Etat Stationnaire Chez David Ricardo

développé par les physiocrates du XVIIIe siècle tel que François Quesnay et les économistes libéraux du XIXe comme David Ricardo et John Stuart Mill qui défendaient la liberté du commerce et de l'entreprise. Au contraire, le protectionnisme s'oppose au libre-échange. C'est une politique économique qui vise à limiter l'entrée des produits étrangers afin de protéger les intérêts économiques d'un Etat.

Chapitre 3 : Les classiques (fin 18ème-19ème) On va regrouper ici différents auteurs, avec des points communs mais aussi des divergences. (RICARDO, SMITH, MALTHUS) I. Introduction : le contexte de la révolution industrielle 1. L’évolution générale du leadership : Le 16ème siècle : l’Espagne est la puissance dominante. A la fin de ce siècle, cette puissance va décliner. L’arriver d’or est de moins en moins importante. Les espagnols n’ont pas réussi à développer suffisamment leur propre

Livre II, ch. 3 (extraits) 3. Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations (Adam SMITH), 1776, Livre IV, ch. 2 (extraits) 4. Des principes de l’économie politique et de l’impôt (David RICARDO), 1817, ch. 1 (extraits) 5. Des principes de l’économie politique et de l’impôt (David RICARDO), 1817, ch. 4 (extraits) 6. «L’économie classique» (Jacques BONCOEUR), Cahiers français, n0280, mars-avril, La Documentation Française (p. 16-18). 7. « Le développement durable est-il soutenable

Introduction à l’analyse économique ------------------------------------------------- David Ricardo roesch Table des matières I) Les bases de la théorie ricardienne. 2 A) La valeur travail et l’économie de la production 3 B) La répartition de la valeur => le revenu 4 II) Les lois Ricardiennes, 5 A) la loi de la dynamique économique en économie fermée : la loi des rendements décroissants. 5 B) La loi des coûts comparatifs : la loi de la dynamique économique en économie

fonciers (rente).  Pour Marx : Valeur et répartition : Au contraire, Marx a lié les 2 problématiques de valeur et répartition, ces 2 écoles adoptent la théorie de la valeur travail comme source de valeur, mais Marx va aller plus loin. La valeur chez les Classiques est déterminée par la quantité de travail nécessaire à la production, la même chose pour Marx mais la seule différence c’est que Marx parle du travail socialement nécessaire, c'est-à-dire le travail de l’ouvrier moyen, par exemple 1h

libéralisme. Le libéralisme a 2 principes fondateurs : le respect de l’ordre naturel (l’Etat ne doit pas intervenir dans l’économie) et l’agrégation harmonieuse des comportements individuels. Le concept de l’ordre naturel se retrouve chez tous, que ce soit chez les physiocrates, les classiques ou les néoclassiques. Le second principe veut dire que chaque individu, en cherchant son intérêt personnel œuvre, sans le vouloir, pour l’intérêt général. Les libéraux, qui sont des utilitaristes, maximisent

totalement avec le courant précédent attaché au libéralisme économique. Son fondateur : Smith avec le désormais célèbre La richesse des nations (recherche sur la nature et la cause de la richesse des nations) de 1776, il se poursuit par les idées de Ricardo, Say ou encore Malthus considéré comme le dernier vrai classique. Cependant, on attribue à Marx un penchant « classique » qui en font pour certains le dernier de la lignée, bien que de nombreuses divergences l’éloignent de ce courant. On parlera par

il plaidait parfois pour l’intervention de l’Etat. La famille classique comprend une foultitude d’autres auteurs pas toujours d’accord entre eux qui ont jeté les bases de l’analyse économique. C’est Marx qui les a étiquettés « classique ». David Ricardo (1772-1823) Agent de change anglais et député à la Chambre, il a développé dans ses Principes de l’économie politique et de l’impôt une analyse du commerce international qui fait encore référence. C’est lui qui a formulé l’analyse de la valeur

François Quesnay (1694-1774) Au XVIIIème siècle, l’économie française est une économie essentiellement agricole : l’agriculture contribue pour plus de 75% à la richesse nationale et les problèmes économiques qui se posent sont étroitement liés à cet état de fait. Quesnay connait bien la situation de l’agriculture puisqu’il est lui-même fils d’un propriétaire foncier des environs de Paris. Ses réflexions l’amènent à réunir autour de lui quelques hommes qui s’intéressent à l’économie : Mirabeau (père)

la demande comme stimulant de la production ; cette thèse infirme pourtant en partie son principe de population. 3) David Ricardo : La théorie de la valeur : Elle se fonde sur la théorie de la valeur travail qu'il a reprise à Smith en l'approfondissant. Selon cette théorie, la valeur d'échange des marchandises dépend de la qualité de travail nécessaire pour les produire. Ricardo affirme qu'il faut non seulement prendre en considération le travail direct (celui des salariés), mais aussi le