Experience Esthétique

DIRECTION GÉNÉRALE DE L’ENSEIGNEMENT SCOLAIRE ____________ Service des enseignements et des formations ____________ Sous-direction des formations professionnelles Arrêté du 22 avril 2008 définissant le certificat d’aptitude professionnelle Esthétique Cosmétique Parfumerie et fixant ses conditions de délivrance NOR/MEN E 0810296 A Bureau de la réglementation des diplômes professionnels DGESCO A2-2 LE MINISTRE DE L'ÉDUCATION NATIONALE, VU le code de l’éducation et notamment ses articles

(Nietzsche lecteur de Rousseau), de même que les réinterprétations ou les relectures (Racine ou Giraudoux lecteur des mêmes tragédies antiques). c. On peut donc affirmer le lien entre la lecture et l’écriture, entre le goût des œuvres esthétiques et l’acte esthétique, lors même qu’il est refus ou rébellion : on apprend plus à peindre dans les musées que devant le motif, on apprend plus à écrire dans les livres que dans la vie. Un exemple possible est le genre autobiographique lui-même, de Montaigne

simple reconnaissance de la signification de cette interprétation. On ne considère plus qu’il ya une seule interprétation : il n’est donc pas seulement question de donner un sens à un tableau. Il convient de penser l’intervention de cette pratique esthétique dans l’espace public. Lorsqu’une médiation se met en place on doit voir l’impact qu’elle a sur la population. En effet dans l’espace public nous n’avons pas affaire à des personnalités mais à des idées des points de vue, des orientations politiques

terme : elle l'informe sur le réel (« faire l'expérience » ) et le forme au réel ( « avoir de l'expérience » ). L'expérience possède une valeur scientifique, que l'on nomme expérimentation. L'expérimentation est définie comme « l'art d'obtenir des expériences rigoureuses et bien déterminées ». La démarche expérimentale est un rapport permanent entre l'observation et le questionnement au moyen de protocoles soigneusement élaborés. Claude Bernard en a donné un exemple avec la découverte de la fonction

vie de marginal, lui impose une tutelle financière. Pour vivre, il devient journaliste, critique littéraire et artistique pendant 15 ans. Cette épreuve sera aussi une expérience formatrice pour le créateur. Confronté aux œuvres de grands génies du siècle (Hugo, Delacroix, Manet, Wagner), Baudelaire forge ainsi sa propre esthétique dont le mot de « modernité » sera le symbole. Le « poète maudit » En juin 1857, les poèmes de ses Fleurs du mal , entrepris depuis longtemps sont jugé « immoral » le livre

configuration de penser. Cette critique amène un tournant dans l’histoire de l’esthétique, qui apparait de manière soudaine et définitive (on ne revient plus en deçà de Kant) SOUDAIN : si on essaye (comme Dumouchel) de montrer comment Kant construit son esthétique, mais il n’y a pas de précurseur à Kant. Rien n’annonce ce nouveau paradigme, même si le modèle classique commence à s’épuiser (avec Descartes et d’autres). DEFINITIF : car avec la parution de la 3eme critique, pour la 1er fois depuis les grecs

création spatiale et éphémère. L’artiste de l’art urbain a introduit le quotidien comme un point de départ dans sa réflexion. Il réalise ses œuvres en se questionnant, sans cesse, d’où vient le plaisir dans le quotidien et comment peut il devenir esthétique ? Désormais, les plasticiens questionnent  la ville, la rue, le bâtiment et l’architecture où exposent-ils leurs œuvres. Le souci initial pour les artistes de l’art in-situ est la recherche des nouveaux espaces  pour leur création spatiale

d'emblée les marques d'une esthétique nouvelle, «!moderne!», où la beauté, le sublime (que désigne le terme de «!fleur!») peuvent, grâce au langage poétique, surgir des réalités triviales de la nature et de la chair (le «!mal!»). Avec cette matière en guise d'inspiration, alliée à un travail méticuleux sur le langage poétique (utilisation de formes traditionnelles comme le sonnet, et de vers classiques, comme l'alexandrin), Baudelaire révolutionnait l'univers esthétique en prenant non seulement le

individualisme et constitue un aspect de la question de l'unité de sa philosophie morale et de sa théorie économique1. Mais il soulève également une question analogue quant au rapport entre sa philosophie morale et sa théorie esthétique telle qu'elle est formulée dans les Essais esthétiques et en particulier dans l'opuscule « De la nature de l'imitation dans les arts qu'on appelle imitatifs » (rédigé probablement en 1777)2. La sympathie peut-être définie comme « notre affinité (fellow-feeling) avec toute

est donc de contester cette harmonie de l'ordre divin, mais par le truchement d'un personnage ridicule et vain. D'où une difficulté pour en déduire une quelconque position de La Fontaine vis-à-vis de la religion. On se trouve en fait devant une esthétique ironique qui se dissimulerait derrière un retour à la simplicité de la croyance. Une mise en question de l'univers L'attitude de Garo implique dès le départ qu'il ne se satisfait pas de l'ordre de l'univers et il le remet en question ; mais