Exemple D Ironie

rigoureuse    Nous avons 5 paragraphes et chacun a une utilité, une finalité et un objectif particulier. On remarque, du point de vue du raisonnement que l'on ne trouve que des exemples argumentatifs, à aucun moment il n'énonce une thèse ; mais elle est sous-entendue dans chaque exemple. b) Les angles d'approche :    Un exemple historique, référence à Rome, le mot "torture" arrive vite dans l'exemple. On évolue vers un cadre juridique, mais on conserve les mots faisant référence à la torture l.6 "grande

pastiche, Voltaire reprend en effet l’argumentation de son adversaire pour son compte, pour mieux en montrer l’erreur et l’absurdité (emploi d’un rendu de justice équitable). Il fait alors appel à l’ironie, dont il sait si habilement la manie. Mais cette ironie ne réside pas que dans le fait de feindre d’employer le discours de l’adversaire en simulant de le valoriser, non puisque l’auteur introduit discrètement des marques de jugement (modalisateurs : « évidemment ;», « la saine doctrine »…) des éléments

Célimène sont une façon pour Molière de critiquer tous ces gens de la Cour qui se croient supérieurs au reste du monde. b) Portraits satiriques On remarque de la satire dans tous ces portraits à travers de nombreuses figures de style. On remarque par exemple : -de nombreuses hyperboles (« de la tête aux pieds », « tout mystère »,  « A force […] il assomeassomme », « je souffre », « mourir », « extrême », « trop d’esprit », « tant il est difficile », « au-dessus de tous les autres gens ») et généralisations

pastiche, Voltaire reprend en effet l’argumentation de son adversaire pour son compte, pour mieux en montrer l’erreur et l’absurdité (emploi d’un rendu de justice équitable). Il fait alors appel à l’ironie, dont il sait si habilement la manie. Mais cette ironie ne réside pas que dans le fait de feindre d’employer le discours de l’adversaire en simulant de le valoriser, non puisque l’auteur introduit discrètement des marques de jugement (modalisateurs : « évidemment ;», « La saine doctrine »…) des éléments

«avait détruit 11, n' • avaient pas trouvé 1.2, avait--convaincu 17 » - L e passé simple (actions de premier plan ) : «on vint lier 1.9» »ils marchèrent 1.18» «la terre trembla 1.24-•• » - L ' imparfait pour les éléments descriptifs ,des vêtements par exemple « les diables de Pangloss portaient griffes et queues 1.18 » -On note la présence de nombreuses tournures passives qui montrent que Candide et Pangloss subissent les événements. « furent menés 1.12, » , «furent— revêtus 1.14 », «fut fessé 1.20 »

Dans le chapitre 3 de l'œuvre « Candide », écrit par Voltaire nous pouvons voir une certaine critique de la guerre, amplifiée par les thermes ironiques du texte. Ces marques d'ironie sont présentes dans le premier paragraphe du texte, comme par exemple dans la phrase: « rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées », ici Voltaire emploie un ton ironique et moqueur dès la première phrase du texte, ce qui plonge tout de suite le lecteur dans l'idée qu'à Voltaire

couleur noire, la précision du nez écrasé, des cheveux… Il leur refuse le statut d’homme, car « ils n’ont pas d’âme ». L’exemple des Egyptiens contre le racisme, l’exclusion. Pour cet exemple il fait un raisonnement par analogie. Pour prouver que les esclaves ne sont pas des hommes il s’appuie donc sur plusieurs exemples. Il lui donne l’absence de raison par l’exemple du « collier de verre ». Dans le dernier paragraphe c’est un argument politique qu’il va définir. II. Un réquisitoire ironique contre

raisonnement par l'absurde. Analogie qui veut décrédibiliser ; définition ancreuse. b) Descrition de phénomènes fanatiques Description : l.2-3 ; l.15 ; Attitudes fanatiques (l.19-20) : "convulsionnaires". Le narrateur cherche à montrer par ces exemples que le fanatisme est une folie. 2. La présence de l'auteur qui manifeste sa subjectivité 1ère personne : Le narrateur se fait témoin : "j'ai vu" (l.19) Vocabulaire : péjoratif, dépréciatif Exagération (l.6-7) : "le plus abominable" Accumulation

lecteurs. Nous souhaitons étudier le point de vue de l’écrivain par rapport à la guerre. Tout d’abord, Voltaire emploi régulièrement l’ironie dans ses textes, par exemple dans celui-ci pour montrer l’incompréhension et l’absurdité de la guerre, il compare le canon à un instrument de musique dans les premières lignes. Il prétend avec ironie que les instruments de musique : «  Formaient une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. » ligne 3. Voltaire utilise le champ lexical de la mort tel

petite bourgeoisie. Flaubert fait une déscription glauque des vêtements des paysans, par exemple en comparant deux bouttons rapprochés à une paire d'yeux. Ou encore en décrivant les pans des habits-vestes comme coupés par la hâche d'un charpentier, ce qui donne une impression d'éxtrême laideur, et de mauvais qualitée. La vision que jette Flaubert sur cette univers est burlesque, il y a une forte ironie a travers cette description vêstimentaire. Voila et la je suis bloquée puisque je ne