Exemple D Ironie

un mouvement, ce qui n’est pas le cas de Lorenzaccio qui met en scène plus des tableaux que des scènes. * Drame romantique en contradiction totale avec le classicisme du 18ème. * Aspect satirique, langage un peu cru, références au duc par exemple. * Comme si la vie était un gigantesque carnaval et Musset en est conscient * Thème du libertinage est omniprésent, il y a bcp d’allusion sexuel chez le Duc et Lorenzo joue ce rôle afin de se rapprocher le plus possible du Duc * Florence

pendule En rit dans le salon voisin, Et le timbre d’argent module Deux coups vibrant comme un tocsin. Le cadran solaire me raille En m’indiquant, de son long doigt, Le chemin que sur la muraille A fait son ombre qui s’accroît. Le clocher avec ironie Dit le vrai chiffre et le beffroi, Reprenant la note finie, A l’air de se moquer de moi. Tiens ! la petite bête est morte. Je n’ai pas mis hier encor, Tant ma rêverie était forte, Au trou de rubis la clef d’or ! Et je ne vois plus, dans sa

libre dissertation faite d’un assemblage detopoi regroupés autour d’un thème dans un but d’édification morale. C’est la thèse célèbre et incontestée de Villey. Il est certain que Montaigne a puisé dans les recueils de Diverses leçons, de sentences et exemples qui fourmillent à son époque1. 2Paul Porteau a montré ce que l’essai devait également à un exercice scolaire abondamment pratiqué dans les collèges du XVIe siècle, la Disputatio – joute oratoire sur un thème choisi par le maître – au cours de laquelle

du discours (il s'agit d'analyser par quels procédés rhétoriques le discours tente de persuader les fidèles : l'étude se limite aux passages au discours direct) On ne vise pas l'exhaustivité, tant les procédés oratoires sont nombreux. On peut, par exemple, relever : – les adresses directes aux fidèles : « vous » et « vos » répétés très fréquemment (rythme insistant + implication forte de l'interlocuteur) – apostrophe directe « mes frères » (l.35 et 56) + passage du « vous » au « nous » (l.55 + « nos

faites rapidement la carte d’identité de chaque texte. • Genre • Auteur • Date • (Registre = ton – comique, tragique, satirique, didactique, polémique, pathétique, lyrique, épique...) • Thème(s)... Vous verrez ainsi apparaître des points communs (par exemple, votre premier devoir ne comprend que des extraits de romans, tous à peu près sur le même thème : un héros en pleine bataille) et des différences (des champs de bataille de nature différente, des héros aux visages divers). Relisez votre question,

connotations attachées à certains mots, à certaines sonorités les antiphrases portent sur ce qui est dit un jugement dont d'autres indices signalent la fausseté (ironie). Les registres : La volonté de convaincre s'accompagne d'un effort de mobilisation de la raison. Avec les armes claires des arguments logiques et des exemples référentiels, l'auteur entreprend de gagner le lecteur à sa cause avec son assentiment réfléchi. Le registre didactique (du latin discere, apprendre) se caractérise

absence de liens logiques entre ces paragraphes et dans le sens. A noter aussi un ton de l'auteur bien trop sur de lui, comme on peut le voir par exemple dans « il est impossible » paragraphe 4 ou encore « il est si naturel » paragraphe 6. Il y a également effet trop d'exagérations ainsi que trop d'arguments qui ne tiennent pas debout comme par exemple dans le paragraphe 3 ou l'auteur qui dit : « Ceux dont il s'agit sont noirs depuis les pieds jusqu'à la tête ; et ils ont le nez si écrasé qu'il

de plus FJ a une panoplie. («grand habit» ; «bâton de croix» ; «beau sarrau» ; «froc en écharpe»). Il a donc effectivement, toutes les caractéristiques exceptionnelles pour être un héros. Il se bat au nom de Dieu (force qui lui vient de Dieu). Exemple de héros : Homère, L’Iliade : le portait d’Achille. Achille est un héros (fils de Thétis et Pélée) La chanson de Roland,laisse 104 et 117. Roland est un héros (guerre, panolie, force, exagération pour impressioné

Zeit logique pour démontrer  ; des fois simple description, récit... gegen censure ou pour divertir EXEMPLES  : Marivaux («  île des esclaves  »)=> rire Hugo («  misérables  »)=> indignation Hugo(«  la nuit du 4  ») => événement pers 2-forme narratives de argumentation implicite => PERSUADER *certaines formes narratives sont portés d'argumentation implicite EXEMPLES  : -les fables de La fontaine -«  Châtiment  » de Hugo ) dénonce l'empereur Bonaparte. -Le conte philosophique

[pic]INTRODUCTION : XVIIème, XVIIIème = Siècles de contestation de l'autorité, particulièrement celle des philosophes et des savants " officiels ". Les nouveaux penseurs vont souvent se livrer à une critique (par le ridicule) de ceux-ci (on le voit par exemple chez Voltaire dans l'article " beau "). L'idée de base est : faut-il réintroduire le bon sens ? Fontenelle analyse dans " l'histoire les oracles " le problème de la réflexion scientifique qui pourrait se formuler sous forme : "Comment puis-je arriver