Etat Providence Keynes

 Chapitre 9 : Les politiques économiques I. LA NOTION DE POLITIQUE ECONOMIQUE La politique économique regroupe l’ensemble des décisions prise par un Etat dans le but d’atteindre des objectifs économiques et/ou sociologiques à l’aide d’instrument spécifiques. L’idée même de politique économique repose sur une hypothèse importante selon laquelle l’Etat peut intervenir dans l’économie et selon laquelle ces interventions peuvent être efficaces. C’est cette conviction sur la possibilité, la

faire du social l’objectif déclaré de leur politique » Jacques Donzelot tente d’expliquer, à travers notre histoire, de la Révolution à nos jours, la place majeure qu’a pris le social dans notre démocratie, et comment s’est mis en place l’Etat-Providence, aujourd’hui remis en cause. Afin de permettre de saisir l’argumentation de l’auteur, celle-ci se situant dans une perspective historique, j’ai choisi de suivre son déroulement en quatre parties : la question sociale, l’invention de la solidarité

intéressant pour les chefs d’embaucher. La logique libérale [pic] Implique Hausse Baisse - le courant keynésien : vient de Keynes (théorie de l’emploi, de l’intérêt et de la monnaie) également appelé courant interventionniste. Doc 4. Pour Keynes le plein emploi (absence de chômage) n’est pas l’état naturel de l’économie. Un chômage élevé et durable est possible. Il propose l’intervention de l’état grâce à une politique budgétaire

Economie [pic]Smith, Marx, Keynes... racontés par Alain Minc De saint Thomas d'Aquin à Keynes, de Malthus à Hayek, de Smith à Rawls, dans son nouvel essai, « Les prophètes du bonheur » (qui sort chez Grasset le 30 mars), Alain Minc relate l'histoire de la science économique. En exclusivité, Le Point propose trois extraits, illustrant les idées forces de ces penseurs qui ont révolutionné le monde ADAM SMITH : Disparu en 1790, Adam Smith demeure un homme du XVIIIe siècle : il a, en effet, connu

noter que dès les années 70, il y a de nombreuses remises en cause de l'Etat : On peut penser a la critique de son intervention dans sa fonction d'allocation (années 80 marquée par de nombreuses privatisation) ; On critique aussi l’État-providence, sa fonction dans le social, qui va amener a des réformes ; On critique aussi l'efficacité de ses politiques conjoncturelles (stagflation) Ce revirement des années 70-80 ne remet pas en cause le rôle de l'Etat dans les économies, car ses

elles peuvent sombrer (crise de 1929, rappelée par crise des subprimes). Ainsi suite à la grande crise des années 30 et à la 2ème GM, le monde occidental apparaît uni dans la guerre froide, on laisse de côté la lutte des classes au profit de l’Etat-Providence et de l’économie sociale de marché. La révolution financière, la chute du mur de Berlin et les crises des années 70 brise le consensus anticrise des années 50 60. Aujourd’hui la crise revient, la remise en cause du Capitalisme paraît inévitable

sortir de la guerre, la reconstruction d'un système monétaire international s'impose. Pour ce faire, la conférence de Bretton Wood se réunit en juillet 1944. Au cours de cette conférence, s'opposent les projets britannique, défendu par John Maynard keynes, et américain, défendu par Harry Dexter White. Finalement, le projet soutenu par les États-Unis s'impose et consacre l'hégémonie du dollar dans le système monétaire international. En outre, la conférence de la Havane en 1946, « conférence des Nation

le plan Paulson à permis d'éponger 700 milliards de dollars d'actifs à risque. En Europe, les plans nationaux se chiffrent à 1 700 milliards d’euros. L’actualité nous procure des explications sur les déficits budgétaires que peuvent connaitre les Etat. Mais celui-ci correspond à une loi votée chaque année qui permet aux gouvernements de prélever certaines ressources des impôts et taxes et de les dépenser pour agir directement sur la conjoncture. Cependant les actions des gouvernements nous font

chaîne. Dans sa théorie générale, Keynes avance son concept de « multiplicateur de crises ». Lorsque la consommation se réduit et que l’investissement baisse, les entreprises licencient. Les chômeurs réduisent encore plus leur consommation, ce qui contracte davantage les débouchés, et les entreprises sont contraintes de revoir à la baisse les investissements et les embauches. Cette spirale négative se solde par un « équilibre de sous-emploi ». Pour Keynes, une cause centrale de déséquilibre est

 COURS N° 5 ÉTAT DE DROIT, ÉTAT PROVIDENCE ET CRISES ÉCONOMIQUES L’État est une entité, une abstraction, un ensemble d’institutions régies par un ensemble de codes avec une distinction des fonctions à contenu variable selon les époques et les coutumes locales. L’État a pour origine : Selon l’interprétation classique, il est né lorsque l’idée d’intérêt commun est apparue. Au-dessus de tous les intérêts particuliers on place ce qui relève du domaine de la collectivité (l’intérêt commun). Cette