Europe de la liberté et de la démocratie directe

la constitution. Le contrôle juridictionnel: Au lieu d'appartenir a une instance politique (chef de l'état), la garde de la constitution peut être confié donc a une instance juridictionnelle. Cette conception l'a emporté en Europe même si dans la plupart des pays le contrôle juridictionnel ne s'étend pas a l'ensemble des actes juridiques. S'agissant du contrôle de la constitutionnalité des lois et bien 3 modèles existes. 1er modèle: celui qui confie cet examen aux tribunaux

« La démocratie libérale : une pratique politique réelle dans les sociétés qui l’on dûment adoptées » Prof. Dr. Niemba Souga Jacob (Expert en Science de l’Etat, en Pouvoir Politique Bonne gouvernance et en économie publique) La démocratie que d’aucuns souvent disent, en termes spéculatif, un idéal impossible à atteindre est une évidence dans les démocraties libérales. Cependant, le concept peut revêtir plusieurs significations selon la spécialisation du départ de celui qui l’analyse. Néanmoins

justice. Il apparaît alors comme le fondateur du constitutionnalisme des lumières, et son influence va être prépondérante sur les constituants US et français de la fin du 18e siècle. Par la suite, cette théorie va être reprise pour juger le degré de liberté d'un pays et la nature de son régime : régime parlementaire : collaboration et séparation souple des pouvoirs régime présidentiel : séparation stricte des pouvoirs régime autoritaire : absence de séparation des pouvoirs => Conception idéologique

L’exigence de notre temps aujourd’hui sur le plan des institutions politiques, c’est la généralisation de la démocratie comme mode d’organisation politique. A coté des vieilles nations démocratiques, européennes ou américaines, d’autres pays, sortie de la dictature il y a à peine une trentaine d’années comme l’Espagne, le Portugal ou la Grèce, ont aujourd’hui institué la culture démocratique. La chute du mur de Berlin, l’implosion de l’URSS et la disparition du bloc soviétique ont fait émerger

profite de la coexistence pacifique, puis de la Détente 2) Les volontés d'autonomie en Europe 3) L'Europe, lieu de l'apogée de la Détente. C - L'EUROPE PROGRESSIVEMENT LIBEREE DU POIDS DES RIVALITES EST-OUEST (DEBUT DES ANNEES 1980-1991) 1) Les premiers succès de la dissidence : l'exemple polonais 2) L'Allemagne, à nouveau un symbole (1989-1990) A - LA GUERRE FROIDE SE MET EN PLACE EN EUROPE (1947-1955) L'Europe est le théâtre des débuts de la rivalité Est-ouest, qui la scinde

à disposer d'eux-mêmes ». Cette idée, la Révolution puis et surtout l'Empire napoléonien l'ont propagé partout en Europe par la force des armes. Le terme nationalisme est né à la fin du XIXe siècle durant l’Empire Napoléonien ainsi que durant la Révolution française qui véhiculait l’idée de « droit des peuples à disposer d’eux-mêmes », ces idées l’on propagé presque partout en Europe par la force des armes. Le nationalisme devient alors un mouvement politique naissant, il affirme la primauté de l’intérêt

Retour à l’accueil Marseille, le 17 juin 2005. Imprimer le texte UNE MAUVAISE CONSTITUTION QUI RÉVÈLE UN SECRET CANCER DE NOTRE DÉMOCRATIE Chers collègues et amis, Après six mois de réflexion intense, se cristallise une argumentation autour du "traité constitutionnel", à partir de lui mais au-delà de lui, une argumentation qui n’est ni de droite ni de gauche, et qui montre un danger historique pour nous tous, au-dessus de la politique. Pour ces raisons, cette courte argumentation devrait intéresser

------------------------------------------------- Introduction L’expression « Guerre froide », popularisée dès 1947 par le journaliste américain Walter Lippmann qualifie la confrontation durant un demi-siècle entre deux blocs de pays soudés idéologiquement dont le noyau dur se trouve en Europe : * Le bloc de l’Ouest, libéral et capitaliste, dirigé par les EU. * Le bloc de l’Est, communiste, dirigé par l’URSS. Au lendemain de la guerre, la Grande Alliance contre le Nazisme n’ayant plus de raison d’être, l’antagonisme idéologique

traités, et n’est pour autant pas totalement achevé. La question de l’édifice institutionnel a ainsi été un sujet privilégié de désaccord, de crise et de querelles entre les partisans d’une Europe fédérale, dont les instances supranationales posséderaient un véritable pouvoir de décision ; et les défenseurs d’une Europe des nations, attachés à la souveraineté des Etats et prônant la coopération plutôt que l’intégration. Ce ne fut pas chose facile de concilier ces deux visions, de faire coopérer l’intérêt

ennemis. L’Europe est occupée par les libérateurs. L’armée rouge occupe la moitié Est de l’Europe et ne se retire pas, notamment de l’Allemagne qu’elle souhaite punir. Dès la fin du conflit, l’opposition idéologique entre EU et URSS réapparaît. Démocratie : les élections libres ne se sont pas tenues à l’est : les PC montent au pouvoir Influence croissante des soviétiques. Les 2 blocs se mettent en place lorsque les USA offrent à l’Europe Occidentale l’aide économique du Plan Marshall afin de reconstruire