Etude De La Métaphore Des Lumières

employées et les couleurs dominantes) ; qualifier la tonalité de l’ensemble (tons chauds ou froids) et la répartition des couleurs ; décrire les touches (larges, petites, invisibles…) et analyser les effets ainsi créés. - Les lumières : déterminer les sources de lumière, les zones d’ombre, la mise en évidence d’un personnage, d’un objet et les contrastes obtenus. - Le dessin : le tracé (flou, net, énergique, délicat…). - la facture : le soin porté à la réalisation de l’œuvre. - la

Commentaire Eluard « Le texte soumis à notre étude est un poème de Paul Éluard intitulé “La courbe de tes yeux” issu de la section “nouveaux poèmes” de son premier recueil Capitale de la douleur, paru en 1926, et dédié à sa première femme Gala, qui était aussi sa muse jusqu’en 1928. Dans ce poème qui divinise sa femme, on observe nettement l’influence du surréalisme. Éluard est un poète du XXe siècle qui adhère au dadaïsme et devient l'un des piliers du surréalisme en ouvrant la voie à une

Perrault, écrivain du 17 ème siècle. Suite à la malédiction lancée par une vieille fée, la princesse, à l’âge de ses 16 ans, se piquera sur un fuseau et s’endormira pour cent ans et ne pourra se réveiller que par la venue d’un prince… A travers notre étude, nous chercherons à montrer en quoi ce poème est une ode littéraire au célèbre conte de Charles Perrault. Nous dégagerons les idées principales du sonnet que nous lierons avec la forme, c’est à dire procédés littéraires employés. Nous parlerons en

: Esprits critiques au Siècle des Lumières ; deuxième partie : groupement de textes Etude n°2 : « De l’horrible danger de la lecture* »* (1765), Voltaire Texte polémique (pamphlet) écrit par Voltaire suite à la condamnation du Dictionnaire philosophique par l’Eglise. Ce texte se présente comme parodie de texte de loi et permet à l’auteur de dénoncer, de façon ironique, l’obscurantisme et l’abus de pouvoir, mais aussi de faire l’éloge des valeurs des Lumières. I – Forme et efficacité de la

contestations menée par les philosophes des Lumières ne tarde pas à s'organiser. Grâce à leur esprit d'examen et à leur profonde volonté de changements ces « honnêtes hommes » dénoncent le caractère inégalitaire de la société, si bien qu'aujourd'hui leurs noms sont synonymes de contestation et de révolte. Condorcet a d'ailleurs résumé l'effort de la philosophie des Lumières par ces trois mots « raison, tolérance, humanité». Mais les philosphes des Lumières sont-ils réellement porteurs et défenseurs

de Gaston Bachelard en matière d'épistémologie ont retenu essentiellement "les quatre thèses suivantes"[13] : 1. les instruments scientifiques sont des "théories matérialisées" "phénoménotechnique"). Et donc toute théorie est une pratique 2. toute étude épistémologique doit être historique 3. il existe une double discontinuité : d'une part entre le sens commun et les théories scientifiques ; d'autre part entre les théories scientifiques qui se succèdent au cours de l'histoire. C'est la fameuse "rupture

Étude d'un mouvement littéraire et culturel « Les lumières du XVIIIe siècle » Première partie : « Le prochain siècle sera de jour en jour plus éclairé ; en comparaison tous les siècles précédents ne seront que ténèbres. » Citation de Bayle en 1697 1 - Utiliser la métaphore de la lumière permet d'associer la raison et l'intelligence (Une lumière pour éclairer, mettre en valeur quelque chose ou quelqu'un). 2 - Les lumières s'opposent à l'obscurantisme, qui marque une époque de torture et

il une correspondante entre les deux univers, recherche t-il l’unité harmonieuse du monde ? Se dessine des lors la quête de l’idéal et s’affirme le pouvoir évocatoire et onirique de la femme, médiatrice de la communication poétique avec le réel Etude Linéaire Chant d’automne - Au premier mot, on apprend que quelque chose va arriver. - Nous plongerons : le poète attire l'attention du lecteur. - La première strophe avec ses mots ténèbres, Adieu, et chocs funèbres laissent penser à la mort. -

40) il parcourt tout l’extrait comme si les élèves ne peuvent se retenir de rire avec une montée en puissance (li. 56) et l’adjectif « étouffé » (li. 60) qui montre à quel point on peine à se contenir L’humour du professeur (li. 42-43) avec la métaphore guerrière du « casque » (li.42). On note ici que l’expression « qui était un homme d’esprit » marque l’ironie de l’auteur vis-à-vis du professeur. C’est une antiphrase. II-a) Toute la classe fait bloc (li. 39) alors qu’en face (li.44) « le pauvre

.........................................................................................3 2 QUESTIONS OUVERTES .................................................................................................................................4 2.1 ETUDE DE TEXTE ........................................................................................................................................4 2.2 QUESTION 1 : PREMIER CONTACT ...................................................................