Évêque

Le jansénisme Courant religieux et doctrinal nommé d'après son initiateur, Jansénius, évêque d'Ypres (mort en 1638). Le jansénisme a conquis aux XVIIe et XVIIIe siècles de vastes régions de France, de Belgique, de Hollande, d'Italie et d'Allemagne et a eu de nombreux partisans célèbres. Il peut grossièrement se définir par les principes suivants : * rigueur morale extrême * doctrine erronée sur la grâce * valeur exclusive accordée à l'écriture, aux Pères de l'Église * mystique

==> Les hommes du Moyen-âge veulent aller au Paradis et éviter l’Enfer. ==> Ils pensent que JC assure le salut de leur âme, c’est à dire : - la vie de leur âme, - auprès de Dieu, - au Paradis, - pour l’éternité. ==> Les clercs (curés, évêques) sont les intermédiaires entre les hommes et Dieu. ==> Ils montrent le comportement qui permet d’accéder au Paradis et d’éviter l’Enfer. ==> Ainsi, l’Eglise guide les consciences Comment ? ==> Chaque citoyen appartient à la chrétienté et

christianisme, qui aura pour conséquence de donner à chaque départements, un évêque pour veiller sur les prêtres qui sont sous sa responsabilité. Du à cette expansion, comme un accord, les évêques, sur le modèle du sénat de Rome, doivent élire un grand évêque qui les relira tous, l'évêque de Rome, père des évêques, plus connus sous le nom de Pape. Il prendra une importance ce qui imposera un système pyramidal, pape, évêques, prêtres. Néanmoins le pape ne dispose pas de tous les pouvoirs. Il y aura

martyre, † 304 à Thébeste (on omet la mémoire) LUNDI Violet. De la Férie 1re lect. : Is 35, 1-10 Ps : 84, 9ab-10.11-12.13-14 Évangile : Lc 5, 17-26 Ou bien blanc : S. Nicolas, évêque de Myre (Asie Mineure), † v. 350 MARDI Blanc 1re lect. : Is 40, 1-11 Ps : 95, 1-2.3 et 10ac.11-12.13 Évangile : Mt 18, 12-24 S. Ambroise, évêque de Milan, docteur de l’Église, † 397 1re Vêpres du suivant MERCREDI Blanc L’IMMACULÉE CONCEPTION DE LA VIERGE MARIE Gloria, credo, préface propre 1re lect. : Gn 3, 9-15.20 Ps

des origines jusque 970, en le présentant comme le continuateur du peuple franc. L’œuvre contient de nombreuses informations sur les relations entre la Germanie et régions situées au-delà de l’Elbe. Chronique de Thietmar au début du XIe siècle : évêque de Mersebourg (1009-1018) qui rédige une chronique couvrant l’histoire de la Germanie de 876 à 1018. Quatre livres d’histoire de Richer entre 991 et 998 : moine à Saint-Rémi de Reims qui continue les annales d’Hincmar. Sa chronique couvre la période

la ronde autour de Loreley -> Joie danse V3-v4 : - Parallélisme des 2 vers -paranomase (=ressemblance) de leur commencement « devant » / « d’avance » -évêque envouté par sa beauté -> femme fatale V5-v6 : - interjection « o » de « o belle loreley » -> paradoxe ; évêque ambiguë, moins accusateur que la normale. -paradoxe : flatter Loreley / accuser autrui - l’évêque voit dans le regard de la loreley : métaphore pierreries => strass (pierres du Rhin) ->

IPPOLITI Mélanie N° étudiant : 2125510 Texte 3 séance 5 : L’immigration italienne en Lorraine au début du vue par l’évêque de Nancy. * Cette lettre est produite par un évêque de France, de lorraine Monseigneur Turinaz évêque de Nancy à destination du cardinal-archevêque italien de Milan Monseigneur Ferrari. Elle est écrite le 1er août 1909. Cette lettre peut impliquer deux hypothèses : d'une part, une volonté transnationale du catholicisme de résoudre les problèmes rencontrés par le milieu

indissociable des transformations politiques. La désintégration de l'ordre public provoque l'accaparement par les laïcs (rois, comtes, seigneurs) des biens ecclésiastiques. Dans l'ensemble de l'Occident, souverains et seigneurs nomment eux-mêmes les évêques ou exercent de fortes pressions pour imposer leur candidat, et certains choix se révèlent scandaleux. D'où le relâchement des moeurs et les deux grands maux du temps : la simonie (trafic et vente des sacrements, des dignités et des objets ecclésiastiques)

publié par Charles de Clerq dans son ouvrage Concilia Gallilae (les Conciles de Gaule). En 541, c’est l’Eglise franque à l’échelle national qui le rédige. Le Concile d’Orleans de 541 réunis sous la présidence du Duc de Bordeaux, 38 évêques, 12 prêtres députés par des évêques absents, et un abbé. Ce concile n’est pas le premier, c’est déjà le 4e à Orleans (511 ;533 ;538). Cet évènement s’inscrit dans un contexte plus large et complexe. La France que nous connaissons est divisé en Royaume Barbare qui entre

chrétienne. Fort de cet appui, le christianisme connait une expansion considérable & l’église décide de se doter d’une organisation qui est calquée sur celle de l’administration impériale. Chaque évêque est en charge d’une cité, un évêque supérieur (métropolitain) se voit reconnaitre la prééminence sur les autres évêques de la province. & enfin, l’évêque de Rome, apparait bientôt comme le chef de toute la hiérarchie & on lui réserve le titre de Pape. En 380, par l’édit de Thessalonique, l’empereur en fait