Établissements pénitentiaires de Belle-Île-en-Mer

dénonce la chasse à l’enfant. Le propos directeur du poème est la condition et la violence faite à l’enfant en 1934, le fait qu’il puisse être réduit à un état animal, on peut le traquer, le chasser, il s’appuie sur l’exemple de la mutinerie de Belle-Ile-En-Mer. 2. Ce document appartient au genre non littéraire, c’est un article de presse, il est de type argumentatif et informatif. Le propos directeur est l’évolution du système de pénalisation pour les adolescents délinquants, l’auteur prend

partie du document 1 1/2. Les deux premiers paragraphes définissent le contexte socio-culturel. Le poème est construit autour d’un évènement du mois d’août 1934, au cours duquel la quasi-totalité des pensionnaires d’une maison de redressement de Belle-Île-en-Mer se sont évadés, un fait qui aura marqué cette époque et inspiré également un cinéaste du XXe siècle, Marcel Carné. Le titre du poème, « Chasse à l’enfant », se situe juste au-dessus du texte. 1.2 Les éléments du paratexte concernant la provenance

mineurs. 2.2.1 Les différentes catégories de mineurs. 2.3 Rapports Varinard (2008) et projet de réforme de la responsabilité légale des mineurs. 2.4 Les centres éducatifs fermés(C.E.F). 2.5 Les établissements pénitentiaires pour mineurs. 2.5.1 Objectifs 2.5.2 Polémique 1.Histoire de la notion. Le code pénal de 1810 fixait à 16 ans l’âge de la majorité pénale en matière criminelle et correctionnelle. Il subordonnait la

genres, des types et extraction du propos directeur. 2.1) Le document 1 est un poème de type explicatif car Jacques Prévert explique les mauvaises conditions de vie dans les colonies pénitentiaire. Ce poème nous informe sur la maltraitance des jeunes délinquants dans la maison de redressement de Belle-île-en-Mer en 1934. 2.2) Le document 2 est un texte de genre non littéraire, il est sous forme d’article de journal de type informatif, les verbes majeurs sont au présent de l’indicatif ce qui

sujet du film Les Vauriens, retraçant à travers l’histoire de deux enfants les conditions de vie dans les colonies pénitentiaires pour enfants au XXème siècle, dont la tristement célèbre Belle-Ile. 3 Dans le document 2, le rapport répression-éducation débute en 1860 lorsque la répression prend le pas sur l’éducation, en effet, c’est la création des premières colonies pénitentiaires, véritables prisons pour mineures, qui soumettent l’enfant par le travail. Puis fin du XIXe siècle, début du XXe, la

afin d’appréhender le poème qui suit et de lui donner du sens. On comprend ainsi, où Jacques Prévert a trouvé sa source d’inspiration et ce qu’il souhaite dénoncer. En effet, dans le premier paragraphe on apprend l’histoire qui s’est passée à Belle-Ile-en-Mer, et on en retient les terribles conditions de vie des détenus, l’échappatoire des prisonniers, et leur chasse par toute la ville. C’est autour de cela que va être écrit le poème de l’auteur afin de dénoncer ces actes fréquents qui doivent cesser

paratexte le contexte dans lequel l’auteur a écrit le document. Il situe l’année de manière assez précise (« en août 1934 »), mais situe également les protagonistes ainsi que le lieu (« les jeunes pensionnaires de la maison de redressement de Belle-Ile-En-Mer »). De plus, le paratexte continu de donner des précisions sur le contexte, apportant des détails sur un fait d’actualité resté « à jamais dans les annales ». Il raconte que 55 élèves se sont évadés, provoquant une « chasse aux enfants » par

sujet du film Les Vauriens, retraçant à travers l’histoire de deux enfants les conditions de vie dans les colonies pénitentiaires pour enfants au XXème siècle, dont la tristement célèbre Belle-Ile. 3 Dans le document 2, le rapport répression-éducation débute en 1860 lorsque la répression prend le pas sur l’éducation, en effet, c’est la création des premières colonies pénitentiaires, véritables prisons pour mineures, qui soumettent l’enfant par le travail. Puis fin du XIXe siècle, début du XXe

Les colonies pénitentiaires et correctionnelles virent le jour en nombre croissant (Mettray, Belle Ile…) avec une discipline de fer. Les années 1820-1830 voient la création de quartiers de mineurs dans les prisons. L’éloignement des enfants des villes est préconisé et leur soumission à un régime d’éducation stricte. Les lois du 5 et 12 août 1850 sur l’éducation et le patronage des jeunes détenus déterminent trois types d’établissements : # les établissements pénitentiaires accueillent

18 avril et 29 septembre 1814 prescrivent la création de « maisons d'amendement », premiers établissements spécifiquement réservés à l'enferment des mineurs7. En 1819, des quartiers étaient également réservés aux enfants dans les prisons départementales.[réf. nécessaire] En 1824, est institué le premier quartier réservé aux mineurs dans la prison de Strasbourg4. Mise en place d'établissement pénitentiaires pour enfants[modifier | modifier le code] Le comte d’Argout Par une circulaire du 3 décembre