Évangile selon Luc

c'est-à-dire celui qui naquit en Île-de-France, à Saint Denis dans les années 1140 précisément. Le « Maître de Bourges », l'architecte anonyme de la cathédrale, a octroyé une grande part à l'unité de l'espace et à la lumière. Elle est en effet construite selon un plan très régulier : une longue nef sans transept, donc sans rupture ni de plan ni d'élévation, encadrée d'un double collatéral auquel on accède par 5 portails en façade. Le tracé directeur est un triangle équilatéral : en partant des bascôtés,

d'un notaire et neveu du menuisier du Valdarno, il s'installe très jeune à Florence où, dès 1418, il se fait connaître en tant que peintre. En 1422, il s'inscrit à l'Art des Médecins et Apothicaires et rejoint, l'année suivante la Maîtrise de Saint Luc. A Florence, il fréquente Donatello, Bruneleschi et surtout Masolino da Panicale. C’est à ses côtés que Masaccio réalisera une grande partie des œuvres de Florence et de Rome. Il meurt à Rome, à l'âge de vingt sept ans. Il révolutionnera la peinture

agrandir), qui se déroule devant nos yeux (« qui se déplie ») et dans lequel est enseigné « la bonne nouvelle ». Le « Magnificat », cantique latin chanté à la fin des vêpres, fait partie des Évangiles (Saint Luc), et l'on trouve du reste au vers 8 la préposition « selon » dans un contexte religieux (cf. l'Évangile selon saint… = écrite par). 2) Cette littérature est sacrée, puisqu'elle est « Sainte », mais aussi canonique ou canonisée : le canon, c'est l'ensemble des livres admis comme divinement inspirés

histoire. L’art de la variation empêche l’ennui : les fables doubles, comme « le pâtre et le lion », laissent entrevoir des jeux de parallélismes, de différences et de reprises, c'est-à-dire le travail de l’écriture dans ses subtils changements. Selon ces exigences, l’art de conter place la moralité à la fin du récit, au début ou en son cœur, comme dans « Le corbeau et le renard ». Le pouvoir de persuasion de la fable lui vient également de sa clarté. En effet, le récit bref ne souffre pas

sans autre distinction. Il n’empêche que dans une longue bibliographie, on a parfois du mal à trouver ce que l’on cherche, et c’est pourquoi, en plus d’une bibliographie alphabétique, je propose ici une bibliographie classée en sections thématiques selon la répartition ci-dessous, assumant une certaine subjectivité dans le classement. Manuels d’homilétique et livres généraux sur l’homilétique ………………………………………………………………….. Articles généraux et théologie de la prédication ……………………………………………………………………………………

On peut considérer comme négligeable la supposition prématurée de S. B rigode (L'église de Gerpinnes. Archéologie, dans Etudes d'histoire et d'ar­ chéologie namuroises dédiées à Ferdinand Gourtoy. Namur, 1!Ki2, t. l, pp. 211218, aux pp. 216-218), selon qui la crypte serait le sanctuaire primitif de Ger­ pinnes. 31 Cf. infra, p. 44. 32 l\IERTE."iS, Gerpinnes, p. 59. Argument complémentaire: la typologie du sarcophage monolithe, mais - de l'aveu même de J. :\Iertens (p. 59, n. 26) on retrouve des sacrophages

" La Révélation de la Vérité. La Bible et les Evangiles " de son livre " Mon petit catéchisme"1 M. Jean Guitton s'exprime ainsi : « Allah n'a pas écrit, mais Il a fait écrire ces livres en soufflant aux apôtres et aux prophètes ce qu'il voulait nous faire savoir. On appelle ce souffle l'inspiration. Les livres écrits par les prophètes sont appelés " livres inspirés ". » Tous ces auteurs ont composé leurs écrits en s'exprimant à diverses époques selon les manières des hommes de leur temps, de sorte

Métaphysique. 10. « Le plus étonnant est qu’il y ait des hommes qui ne s’étonnent pas d’être vivant » Schopenhauer. 11. « Un philosophe c’est un homme qui ne s’habitue pas à exister » Gabriel Marcel. 12. « En arche en o logos » Prologue de l’Evangile selon saint Jean. 13. « La pensée n’apprend rien » Qu’appelle-t-on penser ?, Heidegger. 14. « À quoi sert la Lune si c’est pour s’y suicider » André Malraux. 15. « Cherche comme devant trouver et trouve comme devant chercher encore » Saint Augustin, Confessions

considérées. Le lien est encore plus patent lorsque l'on examine le fondement doctrinal faisant référence au dieu étranger et inconnu notamment. Des communautés hérétiques sont apparues en Europe occidentale vers l'an Mil, sous différents noms selon les régions : manichéens, origénistes, piphles, publicains, tisserands, bougres, patarins, albigeois, en Allemagne, en Autriche[8] , en Flandre, en Champagne, en Bourgogne. Le fait que les relevés doctrinaux soient conformes à la base de la doctrine

monothéisme juif Texte des 10 commandements 7p.59 Les Hébreux ont en commun la même religion : le 1er monothéisme de l’Histoire. Le Dieu unique auquel ils croient auraient, selon la Bible, contracté une Alliance avec leur peuple qui est ainsi devenu « le peuple élu ». Cette alliance se manifeste dans les 10 commandements donnés, selon la Bible, par Dieu à Moïse sur le Mont Sinaï. Ces commandements constituent à la fois le texte de base de la religion juive et la base de leurs lois contenues dans la Torah