Explication De Texte Spinoza Ethique

Autonome du Pays Basque Table des maTières introduction : Que signifie « être citoyen du monde » ? ............................................. PREMIèRE PARtIE QuesTions méThodologiQues relaTives à l’enseignemenT bilingue en philosophie eT éThiQue Chapitre 1 : définition et implications ......................................................................... 1. Qu’est-ce qu’un enseignement bilingue ? ................................................................ 2. Critères pour l’alternance

Leibniz (pour établir les principes d’une science juridique, cela suppose l’usage des démonstrations) : Herman Conring (spécialité au droit). Introduction : capter le lecteur Plan : question centrale et directrice du texte Thèse : réponse originale ou spécifique du texte. Enjeux : questionner les conséquences (théories et pratiques) d’une thèse. Annonce du plan. 2.1 L’ordre des raisons (Descartes) Démonstration ? Mise en ordre des raisons c'est-à-dire des arguments (des propositions)

on-til tous la meme intensité? - Differences entre desirs qui appelent au besoin et desirs "artificiel" (passionelle?) ? Et là plus importante => M'avez vous compris? 3Polo30/12/2008 à 22:37 Etienne78 a écrit : Je vais pour cela, m'appuyer sur un texte (malheureusement je ne me souvien ni du titre, ni de l'auteur!) qui parlait lui, de liberté. Dans son livre, il decrit une personne voulant savoir s'il était possible de commetre l' "acte libre" un acte qui n'est guidé par rien et donc, (c'est là où

arguments en faveur de l’existence de Dieu 12 a. L’argument d’autorité 12 b. Pas de création sans créateur 12 c. L’ordre du monde 12 d. La preuve par le désir 13 e. L’argument ontologique 13 3. La foi et la raison (Spinoza) 16 4. Les limites de la raison (Pascal, Kant) 17 5. Vivre et connaître (positivisme, Russell, Freud) 20 B. Le problème du mal 22 1. Le mal n’existe pas 23 a. Le mal n’existe pas 23 b. Le mal est la condition du bien

de l’homme • Le droit naturel des anciens Il y a une opposition entre : • droit naturel = nature -> en observant les changements au sein de la nature, on formule un droit naturel éternel pour se libérer du mythe et la religion comme explication du monde, c’est notre réalité à l’image de l’homme (AUREL, CICERON) • Droit positif = convention sociale située Exemple de cette opposition : Antigone = il veut enterrer dignement son frère (droit positif = tout corps a droit à sépulture) mais

évidence donné a la conscience et sur le fait de la moral, nous essayons de construire des éthiques, rapidement la distinction entre moral et éthique est très dure . Ethique d’éthos = les mœurs. Moral = morales = les mœurs aussi. L’étymologie ne peut rien apporter. Sur les pratiques philosophiques peut être une différence, des titres d’ouvrage philosophique comme l’éthique a nicomaque ou l’éthique de spinoza, fondement des mœurs chez Kant, des lors que qqchose s’impose a la conscience, qqchose qui

sans une raison qui explique pourquoi il est plutôt qu’il n’est pas, et pourquoi il est ainsi plutôt qu’autrement. Leibniz ne nie pas que le mal existe. Il affirme toutefois que tous les maux ne peuvent pas être moindres : ces maux trouvent leur explication et leur justification dans l’ensemble, dans l’harmonie du tableau de l’univers. « Les défauts apparents du monde entier, ces taches d’un soleil dont le nôtre n’est qu’un rayon, relèvent sa beauté bien loin de la diminuer ». (Théodicée, 1710 - parution

mais si ce que disent les humains est rationnel ; ce n’est plus « qu’est-ce que la raison ? mais « qu’est-ce que avoir raison » ? 2) La raison dogmatique L’expression désigne le « rationalisme » des philosophes du 17è siècles, comme Descartes, Spinoza ou Leibniz. Pour ces philosophes déjà « modernes », la raison n’est certes plus la « réalité » ou la « nature », mais bien d’abord la faculté humaine de connaître la réalité. Descartes affirme au tout début du Discours de la Méthode : « Le bon sens

Si juger signifie distinguer, il est question dans ce texte de jugement, et le vice et la vertu sont évidemment des catégories morales. Le jugement moral est en effet le thème dont il est question dans le texte, puisqu’il s’agit de réfléchir sur ce qui permet de distinguer ces catégories éthiques que sont le vice et la vertu. Thèse : le jugement moral ne repose que sur une " impression " La réponse de l’auteur, et donc la thèse du texte, est que ceux-ci sont des perceptions de l’esprit : le

fournissent des modèles de comportement, institués par un héros primordial en un temps primordial, que les fidèles respectent et imitent dans leur existence quotidienne. - l’ensemble des mythes d’une religion (Mythologie) formait un système clos : explication du monde, de l’homme, de son rôle dans le monde et de son devenir après la mort .La fonction et le sens (direction/ signification) de la vie humaine étaient parfaitement circonscrits. A l’opposé de ceci, notre monde est ouvert, ce qui a des avantages