Expectoration

("atropiniques") N’agit donc que sur le parasympathiqueDr CAILLOCE – SAMU 87 IADE 2010 36 / 37 Parasympatholytiques : atropiniques: Atropine •Œil : mydriatique, •Poumon: bonchodilatation dans l’ asthme, BPCO (risque de difficulté expectoration) •Prémédication anesthésique (spasme, sécrétions bronchiques) •Cœur: prévention de la syncope vagale, (pour avoir un effet il faut des doses > à 0,5 mg) •Intestin: antispasmodique •Uretères: coliques néphrétiques •antinaupathiqueDr CAILLOCE

Fréquence respiratoire : environ 15/min il respire souvent par la bouche Saturation en oxygène : 98% Balancement thoraco abdominal : NON Battement des ailes du nez : aucun Bruits respiratoires : aucun Expectorations (caractéristiques) : Evaluation neuromusculaire du jour : Monsieur D est asthénique aujourd’hui, après la toilette (dont il a participé un peu) il a préféré rester au lit car il se sentait faible. Etat de conscience : lucide (mais

pneumopathies aiguës. Ne nécessitant qu’un simple échantillon urinaire, elles permettent un diagnostic rapide des pneumopathies aiguës provoquées par Streptococcus pneumoniae et Legionella pneumophila. ECBC : Examen cytobactériologique des crachats (ou expectorations). Examen direct suivi d'une mise en culture du crachat pour rechercher des germes anormaux ou des parasites. Kiné respiratoire ECBU : examen cytobactériologique des urines permettant d'affirmer le diagnostic d'infection urinaire. - Paramètres

de la mucoviscidose varient d’un patient à un autre, soit dans la sévérité et dans la progression de leurs manifestations, soit dans leur mode d’apparition. Les plus courants sont : une respiration rapide et sifflante, une toux chronique, une expectoration difficile de transit (les substances libérées par les poumons au cours des efforts de la toux), des selles grasses, une croissance et une prise de poids insuffisantes et divers problèmes digestifs ainsi que des problèmes de foie. 2) Méthode au

des difficultés à respirer, des essoufflements anormales et des toux chroniques, qui sont les premiers symptômes du cancer du poumon. Diagnostique Il existe plusieurs tests pour diagnostiquer le cancer du poumon, comme l’analyse des expectorations, qui consiste à prélever les sécrétions que l’on crache puis à les soumettre à un dépistage de cellules cancéreuse ou la biopsie par aspiration, qui, elle, consiste à incérer une mince aiguille dans la poitrine qui prélèvera un petit échantillon

d’embolie ou de phlébite. Cela implique d’éduquer le patient en regard de ces risques.  Les complications pulmonaires.  Risque d’encombrement ou pneumopathie.  Surveillance de la température.  Surveillance de la toux.  Surveillance des expectorations (crachats).  Surveillance de la fréquence respiratoire.  Faire des aérosols.  Faire des clapping (fait par le kiné).  Les complications urinaires. Le fait d’être couché, l’urine stagne (stase) dans la vessie et peut provoquer une infection

revaloriser, stimuler réintroduire la notion de plaisir. * Hygiène. * Surveillance de l'alimentation. * Élimination : constipation, incontinence. * Prévention de l'infection bronchique : position demi-assise, toux, température, expectoration. * Cardio-vasculaire : bande de contention, levé précoce et progressif. * Escarre : varié les positions, matelas spécifique, massage. Amnésie : troubles de la mémoire On distingue plusieurs types de mémoire qui fonctionnent selon des

en cause aux antibiotiques usuels par un antibiogramme. Suivre l’évolution d’une infection. 1/ Les prélèvements directs . Les selles : coproculture – recherche bactériologique . Les urines : recherche d’un foyer infectieux . Crachats – expectorations (ECBC) : Déterminer la cause d’une infection urinaire 2/ Prélèvements instrumentaux . La ponction lombaire : examen réalisé pour recueillir et analyser le liquide céphalo-rachidien sécrété dans les ventricules cérébraux et qui entoure le

kinésithérapie respiratoire, aspiration bronchique et pose de sonde nasogastrique chez un nourrisson atteint de bronchiolite ; masque FFP 1 : en cas de tuberculose bacillifère ; masque FFP 2 : en cas de tuberculose multirésistante, lors d'une expectoration induite, de syndrome respiratoire aigu sévère, de grippe aviaire. Vaccinations Dans ses recommandations, la HAS précise qu'il est nécessaire d'être à jour en termes de vaccinations.  Accidents d'exposition au sang (AES) Prévention des AES :

de : - la quantité de produits toxiques émis - la toxicité potentielle des produits émis Inhalation de fumées Fumées = Suies + Gaz + Vapeurs Le signe fondamental est la présence de suies dans les voies aériennes supérieures (nez, bouche, expectorations). Valeur prédictive négative de la présence de suies vis-à-vis d’une intoxication par inhalation de fumées d’incendie = 100% Toxicité des fumées L’absence de suies est donc synonyme d’absence d’intoxication par les fumées Mécanismes de toxicité