Etude De Cas Fusion Acquisition Renault

également à Rym qui m’a été d’une aide précieuse. AUDIT D’AQUISITION Sommaire Sommaire Introduction Générale ....................................................................................................01 Chapitre I : Les opérations de fusions-acquisitions ................................................04 Section 1 : Notions, concepts et considérations théoriques générales……………….…04 1.1- Définition et principales classifications .......................................................... 04 1

" Paris, 20-22 june 2007 Renault 1992-2007 Mondialisation et quelques doutes Michel Freyssenet CSU, CNRS Paris GERPISA (Première version) Après une période où tout semblait lui réussir, Renault vit à nouveau un moment difficile, de même que son allié Nissan. Depuis les années 80, Renault connaît tous les dix ans une période de faiblesse : 1983-1986, 1992-1997, 2005-?, suivie par un rebond parfois spectaculaire, comme celui au cours duquel Renault s’est allié à Nissan, a fait

1) Spécialisation recentrage 2) « premiumisation » 3) Désendettement C. L’internationalisation du groupe * Quatrième partie : déploiement et stratégies A. Fusions/acquisitions/alliances= croissance externe 1) Les différentes opérations de croissance externe du groupe Pernod-Ricard 2) Le cas Allied Domecq B. Résultats 1) La « premiumisation » 2) La croissance externe 3) Le recentrage sur les marques stratégiques 4) La décentralisation 5) Les marchés

Ainsi, la notation d’un emprunt en dollars US d’une société européenne dépendra de l’accès de cette entreprise à une source de dollars US. La notation en devise est particulièrement souvent présente lorsqu’il s’agit de la notation d’un Etat. Dans ce cas, la différence de notation reflète le fait qu’un Etat aura tendance à privilégier le remboursement des dettes exprimées en devise nationale, ce qui implique en principe une relation inférieure pour les emprunts en devise étrangère. 6. Notation souveraine

selling) C’est un procédé qui consiste à vendre un titre que l’on ne possède pas en portefeuille. On emprunte un titre, que l’on revend ensuite. On rachète le titre à un moment futur afin de le rendre au propriétaire qui a prêté le titre. Il y a 2 cas dans lesquels il est intéressant d’avoir recours au short selling : • Spéculer à la baisse : par exemple, un manager emprunte un titre qui vaut 20 à t=0. Il pense que le titre est surévalué ou qu’un événement impliquant une révision à la baisse va se

100 et se calcule au niveau de chaque entreprise.  Les types de contrôle exercés : La figure ci-dessous illustre le cas d’une filiale A située en Espagne, qui est contrôlée à 80% par une société mère B, située en France. Il s’agit donc d’un contrôle direct. Mais A est elle-même contrôlée à 70% par une entreprise C située en Allemagne. C exerce un contrôle indirect sur A. Dans ce cas on peut calculer que C contrôle indirectement A par l’intermédiaire de B à (0.7×0.8) × 100 = 56%. A 80% B

performance » 53 L’éthique et le gouvernement d’entreprise 56 Cas de gouvernement d’entreprises : scandale, puissance des actionnaires et capital managérial 59 Le scandale Vivendi 59 Rappel des faits 59 Epilogue d’un scandale 61 Conclusions sur le scandale Vivendi 62 Le cas HP 65 Rappel des faits : 65 Conclusions sur le cas HP 66 L’alliance Renault-Nissan 68 Chronologie d’une alliance 68 Conclusions sur l’alliance Renault-Nissan 71 Conclusion : 74 Introduction : Après une crise

ZATTI Houda  2010  Spécificités de l’audit des comptes de stock: Cas ‘’Société Everything’’  YOUSFI Meryem  2010  Pratiques d'audit des associations au Maroc  THICH Meryem, ZHARI Ibtissam  2010  La Gestion du Risque de Change  TAHIRI JOUTEI HASSANI Meryem   2010  La démarche d'audit du Commissaire aux comptes dans le Cycle trésorerie  SQUALLI HOUSSAINI Mehdi  2010  L’audit des immobilisations au Maroc: Cas d’une Entreprise américaine basée au Maroc  SOUBAI Boutayna  2010 

Définitions et critères de décision a. Définitions b. Les critères de décision 2. Les avantages et les inconvénients a. Les avantages b. Les inconvénients B. Les différentes techniques du Faire faire. Un cas particulier : la sous-traitance 1. Définitions et degrés d'implication de la sous-traitance a. Définition b. Les degrés d'implication de la sous-traitance 2. Les différentes catégories de sous-traitance a. La

décisions ! » (tant pis si l’idée brillante ne passe pas, on fait en sorte que tout le monde soit d’accord), en France on n’aime pas les consensus « cet Américain ne supporte pas les réunions avec des Français ! », 2/3 des échecs des F&A (fusion et acquisitions) attribués aux problématiques interculturelles (à anticiper) Attention : tous les modèles culturels ne servent jamais à prédire des comportements mais juste à les comprendre. Existe-t-il des théories, des outils ? Communiquer