Etude De Marche Phytosanitaire

qui ne nous a pas lésiné sur son assistance et toutes les informations qu'il nous a fournies tout au long de la période de stage , et nous a permis de passer un stage totalement théorique à être confronté à la réalité et aux véritables nécessités du marché du travail. Nous adressons nos chaleureux remerciements à Mr. Le Professeur AARAB AHMED , notre encadrant pour son effort permanent, afin de réaliser ce travail. Liste des abréviations :IBR

partie: Les diférents modes de distribution et de communication du vin. - Distribution: caviste, courtage, foires aux vins en GMS, vente en primeurs, duty free… - Méthodes, stratégies et contraintes de communication de la flière vins et spiritueux. - Etude d'un cas pratique de communication à grande échelle: le vignoble beaujolais. 2ème partie: Les grands vignobles étrangers. Les nouveaux enjeux du secteur viticole. - Les vignobles étrangers: d'autres cultures, d'autres méthodes. - Nouveaux enjeux:

RAPPORT DE MISSION Etude de concurrence Maître de stage : Mickaël COMPAIN, responsable du point de vente Enseignant-tuteur : Nathalie AVALONNE Tous droits réservés © 2011 Jean-Baptiste LAMY 5 « La raison d'être d'une entreprise est de créer et de garder un client. » Théodore Levitt Tous droits réservés © 2011 Jean-Baptiste LAMY 5 INSTITUT UNIVERSITAIRE DE TECHNOLOGIE DE TOURS Département T.C.2.A. Année universitaire 2010/2011 Auteur : Jean-Baptiste LAMY RAPPORT DE MISSION Etude de concurrence

Section 1 : les étapes de la création du business plan 24 1-l’idée 24 2-projet personnel 25 3-l’étude de marché 27 4-les prévisions financières 31 5-trouver des financements 34 6-les aides 38 7-choisir un statut juridique 40 8-les formalités de création 43 9-installer l’entreprise 47 10-les premières mois d’activité 47 Chapitre 3 : business plan : exemple ; étude et analyse 49 Section 1 : exemple d’un business plan 49 Conclusion général -------------------------------------------------

GRANDE DIVERSITÉ DES MÉTIERS UNE ENTREPRISE MOBILISÉE SUR SES ENJEUX Les réponses aux défis du développement durable constituent des tendances de long terme qui influent fortement sur les activités du Groupe, façonnent les futurs enjeux de nos marchés et déterminent les opportunités de croissance de nos marques. L’approfondissement de la stratégie environnementale de LVMH a permis de mieux comprendre en interne cette réalité et de mieux partager en externe les exigences et contraintes de nos

épreuves d’admissibilité : Elles comprennent : 1 – La rédaction d’un rapport technique portant sur la spécialité au titre de laquelle le candidat concourt. Ce rapport est assorti de propositions opérationnelles (durée : 3 heures ; coefficient 1). 2 – Une étude de cas portant sur la spécialité au titre de laquelle le candidat concourt (durée : 4 heures ; coefficient 1). ● L’épreuve d’admission : L’épreuve d’admission consiste en un entretien ayant pour point de départ un exposé du candidat sur les acquis

des pays du Sud connaissent aussi ces excès. 300 millions de personnes seraient concernées dans le monde. 2. Croissance de la consommation et de la demande alimentaire. Les principales composantes de l’accroissement de la demande sont connues : ETUDE DES DOC. 6, 7 et 8 p 50. Questions 7,8 et 9 p 51. Observation des documents 10 et 11 La « transition alimentaire » ou « transition nutritionnelle » Elle se caractérise par l’augmentation de la part de viande dans l’alimentation au détriment de

1.2.2. 1.2.3. 1.3. Politiques ou géopolitique agricole ?  1.3.1. 1.3.2. 1.3.3.   Conclusion et mise en débat  ‐ Un milliard trois cent cinquante millions d’agriculteurs  ‐ Les  échanges  internationaux  de  denrées  agricoles :  un  marché  de  plus  600  milliards de dollars par année  ‐ Le développement des échanges et ses conséquences sur les activités agricoles  ‐ Du champ à l’assiette : les révélations de l’indice « food‐miles »  ‐ Tensions récentes sur les matières premières agricoles : changement structurel 

et contrôle de la qualité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 4. Rendement économique et marchés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 4.1 Coûts de production . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 4.2 Rendements et revenus possibles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 4.3 Mise en marché . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 5. Principales caractéristiques

Impact sols Impact air Impact énergieImpact biodiversité Impact eau Pression parasitaire Modification du système Maturité technique BILAN TECHNIQUE ET ENVIRONNEMENTAL Potentiel national * L’ensemble des actions considérées dans cette étude est : - bâtiments avicoles : échangeurs, aérothermes et radiants, isolation ; - serres chauffées : écrans thermiques, ballon d’eau chaude ; - tracteurs : banc d’essai, écoconduite.CONSOMMATION ÉNERGÉTIQUE www.ademe.fr 3/14 ÉTAT DES LIEUX EN FRANCE