Expliquer Le Passage Souligner Keynes

ans avant J.C, c'est le passage de l'économie “cueillette” à l'économie de la “production” à travers l'invention de l'agriculture par le développement très progressif du travail grâce à des outils comme les métaux ou la pierre taillée ou encore grâce à l'artisanat (textile, poterie...). Mais aussi grâce à l'apparition de village puis de ville. Les historiens considèrent qu'une civilisation rentre dans l'histoire et sort de la pré-histoire lorsqu'il invente l'écriture (Passage à l'ère Glaciaire à l'ère

convergence vers un état de croissance inexistante. Effectivement, les études menées dès les années 60 montrent que les facteurs de production n'expliquent qu' environ la moitié de la croissance. Aussi, pour Solow est - il possible de reculer le passage à l'état stationnaire décrit par Ricardo grâce à ce qu'il nomme le 3eme facteur de la croissance ou facteur résiduel, le progrès technique définit comme l'ensemble des éléments qui permettent d'améliorer les méthodes de production et d'accroître la

s’impose. « La civilisation bourgeoise s’apprête à dominer le monde » (p. 51). Elle le fera notamment par le biais des assemblées, parlements ou états généraux, qui tous tenteront d’endiguer les exigences financières des États, inventant au passage la démocratie représentative. En Angleterre, la Magna Carta dès 1214, puis la révolution de 1688 et la Declaration of Bills imposent l’assentiment du parlement pour la levée de nouveaux impôts. Cette mise sous tutelle des finances du royaume

croissance économique et d’améliorer le niveau de vie de la population d’une société donnée. Quand on parle d’améliorer le niveau de vie, cela concerne toutes les couches de la population et en particulier les plus démunis. Ce point mérite d’être souligné vu l’opinion répandue selon laquelle le libéralisme est une idéologie au service de la classe des nantis. Le contraire est vrai en général: les défenseurs du libéralisme adoptent cette position parce qu’ils pensent qu’il est le système le plus à

structurelle du chômage. ») - Le lien entre emploi, travail et intégration sociale - Distinguer le chômage volontaire du chômage involontaire  - différencier politiques structurelles et politiques conjoncturelles - Expliquer « l’équilibre de sous emploi » Savoir faire : tracer et expliquer la courbe du chômage et de la rigidité du taux de salaire selon le modèle néo classique Pre-requis de terminale : chômage, productivité, demande globale, politique monétaire, politique budgétaire, rationnement

filet de protection. De plus ce système vise à réduire les inégalités mais aussi à stimuler la croissance en dynamisant la demande. Selon John Maynard Keynes les impôts incitent à travailler davantage et a être plus productif pour gagner un revenu équivalent a celui que serait son revenu sans impôts. Donc sa Théorie Générale, il évoque que cela stimule la demande et donc la croissance. Une répartition

surproduction. Il y a seulement des déséquilibres passagers, des ajustements qui seront corrigés par le jeu naturel des prix. Il considère ainsi qu’une création monétaire (l’augmentation du volume de monnaie en circulation) supérieure au strict nécessaire pour permettre les échanges de biens et services ne dope pas l’économie. Bien au contraire, elle n’engendre que de l’inflation. Parmi les conséquences qui découlent de cette analyse, Say souligne en particulier que, « dans tout État, plus les producteurs

connaissances 2. Cmt expliquer les fluctuat°s de l’activité éco ? => CT. Comment la politique budgétaire peut contribuer à résorber ces fluctuat°s ? 3. Chômage ? I) A quoi s’intéressent les macro-économistes ? A) La distinct° micro / macro-éco : Récente. La théorie générale de Keynes => base de cette distinct°. Il fonde l’analyse macro-éco, mais n’invente pas le terme. Frisch a inventé le terme. Pour la 1ère fois, on résonne sur des agrégats => Keynes se demande ce qui détermine

OST 27 Mars 2015 Emilie BTS 2 Economie Notariat Note Observations Première partie : travail méthodologique. 1°) Expliquer les notions économiques de demande extérieure, de demande intérieure et de demande effective. Pour la définition de ces trois notions, on remarque un mot récurrent : la demande. La demande correspond à la la quantité d’un certain produit demandée par les acheteurs pour un prix donné. Le prix d'un bien est considéré comme une quantité

invisible à remplir une fin qui n’entre nullement dans ses intentions (...). Je n’ai jamais vu que ceux qui aspiraient, dans leurs entreprises de commerce, à travailler pour le bien général, aient fait beaucoup de bonnes choses " . Une façon élégante de souligner que le pouvoir - politique ou religieux - n’a pas à se mêler de la chose économique et que les mécanismes du marché valent toutes les lois du monde. Libéral, Adam Smith l’était incontestablement : l’appât du gain et l’aiguillon de la concurrence