Etat De Nature Hegel

même temps une conscience immédiate d'autres choses hors de moi." Cf. Sartre: "La conscience et le monde sont donnés d'un même coup: extérieur par essence à la conscience, le monde est, par essence, relatif à elle." Première partie: Nature, fonction et formes de la conscience A. Les caractéristiques de la conscience a) Première caractéristique : la conscience est intentionnelle Découverte de Husserl de l'intentionnalité de la conscience, càd de "cette nécessité pour la conscience

Humain, trop humain, 1878. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 464 Citation 466 « Ce qui fait la valeur morale de la division du travail [...], c'est que, par elle, l'individu reprend conscience de son état de dépendance vis-à-vis de la société. » Durkheim, De la division du travail social, 1893. http://www.devoir-de-philosophie.com/passup/citations.php?PARAMS= 466 Citation 467 « Le vrai travail est avec l'homme ; c'est le travail des

pas sûr… Voyez la pensée d’Alain à ce sujet. En revanche on peut se demander s’il n’y a pas de pires maux pour l’homme que la guerre ? Imaginer la réponse que donneraient à cette question  des individus aussi différents que  De Gaulle, Trotski ou Hegel. La perte de la liberté et le déshonneur national, la misère du prolétariat, l’assoupissement de l’activité dans le ronronnement des habitudes sont, à chaque fois, pensés comme les pires des maux pour l’humanité. Et par-là même s’ouvre la brèche qui

(méfiance, insécurité). La guerre est un état de nature. Tout le monde se bat pour son propre intérêt, égoïsme. Pas de morale, pas de loi (exceptée celle du plus fort). Recours à la violence pour obtenir ce que l’on veut, violence qui peut aller jusqu’à la mort de l’autre (sans culpabilité).  Violence instinctive, violence de possession (lien Girard) Locke Violence en cas de légitime défense ou quand l’autre est en danger. (Violence non présente dans état de culture car la légitime défense n’est

appeler l’idéalisme historique. On entend par là une doctrine qui met l’accent, dans son interprétation de l’Histoire, sur la force des Idées, (texte) l’empire qu’exerce l’esprit dans l’orientation de l’Histoire. Nous en avons un exemple typique chez Hegel, dans La Raison dans l’Histoire. Ce qui fait problème, pour qui veut soutenir que l’Histoire a un sens, c’est la présence de la violence dans l’Histoire. Nous serions en effet tout près à accepter que l’Histoire progresse, si elle n’était pas

étant présumé avoir reçu de la nature les lumières nécessaires pour se conduire, apporte en naissant un droit égal et imprescriptible à vivre indépendant de ses semblables, en tout ce qui n’a rapport qu’à lui-même, et à régler comme il l’entend sa propre destinée. » Alexis de Tocqueville (1805-1859), in De la démocratie en Amérique (1840). L’EXPLICATION Cette notion moderne de la liberté n’est donc pas comme la première une notion politique, elle se fonde sur la nature humaine. En effet, la raison

résultat nécessaire du développement des forces productives de la société actuelle. Toute l'histoire écrite jusqu'à nos jours a été l'histoire de la lutte des classes, de la domination et des victoires de certaines classes sociales sur d'autres. Et cet état de choses continuera tant que n'auront pas disparu les bases de la lutte des classes et de la domination de classe: la propriété privée et l'anarchie de la production sociale. Les intérêts du prolétariat exigent la destruction de ces bases, contre

personnel, dont la source est le rapport à soi. Hobbes ne parle pas de désir de reconnaissance. Pourtant, on 2 Némirovsky Clément L3 humanités peut trouver dans le Léviathan une réflexion anthropologique intéressante, dans l'exposé d'un état de nature antérieur à la société, sur l'individu et ses aspirations primordiales ; Hobbes expose et explique une opposition entre le rapport à soi et le rapport aux autres. Il explique cette tension par une égalité naturelle de capacités des hommes, qui

est le seul être conscient de soi. Il est doté d’un certain savoir dont les autres êtres de la nature sont dépourvus. Hegel dira « l’homme, parce qu’il est esprit, a une double existence » cela signifie que non seulement j’existe mais que je me vois exister dans une sorte de dédoublement de soi rendu possible par le miroir qu’est la conscience. La conscience est donc une capacité de se dédoubler. Hegel dira aussi « L’homme se constitue (…) il est poussé à se trouver lui-même, à se reconnaitre lui-même

participation à un conflit semble relever d’une action délibérée (confligere : « lutter ensemble »), la passion est d’abord un état subi avec violence par les individus (patior : « souffrir »). Dans un cas, on s’engage dans un conflit, on fait la guerre, dans l’autre la passion nous emporte, elle nous dévore… C’est donc la question de la liberté qui se pose à nous : comment un état subi peut-il pousser des individus à prendre part volontairement à un conflit ? C’est ce que nous verrons en essayant de délimiter