Ethique Mjpm

Ethique On se souvient des actions menées aux Etats-Unis au milieu des années 1990 contre la société Nike pour dénoncer les conditions de travail chez ses sous-traitants indonésiens. Récemment, dans un autre registre, le rapport Stern (économiste britannique) alerte sur la menace qu'est l'effet de serre et préconise une action rapide des politiques. Ainsi, de telles préoccupations sociétales prennent une place croissante dans le débat autour de la mondialisation. Dans un cadre néolibéral, les

mutuellement rendus services. Et une très faible capacité à l’autocritique : « En France, jamais aucun directeur de rédaction ni aucun journaliste n’a démissionné de son poste après avoir commis (et reconnu) une faute grave". Ce climat de faiblesse éthique, le manque de vigilance et d’exigence fait que la presse ne représente plus un vrai contrepouvoir. Le pouvoir politique est ainsi tenté de reprendre en main ce territoire, comme le montre nombre d’exemples d’atteinte à l’indépendance de la presse

Énoncé « Puisque l'homme libre est celui à qui tout arrive comme il le désire, me dit un fou, je veux aussi que tout m'arrive comme il me plaît. – Eh ! mon ami, la folie et la liberté ne se trouvent jamais ensemble. La liberté est une chose non seulement très belle, mais très raisonnable et il n'y a rien de plus absurde ni de plus déraisonnable que de former des désirs téméraires(1) et de vouloir que les choses arrivent comme nous les avons pensées. Quand j'ai le nom de Dion à écrire, il faut que

reconventionnelle en fait partie. La question de l’évaluation du préjudice est complexe, c’est une notion juridique et si le simple du raisonnement qui caractérise la matière est approfondi, cela peut susciter des questions morales, philosophiques ou encore éthiques, probablement plus complexes à appréhender dans le cadre d’une juridiction telle que le CE. Ces juridictions ne sont pas composées de juristes, mais de professionnels accomplis et ayant déjà une grande partie de leur carière derriere eux. Cette

c’est être « comme une pierre » (idée de mort et d’ennuie) et Calliclès revendique la joie et la peine donc assumer le risque de l’échec de la souffrance, de la déconvenue : le désir c’est la vie. B. Spinoza : « le désir est l’absence de l’homme ». Ethique L’homme désir sans cesse et ne peut s’empêcher de désirer, vivre c’est désirer. Spinoza rompt avec la tradition religieuse qui condamne le désir (Platon, Descartes). Cela correspond à son refus de séparer l’âme et le corps. Pour lui, cela n’a pas

 « L’éthique regroupe un ensemble de principes, de valeurs et de croyances qui dirigent la conduite des individus » (Mercier, 1999). La définition proposé par « The American Heritage » est comme suit « l’éthique est la philosophie qui traite de la morale. Ethique se préoccupe de distinguer entre le bien et le mal dans le monde, entre le bien et le mal des actions humaines, et entre les caractéristiques vertueux et non vertueux des personnes ». Elle se définit comme «la recherche des fondements rationnels du

de donateurs étrangers devenus actifs dans la discipline. 2 Voir rapport S/2004/616 du 23 août 2004, http://www.un.org/unowa/unowa/scdocs/screports.htm 3 Bien que ces mécanismes représentent tous des développements encourageants, les obstacles éthiques, légaux et politiques auxquels les pays sortant de crise font face sont tels que dans bon nombre de cas, les gouvernements de transition sont forcés de prendre des décisions sans qu’un choix soit nécessairement meilleur qu’un autre. L’ampleur des

Liée à aucune situation particulière 3. Toute époque, tout temps 4. Dit comment réagir face aux situations B. Impératif catégorique 1. Ordre – Obéissance indispensable 2. Pas de profit personnel àpd autres ou de soi-même 3. Ethique du devoir 4. Ethique de bonne volonté C. Opposition à Hume 1. « Ce qui est » différent de « ce qui doit être » 2. Raison et expérience ne distinguent pas le vrai du faux D. Distinction entre bien et mal – Raison fait le tri 1. Inscrit dans

toutes démarches et travails éducatifs. Ensuite le sous-titre du livre, « Outil professionnel pour un projet humaniste », laisse à penser que l’auteur pourra mettre en avant une analyse des pratiques d’un point de vue professionnel mais aussi éthique en décrivant les valeurs « humanistes », et leur importances, qui animent les professionnels du social et qui sont je pense, la base de l’engagement dans ce métier. Pou finir sur les motivations de ce choix, j’ai été poussé par la curiosité

Question fondamentale sur la légitimité de la connaissance apportée par le chercheur. Le moigne (1995) : * Nature gnoséologique (qu’est ce que la connaissance ?) * Méthodologique (comment applique-t on scientifiquement la connaissance ?) * Ethique (quelle est la valeur de cette connaissance ?) Relation de la recherche et du terrain. 1) La gestion, une science sociale. * Sciences exactes * Sciences de la nature (type empirico-formel) * Science de l’homme : *science de