Exemple De Diérèse

versification : vocabulaire et règles > Les formes poétiques au collège > Le vocabulaire du théâtre : entre texte et spectacle > Le théâtre classique > Les tonalités : un texte dit et joué > Thème, thèse, arguments et exemple > Argumentation directe et indirecte > Convaincre, persuader et délibérer Collège Denis Diderot – Mme VALLIER Mes Fiches de révision - 3ème [LECTURE] récit La situation d'énonciation L’énonciation, qui désigne l’action de produire

mesure des versPour mesurer un vers, il faut compter les syllabes prononcées (ou mètre) : Exemple : C'était l'heure tranquille où les lions vont boire. (Victor Hugo) C'é | tait | l'heu | re | tran | qui | lle où | les | li | ons | vont | boire. | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | Cependant, il faut tenir compte de trois particularités : 1)- la régle du «e» muet, 2)- La synérèse, 3)- la diérèse.  1.1. La règle du - e - muetÀ l'intérieur d'un vers, on compte la syllabe qui se termine

fauve affamé mais comme un monarque qui aurait besoin de la compassion de ses sujets. Le criminel a un double langage et tente de rassurer ses futures victimes en les manipulant par le recours à un lexique valorisant et des superlatifs trompeurs. Par exemple, il emploie un euphémisme en mettant les mots « dent » et « griffe » au singulier dans le but d’atténuer les attributs de sa violence. De plus, le lieu du crime est présenté sous la forme d’une paronomase. En effet l’«antre » qui désigne la grotte

évocation des sentiments est traditionnelle dans la poèsie et on peut en trouver des exemples des le xvi siecle avec par exemple les Sonnet a Hélene de Ronsard qui sont une invitation à l'amour . Mais l'amour n'est pas le seule thème possible de la poèsie lyrique. Le lecteur trouvera aussi les thèmes de la nature , de la fuite du temps ou de la mort , qui offrent la possibilité d'une méditation , comme par exemple dans "Soleils couchant " de Victor Hugo ou HUGO réflechit à la finitude de l'homme

peut s'apparenter à de l'ironie renforcée par les 1er mots « à la fin » : étonnant pour le premier c'est du poème; Ce 1er vers ancre d'emblée le poème dans la modernité  le poète ouvre son poème sur la lassitude du monde ancien mit en valeur par la diérèse, reprend en apparence une forme poétique ancienne  - « les tramways feux verts sur l'échine musiquent au long des portées de rails leur folie de mâachine», La Chanson du Mal-Aimé -> Le néologisme « musiquent » transformé ici le symbole de progrès

Introduction Extrait du livre III "La famille est restaurée". Un exemple d'utilisation de l'ironie pour exercer la satire contre Napoléon. Rappel de ce qu'est une fable : petit récit en prose ou en vers destiné à illustrer un précepte (cf. La Fontaine). Construction du poème : trois temps : les circonstances ; la narration des faits ; la conclusion de l'histoire (la morale). Axes de lecture : - une histoire et une fable - la dénonciation morale - la dénonciation politique I) Une histoire

augmenter l'horreur qu'elle doit susciter) à rapprocher des adjectifs v 37 « indigne » et 40 «  vil ». Racine marque ainsi la culpabilité de Phèdre (amour charnel qu'on ne peut concevoir pour son « fils » par alliance) en accentuant cet aspect par la diérèse sur « O/DI/EUX » ╚►figure de style ? Oxymore = alliance de mots contraires qui exprime les sentiments contradictoires de Phèdre éprouvant de la honte pour ce crime d 'amour incestueux ╚► A quel sentiment s'oppose cet amour ? Haine ╚►Relevez les termes

les 2 premiers et le dernier à des éléments sémantiquement rapprochés dans la poésie classique: oserions-nous dire que le rapprochement entre la beauté et le regard est un lieu commun éculé? Le jeu sur les mesures continue au v. 3: 1/5//3/3 avec diérèse sur bien(fait); v. 4: 3/3//4/2. ¨ le quatrain 2 se veut plus reposé, plus alangui: v. 5: 3/3//3/3; v. 6: 3/3//3/3; v. 7: 3/3//3/3; v. 8: 2/4//3/3, avec suppression de la césure par amïssement du e muet. Le jeu des e muets est aussi travaillé

[jœ], [jε]… se prononcent en une seule syllabe (synérèse -ion-, -ier-…) ou en deux syllabes (diérèse -i-on-, -i-er- …). • La césure est la coupe principale du vers. Elle n’est ni fixe ni obligatoire dans les octosyllabes. En revanche, elle est obligatoire pour les décasyllabes (4//6 ou 6//4) et pour les alexandrins (6//6, dite césure à l’hémistiche). • Les coupes sont des rythmes secondaires, par exemple dans ces vers d’Éluard : « Dieux d’argent /qui tenaient //des saphirs /dans leurs mains » 3/3//3/3 :

protocole de la hiérarchie sociale. D'abord, « Le Prince aux cris s'abandonna » (v.12), puis « On entendit à son exemple / Rugir en leurs patois Messieurs les Courtisans » (vers 15 et 16). On remarque dans ces vers la présence du registre pathétique installé par le champ lexical de la souffrance : « consolation »(v.4), « affliction » (v.5) – on note que ces noms sont mis en valeur par les diérèses ainsi que par leur place à la rime. Et la morale arrive : « Je définis la cour... ». On croirait une histoire