Exemple D Amdec

ou si elles seront intégrées dans les groupes TPM. Les ressources éventuelles affectées aux groupes doivent être également définies durant la phase de démarrage. De nombreuses questions se posent qui doivent trouver réponse dans le plan directeur. Exemple : dans les entreprises travaillant en 3 × 8, avec des équipes en vendredi-samedi-dimanche ou samedi-dimanche, il faut définir les conditions de fonctionnement, à savoir 1 groupe TPM par équipe ou 1 seul pour les 3 équipes ? Si, dans ces groupes, du

les parfums, l’aspect nutritif, la teneur en vitamines… Pour satisfaire ses différents besoins, le consommateur doit être réceptif à l’information en provenance de son environnement. Dans ce cas, c’est son entourage, ses proches (groupe primaire exemple les enfants pour la mère de famille) qui influenceront le comportement qu’il va adopter et qui éveillera, par conséquent son besoin. ← La recherche d’information  Durant cette phase le consommateur va rechercher des données, des informations

de l’entreprise. En ce sens, chaque projet a des objectifs précis que l’on cherchera à atteindre au moyen de méthodes adaptées. Même si les projets ont une raison d’être commune, il est possible de les distinguer. Ainsi, nous pouvons citer par exemple les projets d’engineering, les projets stratégiques, innovants, et enfin les projets d’amélioration de la performance. Ces derniers, qui s’inspirent pour la plupart du modèle Japonais, sont assez courants dans les usines, parce qu’ils consistent

Etc. Choix du type de maintenance préventive MAINTENANCE PREVENTIVE SYSTEMATIQUE MAINTENANCE PREVENTIVE CONDITIONNELLE / PREVISIONNELLE Inventaire des modes de défaillance (AMDEC) suceptibles d'être observés et recherche des points à vérifier sur le système Inventaire des modes de défaillance (AMDEC) suceptibles d'être observés et recherche des paramètres de suivi en rapport avec la cause de chaque défaillance Regroupement des points à vérifier suivant la périodicité de leur visite

type techniques tels que la production et la maintenance. Il contient des activites relatives a la maitrise de la qualite des produits et la qualite de processus de production au sens large [DEEB S. 2008]. Ces activites peuvent etre mesurees par exemple en utilisant le Balanced Scorecard. Le Balanced Scorecard (ou le tableau de bord prospectif) est un outil de controle de gestion qui ne se limite pas aux indicateurs financiers, il permet ainsi aux organisations de clarifier leurs visions globales

La diachronie introduit donc la dimension de l’histoire qui donne un sens au système en interrogeant par exemple la signification profonde des changements sur une période longue. Concernant les phases de la diachronie, elles sont dites stables. Cela veut dire que le passage d’une phase à une autre est déterminé par certaines conditions. En effet, elles disposent

fonction dans l’entreprise, qui veulent trouver rapidement un résumé ou rappel des points importants par rapport à la tâche qu’elles ont en charge à un instant donné, ou réviser une technique qu’elles ont oubliée. Pour une action particulière, par exemple une commande à un sous-traitant, la personne responsable des approvisionnements n’a pas les mêmes questions au quotidien que celle chargée du contrôle de gestion. La première est responsable de la régularité du flux, des problèmes de traçabilité et

PL : Poids Lourd. PDR : Pièces De Rechange. IS : Inspection de Sécurité IP : Inspection de Pérennité IQ : Inspection de Qualité GMAO : Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur. OT : Ordre de Travail MBF : Maintenance Basée sur la Fiabilité. AMDEC : Analyse des Modes de Défaillance, de leurs Effets et de leurs Criticités. DTE : Dossier Technique d’Equipement TPM : Total Productive Maintenance. UTE : Union Technique de l’Electricité. NF : Norme Française. Introduction générale Introduction

projet informatique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 107 LE © Groupe Eyrolles PHASE 5 – SUIVI DU PORTEFEUILLE DE RISQUES . . . . . . . . . . . . . . . . . 111 Les différents statuts des actions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 113 Exemple d’un projet industriel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 114 Sommaire XI PARTIE 2 APPLICATION DE LA DÉMARCHE AUX DIFFÉRENTES PHASES D’UN PROJET PHASE 0 – ÉTUDE . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .125

avoir des groupes de machines de même taux ou encore à avoir une même répartition des frais administratifs pour tout un service. Cependant, la diversité résultant de la mise en œuvre du JAT amène à remettre en cause cette approche. Prenons par exemple le cas d’un service de planification/lancement. Peut-on considérer que le travail y est le même selon que l’on a 10 ordres de fabrication (OF) de 5 000 unités à gérer pour une période ou un ensemble compliqué de 500 petits OF. Ordonnancer, dans ce