où la personne qui tombe dans le besoin peut demander des aliments à plusieurs de ses proches. Comment faire? Hiérarchie ou non? Selon la juriceprudence pour faciliter l'action de ces personnes qui tombent dans le besoin, la règle est qu'il n'y a pas de hiérarchie entre les différents débiteurs possibles, donc le créancier peut s'adresser à n'importe quel de ses proches qui

ou même de détruire, par des mesures violentes, les liens communs de l'autorité et de l'obéissance. Tout à coup une grande révolution s'opère. On attaque tous les abus ; on interroge toutes les institutions. À la simple voix d'un orateur, les établissements, en apparence les plus inébranlables, s'écroulent ; ils n'avaient plus de racine dans les mœurs ni dans l'opinion. Ces succès encouragent ; et bientôt la prudence qui tolérait tout, fait place au désir de tout détruire. Alors on revient aux idées

créance (quelqu'un qui doit de l'argent a une personne). Ces droits sont parfois considérés eux mêmes comme des biens. Il y a deux cas différents à distinguer. Premièrement les droits incorporels, se sont des droits qui portent sur une activité et non pas sur une chose (exemple un brevet d'invention c'est un droit qu'un créateur exerce sur une chose, ce droit est un bien. Également le droit d'un commerçant sur sa clientèle est un bien). Deuxièmement c'est en matière de droit de créance, ce droit

il existe plusieurs conceptions de la famille. Elle varie suivant les époques et les lieux. De façon générale, au-delà de la diversité, on peut les ramener à deux grandes conceptions : 1. la première met l’accent sur la parenté càd le lien de filiation : c’est ce que l’on appelle le lignage ou la souche. Cela correspond à ce que les romains appelaient la « gens » = groupe de personnes rassemblé autour du père de famille « pater familias » et placé sous sa puissance. Cette famille est donc patriarcale

objets de droits réels 1) La distinction des meubles et des immeubles a) les immeubles b) les meubles 2) Les classifications secondaires a) Les choses consomptibles et non consomptibles b) Les choses fongibles et non fongibles c) Les choses appropriées et celles qui ne le sont pas d) Les choses frugifères et non frugifères C) Présentation des principaux droits réels 1) Les droits réels principaux a) Le droit de propriété b) L’usufruit c) Les servitudes d) L’emphytéose 2)

contemporains car c’est en effet le 2ème courant de pensé qui prédominent. b) Le courant (système) positivisme (il apporte la sécurité, permet la prévisibilité) Cette règle s'impose par le fait même quelle est la loi, peu importe quelle soit juste ou non, qu’il n'y a pas d’autre droit que le droit positif. L'auteur de ce courant de penser--->KELSEN=>élabore le système hiérarchisé de norme qui orne le juridique. Au sommet se trouve la constitution puis les lois ordinaires puis les règlements administratifs