Ethique Maconnique

responsabilité de décider, de choisir. 2- Une mise en mouvement : s'informer, interroger notre quotidien • Tout d’abord, s’informer. Conférences, films, livres, articles de journaux, questions aux professionnels, questions juridiques, médicales, éthiques et d’Eglise, tout a été mis à contribution. Les médias regorgent d’information. Pas assez … ou trop d’information ? « On entend tout et son contraire : les agro-carburants cela semblait intéressant, et maintenant on nous dit que c’est nuisible.

le commandement au point d’en faire la définition de notre identité véritable. L’essence du devoir ne fait qu’un avec celle de notre être. www.annabac.com © H A T I E R 2009 3. Les conséquences éthiques A. Une vie insatisfaite La caractérisation de ces deux attitudes opposées a des conséquences éthiques capitales. Le bonheur ou le malheur des individus en dépend. Ce n’est donc pas le devoir qui nous cause de la peine, mais la façon dont nous le concevons. Kierkegaard brosse rapidement le portrait

maintenant de pouvoir être immortel en téléchargeant les donnés du cerveau hors du corps. Cette forme de progrès fait peur et peut être néfaste pour l’humanité. Voila pourquoi si on ne s’impose des limites et si on se demande des questions morales et éthiques, la liberté dans le progrès peut se relever négative. Cependant, la liberté n’est pas le seul moyen de progresser. Au cours des années, l’homme a évolué énormément mais d’autres facteurs que la liberté ont permis cela. Sur le plan politique, les

donner du sens au présent pour appréhender l’avenir, on ne peut que recommander vivement la lecture du présent ouvrage. Cette rigoureuse histoire de la “misère sexuelle et prostitution au XIX° siècle” n’est pas sans nous interroger sur les fondements éthiques de notre organisation sociale. Et comment résister, pour introduire cette note, à l’appel d’un témoin de l’époque. Il nous livre ici sa lumière et sa part de mystère... “C’est peut-être par goût pervers, mais j’aime la prostitution et pour elle-même

b) Le bonheur comme finalité de l’existence. Aristote Selon Aristote, et au sein de la philosophie antique dans son ensemble, le bonheur est la fin suprême à laquelle toutes les autres fins sont subordonnées. Ainsi que l’écrit Aristote, dans l’ « Ethique à Nicomaque » : Tout ce que nous choisissons est choisi en vue d’une autre chose, à l’exception du bonheur, qui est une fin en soi. (Livre X, chapitre VI). En s'exprimant de cette manière, Aristote affirme que le bonheur n’est pas un don, et qu’il

procédures de dénonciation qui est nécessaire à la dispensation de soins adéquats de qualités ? Afin de répondre à ce dilemme éthique, j’analyserai, en appliquant la théorie éthique de Kant, cette situation. Avec une démarche morale et rationnelle, je serai en mesure de prendre une décision conforme à la rigoureuse philosophie Kantienne. Je me retrouve confrontée à un dilemme éthique puisque peu importe ma décision, je dois renoncer à quelque chose d’important. Je sais que je dois choisir entre compromettre

mieux qu’ailleurs sont aussi mes richesses. La fraternité dont on parle là, c’est le partage, la loyauté, la fidélité et l’amour, entre les hommes et en particuliers entre frères.  La fraternité n’est pas quelque chose d’innée certes mais la loge maçonnique est vraiment propice à l’épanouissement fraternel, c’est ce que je vis depuis mon entrée en maçonnerie. Solidarité, indulgence, fidélité, tolérance, des concepts qui très vite deviennent une évidence. La chaîne d’union est formée d’anneaux qui

Discourses) Ou par le « théisme nohachite » plus actuel de Claude Guérillot, dont le De la porte basse à la 2 porte étroite : une approche de l'initiation, chez Dervy, est largement diffusé ? Gide serait-il l’auteur d’un célèbre rituel maçonnique, ai-je fini par me demander ? Le sens de tout ceci, n’est-il pas : se baisser c’est s’abaisser, s’humilier ? Est-ce le message, à défaut de messe, de nos frères véritables ? Un ancien message ? J’ai fouillé dans nos textes. Voici quelques coups

Rectifié, depuis son origine, se revendique fondamentalement chrétien et c'est "en creux" que Jean Ursin pointe les incompatibilités philosophiques entre les fondateurs du Rite et les autres religions du Livre. Pourtant, comme bien d'autres rituels maçonniques, le Temple occupe une place centrale dans le corpus symbolique de "l'écossais Vert" mais ce Temple n'est plus celui de Zorobabel, ni celui d'Hiram et de Salomon, c'est le Temple reconstruit au sein de la Nouvelle Jérusalem qui est ici figuré, et

renaissance empreinte de pureté, d’innocence et de candeur. Cela est nécessaire à la construction de son temple car l’Initiation constitue la base, la fondation sur laquelle nous allons pouvoir construire notre nous-mêmes symbolisé par notre temple maçonnique, tout au long de notre vie d’initié. Cette nouvelle vie commence dès l’Introduction en Loge par la chaine d’union, qui marque un réel élan de Fraternité après les difficiles épreuves de l’Initiation. On passe de l’état de Néophyte à celui de Frère